Le jet privé qui promène Karim Wade: Le plus gros tabou de la République (Par Cheikh Yérim Seck).


Le jet privé qui promène Karim Wade: Le plus gros tabou de la République (Par Cheikh Yérim Seck).
DAKARACTU.COM  Le papier du 6 décembre d'Alassane Samba Diop sur les ondes de la RFM, s’interrogeant sur le jet privé qui transporte Karim Wade, a fait mouche. Ce n’est pas la première fois que des informations sont données sur cet avion, ni sur l’incongruité de cette fantaisie toute sénégalaise qui nous met au rang de la risée du monde. Mais cette fois-ci, c’est toute la République, ses barons et ses partenaires en affaires les plus fameux qui ont assailli le téléphone du journaliste de la RFM. Ces intervenants très particuliers ont eu le mauvais goût d’arguer que ces informations portaient atteinte à... la vie privée du fils du président. Rien que ça !!! Pas que ces informations seraient fausses, non, mais qu’elles dérangent si elles sont dites. Il est vrai qu’en 1999, avant que son père ne devienne président d’un des pays les plus pauvres au monde, Karim Wade se tapait le trajet Londres- Paris en Eurostar, et en deuxième classe s’il vous plaît. Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous les points qui enjambent le Rhin. Mais quand Alassane Samba Diop cherche à avoir des informations sur l’existence, l’immatriculation, le coût de cet avion, toute la République en mesure de l’éclairer se met en veilleuse. C’est presque le « Confidentiel Défense » qui est brandi. Pourquoi un tel secret ? Il y  a un an, le magazine Week End avait, sous la plume de Madiambal Diagne, tenté d’éclairer la lanterne des Sénégalais ahuris par cette fantaisie tropicale. Karim Wade lui avait alors servi une sommation interpellative, à grand renfort de mouvements de menton et d’épaules, histoire certainement d’impressionner le journaliste. Lequel, loin de se coucher apeuré, a confirmé tous ses propos et les a assumés totalement. Depuis, plus rien, pas la moindre assignation n’est venue illustrer ces cris d’orfraie innocents. Selon Madiambal Diagne, dans l’édition du 5 janvier 2011 de son journal, Karim Wade « visait simplement à faire peur à la presse, car c’est la première fois que des informations sérieuses ont été publiées. Et il veut que personne ne parle plus de cet avion ». A lire Week End, ce Falcon 50 est piloté par un des meilleurs équipages du monde et géré par la société Darta, pilote et équipage compris. Sa valeur est de 6,5 milliards de francs cfa. Il faut savoir que pour un simple voyage entre Dakar et Abidjan, il faut débourser la bagatelle de 21 millions, et pour aller faire quelques emplettes à Paris, cela coûte la peccadille de 65 millions. Une paille. Depuis 50 ans qu’existe notre pays, aucun ministre n’a jamais voyagé dans des conditions aussi onéreuses. Alors des questions doivent être posées. Elles entraînent inévitablement toutes sortes de supputations. Celle qui tient la corde est que ce Falcon 50 serait immatriculé au nom d’un célèbre industriel libano-sénégalo-français, connu pour être un proche de la famille présidentielle. On attend de savoir. Une autre supputation voudrait que cet avion, ce jet privé, serait un cadeau de la Chine, contente qu’elle aurait été de nous avoir vu virer comme d’absolus malpropres leurs rivaux de Taïwan. Si on veut. Mais est-ce cet avion ? Qu’on nous le montre. Quelle est son immatriculation qui prouve qu’il est au nom de l’Etat sénégalais ? Si c’est le cas, pourquoi il n’y a qu’une seule personne qui a le droit de s’en servir ? Et à quel coût pour nos finances publiques ? Cet avion se pose tous les jours sur le tarmac de Léopold Sédar Senghor, sans aucun contrôle, ni policier, ni douanier, et peut par conséquent tout transporter : de l’or, des faux billets, des tonnes de coupures de banque, de la drogue, des personnages peu recommandables et fichés par Interpol… Tout est possible. Alors de grâce éclairez-nous !!! Ce profil de république bananière que nous fait cet aéronef à disposition d’un simple ministre de la République, fût-il à la tête  d’autant de ministères, nous rappelle l’interdiction faite aux ministres français par Nicolas Sarkozy de voyager en jet privé. Il est vrai que cette pauvre France croule de dettes et se trouve sous la menace de la perte de son triple A, et que nous, par contre, sommes d’une aisance qui nous permet et nous donne le droit de voler plus haut que nos arachides nous le permettent. Ce n’est pas ici que serait malheureux le ministre viré par Sarkozy pour avoir rallié les Antilles à bord d’un avion loué. Récemment, en Inde, un haut dignitaire de notre Sénégal était allé pleurer de toutes ses larmes afin d’obtenir une aide pour notre développement. Il commit la maladressse d'arriver en jet privé. Ce qui indigna les Indiens qui, du haut de leur rang de puissance mondiale, ne font voyager leurs ministres qu’en business class. Cette histoire de jet privé promenant à travers le monde Karim Wade choque et gêne. Dakaractu fera de ce sujet une question fondamentale, jusqu’à ce que l’on obtienne des réponses satisfaisantes aux questions légitimes que cet avion soulève. Il est temps que ce coucou qui amuse le prince cesse d’être le plus grand tabou de la République.
Mercredi 7 Décembre 2011
Dakaractu



