Laser du lundi : On a scellé le mariage avec les inondations (Par Babacar Justin N'diaye)

Laser du lundi, Retrouvez chaque Lundi matin sur Dakaractu la chronique politique de Babacar Justin Ndiaye, Analyste politique et social .


Laser du lundi : On a scellé le mariage avec les inondations  (Par Babacar Justin N'diaye)
DAKARACTU.COM - Le Sénégal n’est pas situé dans l’Asie des moussons et des typhons. La presqu’île du Cap-Vert (site abritant la capitale, Dakar) n’est pas à proximité de la mer des Caraïbes qui fait figure d’autoroute des cyclones. En bordure du Sahara et en plein Sahel, le Sénégal est le pays le moins arrosé et le moins humide – nonobstant le fleuve éponyme – parmi les quatre voisins qui l’entourent. Exceptée, l’immensité aride et désertique de la Mauritanie.

Ce sont là des constats géographiques qui indexent de façon accablante tous les régimes qui se sont succédé, depuis la proclamation de l’indépendance, avec des parts de responsabilité et des doses de culpabilité évidemment variables, dans le surgissement du phénomène chronique et désolant des inondations. Même si le déficit d’anticipation et le manque de rigueur des Pouvoirs publics, largement partagés, n’absolvent aucun des nombreux gouvernements passés et actuels, au nom de la continuité de l’Etat.

S’agissant de Dakar – condensé grossissant des catastrophes enregistrées sur l’ensemble du territoire – le cauchemar sans fin des inondations trouve son origine dans un mélange incroyable de fautes (pagaille sans restrictions, incivisme sans bornes et gouvernance sans fermeté) qui ont scellé durablement le mariage avec les eaux.

Pourtant, le stock des archives géomorphologiques léguées par le colonisateur auxquelles s’ajoutent les témoignages disponibles des anciens (notamment les fameux conseillers coutumiers de l’Etat encore vivants) auraient pu dicter une politique enrayant cette occupation massive plus rapide que l’aménagement et le lotissement d’un espace aussi revêtu de bourrelets et de trous que la région de Dakar.

Au cours d’un débat sur le plateau de la défunte chaîne Canal Infos, Abdoulaye Makhtar Diop (Grand Dakarois et Grand Sérigne) a égrené devant moi, ses souvenirs de jeune adolescent allant se baigner et, parfois, se procurer des poissons dans de petits lacs et de grandes mares, non loin de la Sotiba, qui – sans l’occupation accélérée et invraisemblable de la zone – escorteraient, aujourd’hui, l’autoroute à péage. Et formeraient des Lacs Léman en miniatures, sans nocivité, entre Dakar et sa banlieue.

Que dire alors du quartier très bien nommé « Wakhinane », littéralement : dégager la terre et boire de l’eau ? Sinon le loger à la même enseigne que les pâtés de maisons établies sur la ceinture de pénéplaines (vallées évasées couronnant le stade final du cycle d’érosion d’un terrain) qui boucle la conurbation dakaroise. Bref, squatter les voies d’eau momentanément asséchées ou s’installer dans les cuvettes meublées d’immondices, reste le sûr moyen de signer un bail avec les inondations.

Il va sans dire que dans cette tragédie des eaux, les victimes ne sont point les seuls artisans de leurs propres malheurs ; puisqu’une gouvernance non dissuasive mais complaisante a permis à des sociétés sur lesquelles l’Etat a barre (la SONEES d’alors – ancêtre de la SDE – et la SENELEC) de multiplier les installations et de fournir des prestations payées dans des endroits que le Plan directeur d’urbanisation de Dakar et son instrument privilégié (le cadastre) ont clairement mis en quarantaine.

Toutefois, on peut, historiquement séquencer cette démission rampante de l’Etat et, par conséquent, tempérer le blâme à l’endroit de deux ou trois générations de dirigeants du pays. Au chapitre des responsabilités, les Présidents Senghor et Dia ont gouverné ensemble, jusqu’en décembre 1962, moins de 3 millions de Sénégalais dont moins de 500 000 habitaient Dakar. Jusqu’en 1965, la sécheresse et son corollaire (l’exode rural) n’avaient pas submergé la capitale.

