A la suite de la publication de l’article relatif au « - Lotissement les « Baobabs à Mbao » l’avocat Me Mbaye Jacques Ndiaye de l’homme d’affaire Marc Aldasoro a dans un communique donné sa version des faits. En effet et selon lui, son avocat avait offert à Mohamed NDIR 15 % du capital de la Financière du Sénégal dite FINASEN SA. Mais un Arrêt de la Cour d’Appel de Dakar rendu sur requête civile a pu anéantir toutes les décisions de justice relatives à l’annulation de la cession de ses actions du fait par lui de n’avoir pas pu respecter les règles préétablies par l’Acte Uniforme de l’OHADA sur les Sociétés Commerciales relativement à la libération de sa quote part. « La consignation dont il a pu se prévaloir n’a jamais existé, dans la mesure où dans un exploit d’Huissier de Justice portant sommation interpellative, le Greffe du Tribunal Régional Hors Classe de Dakar a renseigné que Mohamed NDIR, en dépit de son reçu n’a jamais versé un seul franc dans les caisses du Trésor Public du Sénégal » explique-t-il.
S’y ajoutent dit-il plus loin, des éléments de fait peu orthodoxes :
«Mon client particulièrement soucieux de la légalité, a gagné 99 % des procédures substantielles l’ayant apposé à Mohamed NDIR qui choisit 10 ans après, de plaider dans la rue, tel un marchand d’ombre qui fait sa campagne au milieu de la nuit. De manière plus décisive, il y a lieu de souligner que le 06 Avril 2009, une Sentence Arbitrale passée en force de chose jugée irrévocable a condamné IMMOBIS (la société dont Mohamed NDIR est Gérant et Unique Associé) à payer à la Financière du Sénégal la somme en principal de 155 446 260 Francs représentant des avances sur commissions de la commercialisation des « Villas Baobabs » qui n’ont jamais vu le jour. Sur la base de cette sentence arbitrale, Mohamed NDIR et IMMOBIS ont été assignés en liquidation judiciaire ».
Le rapport déposé par l’Expert désigné par jugement du Tribunal Régional Hors Classe de Dakar en date du 11 Août 2011 conclut en ces termes révèle la note que « IMMOBIS est inconnue de l’Administration Fiscale. Elle dispose d’un passif exigible identifié d’un montant de 392 414 958 et d’un actif connu de zéro ».
C’est ainsi sur la base de ce rapport et de la Sentence Arbitrale précitée que la société de Mohamed NDIR a, rappelle le communiqué, par jugement du Tribunal Régional Hors Classe de Dakar, » été frappée d’une procédure collective. Les organes de la procédure sont désignés et la publication en est faite dans un journal d’Annonces Légales ».
Mais usant et abusant de la signature de Monsieur Marc ALDASORO, Mohamed NDIR s’est fait octroyer un crédit bancaire de 142 987 730 Francs révèle l’avocat qui ajoute que , la banque avait même initié une procédure correctionnelle pour escroquerie.
S’y ajoutent dit-il plus loin, des éléments de fait peu orthodoxes :
«Mon client particulièrement soucieux de la légalité, a gagné 99 % des procédures substantielles l’ayant apposé à Mohamed NDIR qui choisit 10 ans après, de plaider dans la rue, tel un marchand d’ombre qui fait sa campagne au milieu de la nuit. De manière plus décisive, il y a lieu de souligner que le 06 Avril 2009, une Sentence Arbitrale passée en force de chose jugée irrévocable a condamné IMMOBIS (la société dont Mohamed NDIR est Gérant et Unique Associé) à payer à la Financière du Sénégal la somme en principal de 155 446 260 Francs représentant des avances sur commissions de la commercialisation des « Villas Baobabs » qui n’ont jamais vu le jour. Sur la base de cette sentence arbitrale, Mohamed NDIR et IMMOBIS ont été assignés en liquidation judiciaire ».
Le rapport déposé par l’Expert désigné par jugement du Tribunal Régional Hors Classe de Dakar en date du 11 Août 2011 conclut en ces termes révèle la note que « IMMOBIS est inconnue de l’Administration Fiscale. Elle dispose d’un passif exigible identifié d’un montant de 392 414 958 et d’un actif connu de zéro ».
C’est ainsi sur la base de ce rapport et de la Sentence Arbitrale précitée que la société de Mohamed NDIR a, rappelle le communiqué, par jugement du Tribunal Régional Hors Classe de Dakar, » été frappée d’une procédure collective. Les organes de la procédure sont désignés et la publication en est faite dans un journal d’Annonces Légales ».
Mais usant et abusant de la signature de Monsieur Marc ALDASORO, Mohamed NDIR s’est fait octroyer un crédit bancaire de 142 987 730 Francs révèle l’avocat qui ajoute que , la banque avait même initié une procédure correctionnelle pour escroquerie.
Autres articles
-
Economie: La croissance économique pour 2024 est maintenant projetée à 7,1 % contre 8,3 % (FMI)
-
Incendie à la Patisen: Plusieurs dégâts matériels enregistrés
-
Kaolack : Un véhicule de la gendarmerie heurte mortellement un jakartaman
-
Urgent 🚨 🚨 Un incendie s'est déclaré à la société Patisen !
-
Conseil interministériel sur l'agriculture : Les 23 recommandations du premier ministre, Ousmane Sonko.