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

31.Posté par poca le 07/12/2011 18:30
1º SERIGNE MBACKE NDIAYE EST UN MÉDIOCRE AMBITIEUX.

CETTE HISTOIRE D'AVION PRIVÉ AFFECTÉ SPÉCIALEMENT À UN FILS PD D'UN PRÉSIDENT S'ACCEPTE QUE DANS UN PAYS COMME LE SÉNÉGAL: EXPLE EN ESPAGNE ZAPATERO A DU REMBOURSER 30 000 EUROS AUX MILITAIRES POUR AVOIR UTILISER LEUR HELICOPTERE ENTRE MADRID ET VALENCIA.

TOUJOURS EN ESPAGNE, DEUX MINISTRES ONT VOYAGES LE MEME JOUR SUR BRUXELLES ET SE FONT QUITTER 24000 EUROS DE LEURS DUS. ECT..........

TANT DE LEÇONS QUE NOUS DEVONS CULTIVER AU SENEGAL.

POUR MOI LE PIRE DES SCANDALES DU REGIME DES MEDIOCRES AMBITIEUX EST LE NOMBRE DE MORTS (DES JEUNES) QUI SONT DANS L'OCEAN ATLANTIQUE ENTRE 2003 ET 2006, CES MÊME JEUNES QUI ONT ACCUEILLIS EN 2000 UN WADE, VEILLI, ABATTU, DÉSESPÉRÉ ET MÊME TRÈS FATIGUES AVEC BCP D'ESPOIR. IL A DÉÇU TOUT LE MONDE.

30.Posté par cool raoul le 07/12/2011 18:20

Sarsara, je ne sais pas si tu es un aigri, ou si tu as eu à te disputer avec Hamady Bocoum, mais il n'y a rien à enquêter dans une chose aussi banale. Le cumul de fonctions existe partout dans le monde, et il n'y a RIEN d'abusif à détenir plus d'un poste quand on s'acquitte de ses tâches.

Hamady Bocoum est un scientifique réputé, avec un profil rare. Co-opté par Wade pour diriger le Patrimoine National, Bocoum a accepté, parfois à regrets, de quitter un poste universitaire très bien payé à Houston, pour venir se retrousser les manches et gérer un fouillis invraisemblable, tout en étant très mal payé. Moi je dis "Bravo" à ce monsieur. Quand à vous, on constate que ces tares bien Sénégalaises que sont la médisance et la convoitise vous habitent suffisamment pour aller vous ridiculiser sur un blog dont ce n'est pas le sujet.

Vous feriez mieux de mériter ce que vous convoitez.

