L’Armp a donné son autorisation à l’Artp pour le recrutement de cabinets d’étude pour l’octroi de la licence 4 G depuis vendredi. En effet, Abdou Karim Sall, Directeur général de l'ARTP avait saisi le· Comité de Règlement des Différends (CRD) pour solliciter l'autorisation d'ouvrir à l'international la consultation restreinte prévue en procédure d'urgence pour la sélection d'un cabinet chargé d'accompagner l' ARTP dans la détermination des conditions et modalités d'octroi des licences relatives aux technologies mobiles de la 4ème génération au Sénégal.
À signaler qu’il s’agit d’un appel d’offres restreint auquel ne participe aucune entreprise sénégalaise, ni de la sous-région. En effet, sur les moyens développés a l'appui de la demande, l'ARTP justifie le choix porté sur les cabinets étrangers, par la spécificité de la mission. En effet, l'ARTP expose que la technologie 4G n'est pas encore introduite dans l'espace UEMOA, à l'exception de la Côte d'ivoire où l'exploitation des services mobiles 4G n'a été autorisée qu'en 2014. Elle déclare que « la nouveauté de cette technologie fait qu'il n'existe pas encore, à leur connaissance et à celle des régulateurs de la sous-région consultés, de cabinet communautaire ayant l'expertise nécessaire pour accompagner l'ARTP dans le processus d'attribution d'une licence 4G ».
C'est pourquoi, pour bénéficier des meilleures compétences, elle a procédé à un « brenchmarking » notamment au Maroc et en Tunisie où cette technologie est présente, pour arrêter la liste des cabinets à consulter, révèle la décision de l’ARMP.
L’Armp d’autoriser ainsi « à titre exceptionnel, l'ouverture à l'international de la consultation restreinte en procédure d'urgence avec la liste proposée tout en encourageant la constitution de groupements avec des cabinets communautaires ».
Le Sénégal qui a eu une offre de 26 milliards des opérateurs, pense qu’il peut obtenir beaucoup plus en attribuant cette licence à d’autres repreneurs.
À signaler qu’il s’agit d’un appel d’offres restreint auquel ne participe aucune entreprise sénégalaise, ni de la sous-région. En effet, sur les moyens développés a l'appui de la demande, l'ARTP justifie le choix porté sur les cabinets étrangers, par la spécificité de la mission. En effet, l'ARTP expose que la technologie 4G n'est pas encore introduite dans l'espace UEMOA, à l'exception de la Côte d'ivoire où l'exploitation des services mobiles 4G n'a été autorisée qu'en 2014. Elle déclare que « la nouveauté de cette technologie fait qu'il n'existe pas encore, à leur connaissance et à celle des régulateurs de la sous-région consultés, de cabinet communautaire ayant l'expertise nécessaire pour accompagner l'ARTP dans le processus d'attribution d'une licence 4G ».
C'est pourquoi, pour bénéficier des meilleures compétences, elle a procédé à un « brenchmarking » notamment au Maroc et en Tunisie où cette technologie est présente, pour arrêter la liste des cabinets à consulter, révèle la décision de l’ARMP.
L’Armp d’autoriser ainsi « à titre exceptionnel, l'ouverture à l'international de la consultation restreinte en procédure d'urgence avec la liste proposée tout en encourageant la constitution de groupements avec des cabinets communautaires ».
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