DAKARACTU.COM Madere Fall de l’Association (CPASA-USA), à travers une correspondance, a saisi note site d’information pour s’insurger contre ce que lui et ses proches appellent une nébuleuse au cœur des 200 millions FCFA ( soit 400 000 dollars Usa) de financement accordés aux femmes sénégalaises de la diaspora.
« Je viens d'apprendre comme tout le monde que la remise des chèques à celles dont leur projet a été retenu par un comité de pilotage qui n'existait que de nom en réalité (le consul seul) se tiendra aujourd'hui au State building à la 125 street à Harlem » nous a-t-il dit..
« Un véritable scandale, une véritable nébuleuse, un amateurisme sans précédent, tout sur le compte d'une magouille bien préparée. À part des lettres envoyées à quelques postulantes à cet argent décaissé du FAISE, pour leur signifier la réception de leur dossier de demande de prêt, rien d'autre ... » a-t-il poursuivi.
Des nombreuses questions les agitent, lui et ses autres compatriotes. Quels sont les critères de sélection ? Qui doit bénéficier du prêt ? Aucune communication, aucune annonce pour informer les potentielles bénéficiaires. Qu'est ce qu'on cache ?
Personne ne sait, personne ne comprend, nous a-t-il assuré !
« Madame la responsable du FAISE est dans nos murs depuis quelques jours. Madame Sokhna Nata Samb, remplace à ce poste, monsieur Sorry Kaba, le convoyeur des fonds, en tant patron du FAISE à l'époque. Nous savons également que Madame Nata Samb Mbacke était présente à une cérémonie organisée par une femme de l'association des sénégalais d'Amérique pour commémorer à sa façon la journée du 8 mars.une séance de Sargal annuelle » explique-t-il.
Revenant sur le cérémonie, il indexe un jeu de dupe, car selon lui, il n’y a rien d'objectif, rien de vrai, juste une façon très intelligente de soutirer des sous aux autorités venant de Dakar et certains parrains et marraines choisis à travers une sélection basée sur leur poids financier.
« Il faut que cela s'arrête, quand on ne représente rien dans une communauté, on ne doit pas s'auto proclamée l'initiatrice d'un tel événement. Des contres exemples, de vraies opportunistes.
Cette femme naguère, avait tout du PDS, elle était la manche armée de Cheikh Mbacke Samb, celui que j'ai terrassé, anéanti au moment de sa toute puissante gloire » clame-t-il.
Tout en rappelant la faramineuse somme que le président Macky Sall avait mise à la disposition de l'ASA (150.000 dollars), il note « voilà c'est encore sous le couvert de cette même association que cette énergumène, présente des projets pour se faire financer par le FAISE. C'est trop et c'est trop !!! »
« Enfin, sans avoir tort, je donne raison à tous mes amis et compatriotes qui avaient levé leur voix pour dénigrer et fustiger, cet argent mis à la disposition des femmes. Nous l'avions apprécié positivement, tout simplement par ce que nous espérions que sous Macky la gestion rigoureuse des fonds allait être différente. Mais hélas, les hommes et les femmes qui servaient Wade, sont ceux-là mêmes qui président aux destinées de la communauté sénégalaise. Sur le plan associatif, administratif et politique, les mêmes pratiques indécentes font monnaie courante » accuse Madere Fall.
C'est difficilement que je comprendrai comment les aperisrtes de New York et des États Unis puissent être noyés par des transhumants opportunistes et qui brillent que par leur intérêt personnel, a-t-il conclu.
« Un véritable scandale, une véritable nébuleuse, un amateurisme sans précédent, tout sur le compte d'une magouille bien préparée. À part des lettres envoyées à quelques postulantes à cet argent décaissé du FAISE, pour leur signifier la réception de leur dossier de demande de prêt, rien d'autre ... » a-t-il poursuivi.
Des nombreuses questions les agitent, lui et ses autres compatriotes. Quels sont les critères de sélection ? Qui doit bénéficier du prêt ? Aucune communication, aucune annonce pour informer les potentielles bénéficiaires. Qu'est ce qu'on cache ?
Personne ne sait, personne ne comprend, nous a-t-il assuré !
« Madame la responsable du FAISE est dans nos murs depuis quelques jours. Madame Sokhna Nata Samb, remplace à ce poste, monsieur Sorry Kaba, le convoyeur des fonds, en tant patron du FAISE à l'époque. Nous savons également que Madame Nata Samb Mbacke était présente à une cérémonie organisée par une femme de l'association des sénégalais d'Amérique pour commémorer à sa façon la journée du 8 mars.une séance de Sargal annuelle » explique-t-il.
Revenant sur le cérémonie, il indexe un jeu de dupe, car selon lui, il n’y a rien d'objectif, rien de vrai, juste une façon très intelligente de soutirer des sous aux autorités venant de Dakar et certains parrains et marraines choisis à travers une sélection basée sur leur poids financier.
« Il faut que cela s'arrête, quand on ne représente rien dans une communauté, on ne doit pas s'auto proclamée l'initiatrice d'un tel événement. Des contres exemples, de vraies opportunistes.
Cette femme naguère, avait tout du PDS, elle était la manche armée de Cheikh Mbacke Samb, celui que j'ai terrassé, anéanti au moment de sa toute puissante gloire » clame-t-il.
Tout en rappelant la faramineuse somme que le président Macky Sall avait mise à la disposition de l'ASA (150.000 dollars), il note « voilà c'est encore sous le couvert de cette même association que cette énergumène, présente des projets pour se faire financer par le FAISE. C'est trop et c'est trop !!! »
« Enfin, sans avoir tort, je donne raison à tous mes amis et compatriotes qui avaient levé leur voix pour dénigrer et fustiger, cet argent mis à la disposition des femmes. Nous l'avions apprécié positivement, tout simplement par ce que nous espérions que sous Macky la gestion rigoureuse des fonds allait être différente. Mais hélas, les hommes et les femmes qui servaient Wade, sont ceux-là mêmes qui président aux destinées de la communauté sénégalaise. Sur le plan associatif, administratif et politique, les mêmes pratiques indécentes font monnaie courante » accuse Madere Fall.
C'est difficilement que je comprendrai comment les aperisrtes de New York et des États Unis puissent être noyés par des transhumants opportunistes et qui brillent que par leur intérêt personnel, a-t-il conclu.
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