29.Posté par SERIGNE MBACKE NDIAYE le 07/12/2011 15:56
RESULTATS DES COMMISSIONS ROGATOIRES : LA JUSTICE DECOUVRE 18 COMPTES D'IDRISSA SECK A L'ETRANGER
(Walfadjiri 31/10/2006)

La justice sur les traces des milliards de l'ancien Premier Ministre : Plus de 18 comptes d'Idy découverts à l'étranger.
Les commissions rogatoires lancées en Europe par la justice sénégalaise, dans le cadre de l'affaire des chantiers de Thiès, auraient permis aux autorités de découvrir plus de dix-huit comptes bancaires ouverts par Idrissa Seck aux noms du secrétariat général de la présidence de la République, de la Primature, mais aussi en son nom personnel et à celui de son épouse (Ndèye Penda Tall) et au nom de la Société civile immobilière Ciras appartenant au couple Seck.

Sur les traces de la fortune de l'ancien Premier ministre, la justice sénégalaise avait lancé des commissions rogatoires en Europe dans le cadre de l'affaire des chantiers de Thiès. Et les premiers résultats qui sont tombés, feraient état d'une vingtaine de comptes bancaires ouverts par Idrissa Seck aux noms du secrétariat général de la présidence de la République et de la Primature, ainsi qu'à son nom personnel, au nom de son épouse, Ndèye Penda Tall, et de celui de la Société civile immobilière Ciras sise au 41 boulevard Raspail - Paris co-gérée par Idrissa Seck et sa femme. A noter que l'immeuble qui abritait ladite société et acquis par le couple Seck au nom de cette dernière, a été revendu après l'éclatement de l'affaire dite des chantiers de Thiès.
Ainsi, selon des sources judiciaires, cinq comptes (n° 3010 000 3729373/1/63 ; 3010 000 372929/08/19 ; 3010 000 3729 1339/61; 3010 000 3729 2808/19) ont été découverts, ouverts par l'ancien Premier ministre aux noms de la Primature, du secrétariat général de la présidence de la République, dont un compte personnel (n° 30003 03002 000 526 384 84/87) à l'agence principale Haussmann de la Société générale. Toujours au niveau de cette banque, mais à l'agence sise au 100, rue d'Amsterdam - 75009 Paris, il a découvert trois comptes au nom d'Idrissa Seck-Sci Ciras. Il s'agit des comptes n° 2080 7685 20 et n° 408 7685 20 et à l'agence Louis Blanc - 235, rue du Faubourd St Martin - Paris au n° 308 07885 20. Egalement, aux noms de la Primature et du secrétariat général de la présidence de la République, deux autres comptes (n° 140 7295 0001 25 et 140 7538 7101 03) ont été ouverts à la Cbip Paris à l'agence sise au 22 rue Hamelin - 75016 Paris.

A la banque Belgolaise, à l'agence sise au 6, avenue Valasquez - Paris, deux comptes y ont été ouverts. L'un (n° 0000 125 111 000 144/19) au nom de l'épouse de l'ancien Premier ministre, Ndèye Penda Tall, et l'autre (n° 000 3248 001 T14) au nom d'Idrissa Seck lui-même. A la banque Transatlantique, quatre comptes appartenant à l'ancien Premier minisre et à son éposue ont été découverts. Il s'agit des comptes n° 1000 1472 985 ; 1000 1472 986 et Codevi au nom d'Idrissa Seck. Le quatrième compte (Codevi) appartient à Ndèye Penda Tall.

Ce n'est pas seulement en France que des comptes ouverts par Idrissa Seck ont été découverts, selon nos sources. En Suisse et au Luxembourg, aussi. En Suisse, l'ancien Premier ministre aurait ouvert, à son nom, deux comptes à l'Union des banques suisses (Ubs). L'un (n° 240 463 828 29 F) à l'agence sise 1, place Corvenin - Genève et l'autre (n° 240 466 812 29 F) à l'agence sise 20, avenue Appia - 12 111 Genève. Un seul compte (n° 126 7000), au nom d'Idrissa Seck, a été découvert au Crédit agricole suisse. Les comptes logés dans les banques luxembourgeoises, notamment à la Société générale font l'objet d'investigation ainsi que ceux au Liban (banque Hariri), en Inde (New Delhi), en Australie (Sydney), aux Etats-Unis (New York - compte Trust), en Côte d'Ivoire et en Afrique du Sud (Africa Merchant Bank).