Mieux, l’ultime facteur accélérateur de l’enflure physique et urbaine de Dakar, à savoir la démographie galopante, était à l’état latent. N’empêche le visionnaire Senghor avait ébauché une réponse relativement adaptée en créant la Société des Terres Neuves. Laquelle a incidemment réorienté une portion de l’exode rural vers le Sénégal Oriental.

Le casse-tête des inondations est donc consécutif à la période de sécheresse couvrant la moitié des années 60 et toute la décennie 1970 – 1980. Le Président Abdou Diouf s’est donc coltiné simultanément les graves inondations et le douloureux programme d’ajustement structurel. Sans oublier les constructions anarchiques et irrégulières que lui et son ministre de l’Urbanisme, Hamidou Sakho, ont démolies avec des bulldozers, sous une salve de critiques démagogiques émanant d’une importante palette de l’opposition : Pds, Ld et Pit. Ironie du sort, ce sont ces anciens détracteurs de la politique de déguerpissement de Diouf, qui sont maintenant (à l’exception du Pds) confrontés au même dilemme.

Et pourtant, la solution n’est pas introuvable. Bien au contraire. Elle passe par des emprunts extérieurs et des inventions nationales. La jurisprudence Sankara est encore fraiche dans les mémoires. Avant la révolution burkinabé d’août 1983, Ouagadougou était couverte de taudis laids et sales. Dès 1985, Thomas Sankara prit le taureau par les cornes.

Avec sa gouvernance à la hussarde (peu soucieuse de légalité mais très efficace) le jeune capitaine rasa plus du tiers de la commune et démarra la construction des quartiers Ouaga An 1, Ouaga An 2 et An 3. Après sa mort, le processus ne s’arreta pas : Ouaga An 4 a bel et bien vu le jour. Et le visage de la capitale burkinabé est actuellement très avenant, sur fond d’assainissement total.

Le Sénégal n’ayant jamais connu un régime politique d’exception, de telles méthodes – administrativement cavalières et électoralement suicidaires – sont à exclure. Cependant, une batterie de mesures s’imposent ; potentiellement faisables, au vu des chiffres officiels dévoilés ici et là.

En multipliant par 3 les 40 milliards vainement engloutis dans la construction d’ouvrages et d’infrastructures anti-inondations (somme à la portée du budget national et dans le champ de solvabilité de l’Etat) on rachèterait le maximum de maisons noyées (titres fonciers et permis confondus) ; et verserait in extremis une aide au recasement en guise de bonus.

Cette piste financière-là, verra sûrement ses limites vite atteintes. D’où la nécessité de la coupler avec le palliatif en cours, c’est-à-dire la construction de logements sociaux à une cadence soutenue. Bref, n’importe quel choix, sauf le maintien d’une option qui s’apparente à la volonté de remplir un Tonneau des Danaïdes.

Macky Sall doit savoir que rien de grand ne peut être fait pour la nation, sans blâme dans l’opinion. Les visites présidentielles techniquement inopportunes et politiquement opportunistes, ne fournissent aucun remède au mal des inondations. Elles sont, à peine, un sédatif qui présage de futures et intenses douleurs. A la perfusion aléatoire, il faut préférer la chirurgie saignante mais réparatrice.
Lundi 19 Août 2013
Dakar actu



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26.Posté par Atypico le 15/09/2013 16:25
ca fait du bien de telles analyses avec objectivité, recul et connaisances de l'histoire.

25.Posté par invité ka le 26/08/2013 02:00
Le rapport d’audit qui met à nu la gestion de Mary Teuw Niane - Lundi 22 Juillet 2013 -
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
http://www.popxibaar.com/UNIVERSITE-GASTON-BERGER-DE-SAINT-LOUIS-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane_a16505.html

État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce à la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen).

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-

DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.

Devant le constat :

d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.

L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.

Ainsi, l’AG exige :

le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
————-

SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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24.Posté par justicier le 24/08/2013 11:29
On n'a pas besoin d'être intelligent pour savoir de quel vous êtes et ces propos sont des propos de personnes nostalgiques de l'air des distributeurs automatiques de l'argent du peuple dont vous avez longtemps bénéficié sans souffrir ni même sué et travaillé! BASTA sachez que ces temps sont désormais révolus et que personne dans ce pays n'acceptera plus que les recettes du pays soient ponctionnées par des sangsues qui vivent du sang du peuple!!!!!!!!!!!!!

