Le ministre de la Jeunesse de l’Emploi et de la Construction citoyenne,promet de faire le plan sur l'emploi des jeunes plus que la promesse faite par le Président Macky Sall. «Je ne fais pas dans les discours mais je sais qu’on peut faire plus que les 300 000 emplois promis par le Président de la République. On peut aller jusqu’à 450 000 emplois si les modalités allant avec le fonctionnement de notre pays sont respectés», a renseigné Mame Mbaye Niang en marge de la conférence de presse sur la semaine nationale de la jeunesse.
Selon le ministre, «sur cent mille jeunes qui cherchent un travail, seuls les 5% ont une formation qualifiante sanctionnée d’un diplôme d’aptitude.
Sur ce nombre, les 42% n’ont pas de qualification encore moins une formation technique pouvant les renvoyer à un emploi direct». Mame Mbaye met ce fait sur le compte d’une incompréhension des jeunes qui ne peuvent à un certains temps faire le bon choix pour leur formation. «Il se pose donc un problème de formation mais aussi d’orientation des jeunes. Des ingénieurs agronomes, des techniciens supérieurs, on en cherche. Des employés dans le domaines de la mécanique et la technique également se font rares.
Sur d’autres secteur, le nombre qui attend est grand" dit le ministre.
Non sans noter que c'est dans ce sens que le président de la République compte réformer l'université, parce qu’on ne peut pas tous travailler dans les domaines marketing communication et banques finances. Pour le ministre de la Jeunesse de l’Emploi et de la Construction citoyenne, les métiers techniques sont aujourd’hui des secteurs pourvoyeurs d’emploi. «Il faut donc que les jeunes se forment dans ces secteurs pour faciliter la tâche aux gouvernants». Avant d’annoncer : «17 lycées techniques, 34 brevets techniques supérieurs (Bts) mais aussi deux universités basées sur l’agriculture».
Parce que dit- il, «une orientation vers l’agriculture peut absorber le taux de chômage. En réalité, on n’a pas besoin d’une formation de plus de six mois pour faire de l’agriculture. Il suffit juste que des ingénieurs agronomes puissent accompagner les jeunes et nous avons les terres pour le faire et les techniques, qui leur permettront de cultiver 12 mois sur 12, sont possibles». Et, conclut le ministre, «dans ce cas, nous n’aurons plus à importer 220 mille tonnes de maïs par an».
Selon le ministre, «sur cent mille jeunes qui cherchent un travail, seuls les 5% ont une formation qualifiante sanctionnée d’un diplôme d’aptitude.
Sur ce nombre, les 42% n’ont pas de qualification encore moins une formation technique pouvant les renvoyer à un emploi direct». Mame Mbaye met ce fait sur le compte d’une incompréhension des jeunes qui ne peuvent à un certains temps faire le bon choix pour leur formation. «Il se pose donc un problème de formation mais aussi d’orientation des jeunes. Des ingénieurs agronomes, des techniciens supérieurs, on en cherche. Des employés dans le domaines de la mécanique et la technique également se font rares.
Sur d’autres secteur, le nombre qui attend est grand" dit le ministre.
Non sans noter que c'est dans ce sens que le président de la République compte réformer l'université, parce qu’on ne peut pas tous travailler dans les domaines marketing communication et banques finances. Pour le ministre de la Jeunesse de l’Emploi et de la Construction citoyenne, les métiers techniques sont aujourd’hui des secteurs pourvoyeurs d’emploi. «Il faut donc que les jeunes se forment dans ces secteurs pour faciliter la tâche aux gouvernants». Avant d’annoncer : «17 lycées techniques, 34 brevets techniques supérieurs (Bts) mais aussi deux universités basées sur l’agriculture».
Parce que dit- il, «une orientation vers l’agriculture peut absorber le taux de chômage. En réalité, on n’a pas besoin d’une formation de plus de six mois pour faire de l’agriculture. Il suffit juste que des ingénieurs agronomes puissent accompagner les jeunes et nous avons les terres pour le faire et les techniques, qui leur permettront de cultiver 12 mois sur 12, sont possibles». Et, conclut le ministre, «dans ce cas, nous n’aurons plus à importer 220 mille tonnes de maïs par an».
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