Selon nos sources, les commissions rogatoires sollicitées par l'Etat du Sénégal auprès de certains pays européens, notamment la France, pour traquer ces comptes suivent de très près tous les mouvements qui y sont effectués. ‘Les résultats sont intéressants’, disent les mêmes sources sans entrer dans les détails. Mais, disent nos interlocuteurs, depuis que l'Etat du Sénégal a lancé à ses trousses des commissions rogatoires, ‘Idrissa Seck a diminué les transactions concernant ses comptes à l'étranger’.

Amadou DIOUF

© Copyright Walfadjiri*

28.Posté par Teus le 07/12/2011 15:02
Bonjor Yérim, il faut enquetter sur le cas de Hamady Bocoum qui occupe deux postes de directions: Directeur de l'Ifan et Directeur du Patrmoine culturel. Ce cumul est inacceptable dans un pays qui comptent énormément de cadre. Ceci est une insulte aux ressources hmaines de qualité dont dispose ce pays. La conséquence de tout ceci c'est la Direction du patrimoine culturel se meurt petit à petit. Notr pays ne doit pas montrer un tel exemple.
En bas le clientélisme!!!

27.Posté par verite vrai le 07/12/2011 14:42
Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.





Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.





Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



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Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.





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Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



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Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



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Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.

26.Posté par Doffbi le 07/12/2011 14:19
Vraiment CYS, nous te prions de poursuivre cette investigation jusqu'à ce que la vérité éclate, car je suis sûr que c'est notre argent qui est entrain d'être dilapidé par ce gosse. Et je me demande dans quel pays sommes-nous? personne ne parle de cette affaire, les intellectuels, les partis politiques, la société civile, etc tous ont démissionné. Du jamais vu, vous avez raison, même en France, aux États-Unis, des pays dix mille fois plus nantis que le nôtre, vous ne verrez jamais un ministre se promener en jet privé. En Afrique c'est le seul pays où de scandales en scandales, et personne ne lève le plus petit doigt. Merci encore mille fois CYS.

25.Posté par Alba le 07/12/2011 13:26
On parle de l'avion,et on oublie les lieux ou Karim Wade sejourne a l'etranger.Aucun senegalais n'est au courant de ce que ce gosse fait a l'etranger avec l'argent du contribuable senegalais.Logiquement,quand on descend d'un avion prive,tout ce qui suit est du domaine du luxe:limousine,Hotel 5 etoiles ou particulier,restaurants chics,soirees arrosees a cout de millions.Karim Wade a 44 ans,a cet age ne comptez pas sur lui pour jouer au saint.

24.Posté par Deup Sol Plaqué le 07/12/2011 12:36
Je décerne cette analyse meilleur article depuis que dakaractu a démarré car traitant une question aussi.......................

23.Posté par rose le 07/12/2011 12:09
MACKY SERA PIRE QUE WADE AU POUVOIR
Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.



22.Posté par rose le 07/12/2011 12:08
MACKY SAL AU POUVOIR PIRE QUE WADE ET SON FILS KARIM SURTOUT QU'IL COMMENCE A BALBUTIER EN PROTEGEANT SON FRERE (IL L'A AVOUE INDIRECTEMENT DANS JEUNE AFRIQUE)

