Concernant le sort des leaders de l'opposition arrêtés et gardés dans différents commissariats de Dakar, le ministre de l'Intérieur de dire : "On a suivi la situation, mais nous allons voir avec le procureurs pour essayer de faire quelque chose pour eux. C'est tout ce que je peux dire à ce stade".
Pour ce qui est des lacrymogènes lancées sur les journalistes, Aly Ngouille Ndiaye se veut clair : "la police n'utilisera jamais des lacrymogènes contre des journalistes. Elle peut utiliser des grenades lacrymogènes pour disperser une foule mais, comme vous le savez, le vent ne choisit pas la direction du journaliste ou du politique. Il faut considérer par moment que ce sont des dégâts collatéraux qu'on ne peut pas ne pas subir dans ce genre de manifestation. Mais je peux vous le dire, les journalistes ne sont pas les cibles de la police."
Pour ce qui est de manifestations qui ont éclaté dans beaucoup de localités, le ministre de l'Intérieur d'indiquer que "toutes les manifestations n'ont pas été interdites. Il y'a des manifestations qui ont été autorisées. Celle de Dakar n'a pas été autorisée parce que les demandeurs voulaient faire un sit-in devant l'Assemblée nationale. Celle de Thiès a été interdite parce que les jeunes de Y'en a marre qui ont été demandeurs, ont signifié au Préfet qu'ils marcheraient dans les artères de la ville. On ne peut pas autoriser cela. A Kolda, la marche a été autorisée en respectant l'itinéraire choisi. On a géré à Ziguinchor et dans d'autres localités. Ceux qui ont demandé à marcher en dehors de Dakar, ont été autorisés à le faire en respectant un itinéraire qui est très clair. L'administration territoriale joue son rôle."
Pour ce qui est des lacrymogènes lancées sur les journalistes, Aly Ngouille Ndiaye se veut clair : "la police n'utilisera jamais des lacrymogènes contre des journalistes. Elle peut utiliser des grenades lacrymogènes pour disperser une foule mais, comme vous le savez, le vent ne choisit pas la direction du journaliste ou du politique. Il faut considérer par moment que ce sont des dégâts collatéraux qu'on ne peut pas ne pas subir dans ce genre de manifestation. Mais je peux vous le dire, les journalistes ne sont pas les cibles de la police."
Pour ce qui est de manifestations qui ont éclaté dans beaucoup de localités, le ministre de l'Intérieur d'indiquer que "toutes les manifestations n'ont pas été interdites. Il y'a des manifestations qui ont été autorisées. Celle de Dakar n'a pas été autorisée parce que les demandeurs voulaient faire un sit-in devant l'Assemblée nationale. Celle de Thiès a été interdite parce que les jeunes de Y'en a marre qui ont été demandeurs, ont signifié au Préfet qu'ils marcheraient dans les artères de la ville. On ne peut pas autoriser cela. A Kolda, la marche a été autorisée en respectant l'itinéraire choisi. On a géré à Ziguinchor et dans d'autres localités. Ceux qui ont demandé à marcher en dehors de Dakar, ont été autorisés à le faire en respectant un itinéraire qui est très clair. L'administration territoriale joue son rôle."
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