Le tourisme ’’va de mieux en mieux’ au Sénégal’, en dépit de la crise post-électorale gambienne par exemple, qui aurait pu impacter négativement ce secteur, a estimé le secrétaire général du comité de station de Saly-Portudal (Mbour, ouest), Ibrahima Sarr.
Le secteur du tourisme au Sénégal "va de mieux en mieux" après la crise dont des acteurs et experts faisaient état depuis quelques années, a-t-il diagnostiqué dans un entretien à l’APS.
Les choses commencent depuis "à changer petit à petit", bien qu’il soit encore ’’prématuré de faire un bilan réel’’ de la présente saison caractérisée selon lui par un retour de plus en plus marqué des tours opérators.
De même la clientèle locale n’est pas en reste, qui vient plus régulièrement cette saison pour des séminaires et autres rencontres organisées à Mbour, en comparaison de la saison écoulée, a fait valoir Ibrahima Sarr.
Le secteur du tourisme, avec 75 000 emplois directs et 25 000 indirects, contribue au PIB sénégalais à hauteur de 6 pour cent, selon des statistiques du ministère de tutelle datant de 2010.
Dans le même temps, il injectait 273 milliards de francs CFA dans l’économie nationale dont
142 milliards en valeur ajoutée et 41,6 milliards en recettes fiscales, selon ces chiffres officiels.
Le Sénégal demeure "un pays accueillant" avec un tourisme "très attractif", malgré l’érosion côtière qui de plus en plus, prive les réceptifs de la Petite-Côte sénégalaise de leurs plages, a-t-il soutenu.
"Vous voyez bien qu’on n’a plus de plages, mais les clients habitués font maintenant fi des plages et commencent à revenir dans notre pays, parce qu’il y a la téranga (hospitalité) sénégalaise, nous sommes un pays stable, entre autres atouts qui constituent des facteurs encourageants pour notre tourisme", a estimé M. Sarr.
Avec la crise post-électorale de la Gambie, "il y a eu un report de toute la clientèle des tours opérators, notamment de la Hollande, qui était initialement destinée à la Gambie, a signalé le secrétaire général du comité de station de Saly-Portudal, sans donner de chiffres.
"Heureusement que la crise gambienne a été très vite maîtrisée et résolue, sinon ça allait négativement impacter sur le tourisme, parce que ça allait nous toucher encore de plein fouet", a-t-il indiqué.
Le secteur du tourisme au Sénégal "va de mieux en mieux" après la crise dont des acteurs et experts faisaient état depuis quelques années, a-t-il diagnostiqué dans un entretien à l’APS.
Les choses commencent depuis "à changer petit à petit", bien qu’il soit encore ’’prématuré de faire un bilan réel’’ de la présente saison caractérisée selon lui par un retour de plus en plus marqué des tours opérators.
De même la clientèle locale n’est pas en reste, qui vient plus régulièrement cette saison pour des séminaires et autres rencontres organisées à Mbour, en comparaison de la saison écoulée, a fait valoir Ibrahima Sarr.
Le secteur du tourisme, avec 75 000 emplois directs et 25 000 indirects, contribue au PIB sénégalais à hauteur de 6 pour cent, selon des statistiques du ministère de tutelle datant de 2010.
Dans le même temps, il injectait 273 milliards de francs CFA dans l’économie nationale dont
142 milliards en valeur ajoutée et 41,6 milliards en recettes fiscales, selon ces chiffres officiels.
Le Sénégal demeure "un pays accueillant" avec un tourisme "très attractif", malgré l’érosion côtière qui de plus en plus, prive les réceptifs de la Petite-Côte sénégalaise de leurs plages, a-t-il soutenu.
"Vous voyez bien qu’on n’a plus de plages, mais les clients habitués font maintenant fi des plages et commencent à revenir dans notre pays, parce qu’il y a la téranga (hospitalité) sénégalaise, nous sommes un pays stable, entre autres atouts qui constituent des facteurs encourageants pour notre tourisme", a estimé M. Sarr.
Avec la crise post-électorale de la Gambie, "il y a eu un report de toute la clientèle des tours opérators, notamment de la Hollande, qui était initialement destinée à la Gambie, a signalé le secrétaire général du comité de station de Saly-Portudal, sans donner de chiffres.
"Heureusement que la crise gambienne a été très vite maîtrisée et résolue, sinon ça allait négativement impacter sur le tourisme, parce que ça allait nous toucher encore de plein fouet", a-t-il indiqué.
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