Le Président SALL et ses Menaces démesurées.


Le Président SALL et ses Menaces démesurées.
L’article 80 est aujourd’hui utilisé de manière exagérée, par le régime du Président SALL. Cet article, qui jadis, était un outil de dissuasion d’offense au chef de l’état, est devenu un instrument de menaces inédites. Il permet au régime actuel, de manœuvrer des emprisonnements indignes de notre république. Une démocratie sans opposition n’a jamais existé. Vouloir rassembler tout le monde dans « Benno book Yaakar » relève d’une naïveté surprenante, venant de celui qui est sensé dirigé ce Pays. Il faut permettre l’opposition à bien mener son rôle. Des ministres tels que Diène Farba SARR et Fatou TAMBEDOU se prennent pour l’opposition de l’opposition. Au lieu de vaquer à leurs occupations de ministres de la république, en essayant de trouver des solutions aux problèmes de nos concitoyens ; ils passent tous leurs temps à sortir des utopies sur la personne de Monsieur Idrissa SECK. Un régime qui ne comprend pas, pourrait-il être compris ? Le premier ministre dans son premier discours, invite tout le monde au travail, alors que ses propres ministres chôment depuis plus de Deux ans. Un président qui dit avoir des biens évalués à huit milliards, grâce aux largesses du Président Wade ; emprisonne le fils de ce dernier qui aurait bénéficié de ces mêmes largesses. Celui qui se réclamait, au lendemain du deuxième tour, comme étant le Président de tous les sénégalais, est devenu catégoriquement le Président des sympathisants de l’APR. Interdisant tout autre sénégalais à une quelconque médiation pour une libération d’opposants politiques emprisonnés, dont le seul tort serait de ne pas adhérer la majorité. Le cas de Awa « Coudou » Ndiaye, qui, tous les après-midi prend son thé au palais présidentiel, en compagnie de la présidente Marème SALL FAYE, alors que sa camarade Aida Diongue dort en prison ; en est un parfait exemple. Le rapport de l’IGE nous apprend, un « coudou » vendu aussi cher qu’un mouton de Tabaski. Bref, j’encourage l’opposition à bien mener son rôle, et de ne point être intimidée par les menaces, aussi osées qu’elles soient. Je prie Monsieur Idrissa de bien vouloir continuer son initiative CA2017. Avec l’expérience de l’alternance 2000, Monsieur SECK pourra se mettre au-dessus des mêlées partisanes, afin de préparer le départ du président SALL en 2017. Cheikh Abdou Lahat MBACKE Coordonnateur du club de réflexion « Un Sénégal meilleur dans une Afrique unie » Washington DC US
Samedi 23 Août 2014




1.Posté par Sidiki Diouf le 23/08/2014 14:50
Vous croyez que c'est acceptable de mentir en presentant un faux document pour discredibiliser le president .
Imaginez vous les consequences de cet acte de Samuel Sarr?



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