Nous en savons maintenant ce que renferme le pacte maçonnique qui a été signé à Libreville sous l’égide de Bongo, qui a parrainé Macky Sall pour son entrée dans la loge africaine, où il a rejoint un certain Abdoulaye Wade, son prédécesseur sénégalais. Ils sont tous deux sous la tutelle d’Alassane Daly Ndiaye, leur patron sénégalais. C’est au nom de ce pacte scellé avec le parrain qu’à un haut niveau, les instances de la maçonnerie africaine ont décidé que Wade ne devait pas mettre en prison un frère, malgré les preuves de détournement qui ont été fournies par les services de renseignement américains sur l’existence d’une villa à Huston payé avec 50 000 dollars en cash et le reste par virement bancaire. Les services français avaient aussi la preuve de la commission d’un milliard de francs Cfa sur les 10 milliards transférés à Godard, que Macky Sall est allé négocier lors d’une rencontre à Paris. L’argent de cette commission a servi à l’achat d’un appartement dans la proiche banlieue parisienne, déclaré chez le Notaire au nom de sa sœur Rokhaya, elle aussi embauchée à l’ambassade du Sénégal à Paris dès le limogeage d’Idrissa Seck et la montée en première ligne de Macky Sall. Le Premier ministre qui a déclaré le soir de sa nomination que Wade est son père et Karim son frère a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sénégal en Chine, et poursuivi avec son beau-frère Faye, au Consulat du Sénégal à New York. Là aussi, les « frères » ont fait valoir une règle qui fonctionne aussi chez les mafieux, ils n’ont pas touché à la famille. Faye et Sall sont toujours en poste. Comme ils ont fermé les yeux sur la libération du beau-frère de Macky Sall, arrêté en Argentine pour trafic de drogue, que le Premier ministre Macky Sall est allé voir à Buenos Aires, dans sa prison et négocier sa libération. Il a acheté aux deux frères deux villas jumelées à Diamalaye, deux anciens trafiquants de drogue. Mais ça aussi, selon la règle propre à l’obédience, on ne touche pas à la famille. Ils se sont aussi tus quand Macky Sall, qui louait un petit appartement à Derklé jusqu’en 2002, qui s’est fait acheter sa première voiture par Masseck Ndiaye, qui lui amenait une certaine Yaye Fatou, a acheté au bout de six ans une radio à 200 millions, mise an nom de son Conseiller en communication Alioune Fall. Il a aussi acheté une maison à un milliard de francs, mise au nom de son épouse, rasé et construit en deux mois la maison familiale de Fatick. Un château au milieu d’un quartier pauvre, Peulgha Nord.
Macky Sall a assez menti aux Sénégalais, il est temps qu’il soit découvert.

21.Posté par WISDOM le 07/12/2011 12:06
Légui mou dak. Yagatoul. Je pense que les sénégalais doivent avoir une bonne lecture de toutes ces pratiques. Ce jet privé pouvait construire combien de salles de classe, combien de forages, combien de centre de santé, etc.? A la mort de ce monsieur les héritiers ne vont plus connaitre ou se trouve le Sénégal. Réfléchissons bien sur le choix de notre président. L'Afrique peut exister sans certaines pratiques.

20.Posté par Fall demba le 07/12/2011 11:34
Continuez les investigations et vous verrez que le libano-sénégalais en question c’est Abass JABER de SUNEOR.
Cet avion donné semble t-il par la Chine à l’Etat sénégalais a été immatriculé au nom d’une société de Jaber.
Ce dernier le loue à l’Etat sénégalais pour les déplacements du « prince ».
C’est cet aéronef que Jaber utilise lui aussi pour ses déplacements.
C’est un gros scandale à dénoncer

19.Posté par Fall demba le 07/12/2011 11:32
Continuez les investigations et vous verrez que le libano-sénégalais en question c’est Abass JABER de SUNEOR.
Cet avion donné semble t-il par la Chine à l’Etat sénégalais a été immatriculé au nom d’une société de Jaber.
Ce dernier le loue à l’Etat sénégalais pour les déplacements du « prince ».
C’est cet aéronef que Jaber utilise lui aussi pour ses déplacements.
C’est un gros scandale à dénoncer

18.Posté par Amath le 07/12/2011 11:29
Oublié les exploitants du F-GUAJ. Notamment:

Aero Jets Darta (le meilleur équipage du monde :-) )
Aero Services Executive

17.Posté par Amath le 07/12/2011 10:39
5mn de recherche distraite:

On parle du F-GUAJ, non ?
http://www.airliners.net/search/photo.search?regsearch=F-GUAJ

