"Quand on regarde les cinq qui seront présents en Russie, seul le Nigeria avait été au dernier Mondial", a fait constater le premier vice-président de la FSF, indiquant qu’il n’y a pas d’équipe écrasant la concurrence.
Au Brésil, en 2014, outre le Nigeria, il y avait l’Algérie, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Pour le Mondial 2018, si les Super Eagles du Nigeria sont encore présents, ils seront avec les Pharaons d’Egypte, les Lions de l’Atlas du Maroc, de la Téranga du Sénégal et les Aigles de Carthage de la Tunisie.
Saer Seck qui prend comme repère la CAN 2017 fait constater que le Cameroun, champion d’Afrique en titre, ne sera pas présent en Russie.
"Cela signifie que contrairement à l’Europe où la hiérarchie semble établie, en Afrique, il faut chaque jour se remettre en question et être à niveau sur le plan de l’organisation et de la logistique", a indiqué le président de l’institut Diambars.
"Cette situation doit interpeller aussi les dirigeants à faire encore des efforts dans l’organisation et surtout la mise à disposition d’infrastructures sportives", a-t-il commenté.
"Et pour être régulier à la Coupe du monde, on sait dorénavant qu’il faut faire des efforts supplémentaires dans la formation des jeunes, des cadres et dans l’organisation de championnats plus réguliers", a soutenu le président de la Ligue professionnelle.
Au Brésil, en 2014, outre le Nigeria, il y avait l’Algérie, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et le Ghana.
Pour le Mondial 2018, si les Super Eagles du Nigeria sont encore présents, ils seront avec les Pharaons d’Egypte, les Lions de l’Atlas du Maroc, de la Téranga du Sénégal et les Aigles de Carthage de la Tunisie.
Saer Seck qui prend comme repère la CAN 2017 fait constater que le Cameroun, champion d’Afrique en titre, ne sera pas présent en Russie.
"Cela signifie que contrairement à l’Europe où la hiérarchie semble établie, en Afrique, il faut chaque jour se remettre en question et être à niveau sur le plan de l’organisation et de la logistique", a indiqué le président de l’institut Diambars.
"Cette situation doit interpeller aussi les dirigeants à faire encore des efforts dans l’organisation et surtout la mise à disposition d’infrastructures sportives", a-t-il commenté.
"Et pour être régulier à la Coupe du monde, on sait dorénavant qu’il faut faire des efforts supplémentaires dans la formation des jeunes, des cadres et dans l’organisation de championnats plus réguliers", a soutenu le président de la Ligue professionnelle.
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