Mais à qui appartient-il ?
http://www.immat.aviation-civile.gouv.fr/immat/servlet/aeronef_juridique.html?CTRL_ID=523_e7dbcb3b&CTX=1Sf2uOesrtn1ERJX47Hjjbgpj00LpSW0HQc5sOIvrT6biBaXXSsXDON051zh1mnPWqGC00aO02cnlOMH6OMDqRt9900bqQ79bSsXlR6HuS3z00000000CTmW0000G00000NG01aHFKrz9H7Do015gONPXBcnXRcSkIMvqPMTbSXBYeAJtWOSu0W01IG05Tc5iTMLuSW0GQc5sOIviOMvdBavrRM9bSeQibHqBbE2B0W00U70006iyU000

Ah, une société Luxembourgeoise, VECTEA SA ...

J'espère Yérim que vous aurez à coeur de chercher à savoir qui sont les heureux propriétaires de VECTEA., je ne vais pas faire tout le boulot quand même ;-)

Au fait, il est passé où le magnifique Embraer Legacy, avec le drapeau sur l’empennage vertical, géré a une époque par TAG, en suisse ? Mais c'est un autre sujet.

16.Posté par KHADIM SYLLA le 07/12/2011 10:33
DOYNA WAR

15.Posté par saliou dieng"zaltamba" le 07/12/2011 10:20
Je suis de la mouvance présidentielle mais il faut reconnaitre que le cas Karim Wade est un trés sérieux probléme ou handicap pour la réelection du président Wade.Les sénégalais et sénégalaises méprisent cet énerguméne qui n'était qu'un employé de banque à Londres et que pour certains son pére veut lui donner le pouvoir.Le meilleur service que son pére pouvait le rendre c'est de le démettre de ses fonctions et qu'il s'efface de la circulation.

14.Posté par BOU le 07/12/2011 10:16
zale ne ns amerde pas avec tes commentaires répétés dans chaque article (copier coller) tu fais hors sujet, on parles de Karim si ce que tu dis était vrai il serai tjrs en taule, parles de ton MAKY je sais que tu es de son côté qui ne peut même pas diriger sa famille, manque de charisme, manipulable, mou, voleur et qui fait l’apparence trompeuse

13.Posté par deug-gui le 07/12/2011 10:06
KARIM EST LE FILS DE BOURS SALOUM ABDOULAYE WADE!!!!!..IL NE POURRAIT SE COMPORTER AUTREMENT..!!.WADE EST UN ROI.!!!...YDY A OSE DIRE NON !!!! et woilà;..".LOU YEUNGOU SENEGAL YDY MOKO YEUNGAL"...JE NE VOTE PAS POUR LUI MAIS IL A PRIS LE PAYS..LES SENEGALAIS DISCUTENT SUR LES THEMES QU'IL SOULEVE....C'EST SON SIGNE....CET ARABE NOIR DONT PARLENT LES SALTIGUES SERERES EST DONC LA...".AFAGA TAK"......C'EST FINI.....

12.Posté par Yaya Jammeh le 07/12/2011 10:03
Sillaba Samateh, a naturalized Gambian Dutch National based in the Netherlands has alleged that the one billion dollars cocaine intercepted in the Gambia belongs to Gambia’s dictator Yahya Jammeh. Mr. Samateh, speaking during an interview with Freedom Radio’s Seedy Ceesay, on Tuesday, said the property in which the cocaine was found was initially rented out to one Mr. Garci, a foreign national, by one Lamin Darboe. While Garci, was working on transforming the place as a motel, a message was conveyed to Mr. Garci, by Mr. Jammeh’s emissaries informing him that the President Yahya Jammeh wanted to use the property for an undisclosed business activities. Garci then told Jammeh’s emissaries that he doesn’t own the property, and he referred them to Mr. Lamin Darboe.
Mr. Garci, who has been jailed for fifty years in connection with the one billion dollars cocaine seizure in the Gambia alongside with other South American nationals was later evicted from the Bonto property. He was asked one fine morning to pack and leave by dictator Jammeh’s closest confidants, Mr. Samateh alleges.
The President then stationed his guards at the property, and took full charge of the premises, Mr. Samateh tells Freedom Radio. He alleges that Gambia’s iron fist dictator is into cocaine trafficking.
“ President Jammeh is a drug dealer. The one billion dollars cocaine intercepted in the Gambia belongs to him. I have spoken to Mr. Garci, the former tenant, who occupied the property and he told me that the business outlet was taken from him by the President. There is a tunnel in that property, in which tons, and tons of cocaine are stocked. I have firsthand information about the President’s involvement into drug trade. I’m ready to testify against Yahya Jammeh if he is indicted in the future,” said Mr. Samateh, who was held for seven months by Gambia’s widely feared spy agency, the National Intelligence Agency over a sedition case involving the country's former police chief Essa Badjie.
Mr. Samateh, was being treated as a protected witness in that case—which links Mr. Jammeh to the sale of cocaine. His police chief Essa Badjie, said he has been assigned by the President to sell drugs, according to a criminal complaint filed against the former police boss.
Mr. Jammeh has transformed the Gambia as a narcotic state, Mr. Samateh alleges. “All his so called zero tolerance for drugs is a mere propaganda to deceive Gambians and the Western world. This man is a drug dealer. There are so many cocaine sites in the Gambia. Bonto is not the only place where cocaine is hidden. Tendaba, Tanji, and elsewhere across the country cocaine is there in abundance,” Samateh alleged.
Mr. Samateh said Jammeh hangs out with drug lords in the region. He recalls when the former Guinean Navy Chief General Bubu used to frequent his shop in Bruishibi. He alleges that Bubu had confided to him in private about Mr. Jammeh nefarious business activities in the sub-region.
Mr. Bubu, is on the United States State Department watch list. He has been linked to conspiring with South American drug lords to traffic cocaine in the region. Mr. Samateh said Bubu is Mr. Jammeh’s personal friend.
“ While in the Gambia, Bubu was working hand in hand with Jammeh. It was through Bubu that I discovered a lot of illicit business activities that the Gambian leader has been engaged in. Jammeh is into drug trafficking. He is also responsible for the assassination of the former Guinean President Neino Viera. I used to spend hours talking to General Bubu. I’m patiently waiting for the day when the International Criminal Court (ICC) in the Hague indicts Jammeh. I will be witness number one to testify against him. I'm privy to Jammeh's drug trade, and crime against humanity,” Samateh alleges adding that he is going to name Mr. Jammeh’s alibis in days to come.
“ It’s time for me to spill the beans. I will not leave any stone unturned. I’m ready to relate my story to the world. I have irrefutable evidence about Yahya Jammeh's involvement into drug trafficking. The world must act now to bring Jammeh to justice. I know that my family is in the Gambia, and they risked being persecuted, or harmed by the dictator’s thugs just for my honest exposure of his clandestine drug trade, but honestly speaking, I don’t think I will be doing justice to myself, country, and people if I fail to expose my inner knowledge about Yahya Jammeh’s drug trafficking. I cannot help it; the time has come for me to tell my story to the world. Yahya Jammeh is a drug dealer.”
Mr. Samateh has in the past received numerous communications from the Gambian Government appealing to him to return home and help them have the former police chief convicted on charges of defaming the President. But Samateh said the regime wants to have him killed because of his inner knowledge about Jammeh’s alleged drug trade in the region. He said his return to the Gambia could have led to his ultimate demise, as Jammeh is busy covering all traces that could lead to his future indictment.
“ They want to see me dead. They don’t want useful witnesses like myself to live to witness Jammeh’s indictment in the future. If I had responded to their persistent pleas to return home, I would have been dead by now. That’s why he (Jammeh) doesn’t want Essa Badjie to be released. Mr. Badjie, and myself are privy to Jammeh’s drug trade,” Samateh alleges.
“ My fellow Dutch national Mr. Winter, who was arrested in the Gambia in connection with the one billion drug seizure died in jail. He died of torture. I personally interviewed Mr. Winter while I was under detention at the NIA. He told me that he was tortured, and that the intercepted drugs in the Gambia belongs to dictator Jammeh. My story has been widely publicized by the Dutch press here in Holland. The Government is aware of the situation. I told them that Jammeh is a drug dealer."

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