23.Posté par CAPO le 23/08/2013 18:21
excellent papier, merci B.J. ND

22.Posté par hopla le 20/08/2013 08:23
vous etes tres pertinent mais aussi tres petit; c possible; belle analyse. mais mettez vous au dessus de la melee. si macky n etait pas allé voir les inondés on le lui aurait reproché. meme si ca n ajoute rien a ses resultats ca n enleve en rien ses merites d tre humain tout ce qui a de plus ordinaire; j habite une partie seche de dakar; je ne suis pas inondé; mais a chaque fois qu il pleut mon coeur se serre a l idee de tous ces gens qui ne vont pas profitezr de la fraicheur apportée par la pluie. et pourtant je ne trouve "jamais " le temps d aller compatir avec eux; le minimum c est que le president de moi et de ces gens la le fasse ...

21.Posté par diagne le 20/08/2013 02:08
voila quelqu'un que lkes conseillers de macky doivent aller voir , analyse tres pertinente; MERCI B JUSTIN

20.Posté par diagne le 20/08/2013 02:08
voila quelqu'un que lkes conseillers de macky doivent aller voir , analyse tres pertinente; MERCI B JUSTIN

19.Posté par diagne le 20/08/2013 02:08
voila quelqu'un que lkes conseillers de macky doivent aller voir , analyse tres pertinente; MERCI B JUSTIN

18.Posté par djatou le 20/08/2013 00:26
merci d'avoir mentione SANKARA ,il fut un visionaire

17.Posté par l` OJECTIF le 19/08/2013 20:23
A vous mes chers, je pense que personne ne force personne a lire Babacar Justin , S`il vous arrive de ne pas etre d`accord avec ses reflexions ce qui du reste est votre droit le plus absolu, ayez svp l`amabilite de critiquer intellectuellement ses dires et d`y apporter le cas echeant la replique adequate, Je pense humblement que les commentaires de bas etages ne refletent que la bassesse d`esprit de leurs auteurs. AMICALEMNT

16.Posté par farma le 19/08/2013 14:30
Voila le SATAN du pays. WADE LE DISAIT. Et c'est vrai. Un verbomoteur qui n'a rien fait pour son pays et qui poussent les citoyens a detester leurs Presidents.

15.Posté par Deugg gui le 19/08/2013 12:56
En d'autres termes, il faudrait un régime qui arrête de caresser le bassin électoral qu'est la banlieue dans le sens du poil et qui va déguerpir tout ce beau monde en les renvoyant d'où ils venaient : un autre REVA?

Pourtant, on l'a bien bien fait pour dégager l'emprise de l'autoroute à péage!!!

14.Posté par citoyen le 19/08/2013 12:47
qu'est ce que les chefs coutumiers ont de plus que les autres anciens et comment abdoulaye makhtar diop qui n'a pas 70 ans peut il constituer un témoin aussi privilégié de Dakar (clin d'oeil ! )
vous etes tout simplement un bavard et vos textes sont décousus et trop colorés
vous devriez essayer le genre "san antonio" et nous laisser nos questions politiques et sociales qui sont trop sérieuses pour constituer un socle de verbiage sterile

13.Posté par moses le 19/08/2013 12:33
Je vois que tes analyses pertinentes car l’État a fauté en laissant les gens s'installer négligemment dans des zones non edificandi mais reconnais au moins la volonté du Président de lutter contre ce fléau des temps modernes. Sa visite est pleine de sens M. NDIAYE

12.Posté par ASK le 19/08/2013 12:04
de grâce monsieur ndiaye apprenez à être simple avec des phrases courtes. on ne devrait pas permettre la publication de vos articles. lisez souvent les journaux internationaux vous verrez qu'ils sont d'abord remplis d'articles écrits simplement. pas de mots recherches et pas de phrases longues. Et puis demandez aux journaux de mettre une photo plus positive.....de grâce. ...

11.Posté par Legrand le 19/08/2013 12:02
Merci pour la reflection si pertinente.

10.Posté par Baye le 19/08/2013 11:48
Merci Mr n'diaye de bien vouloir encore èclairer la lanterne des sénégalais par vos analyses pertinents et trés importants .

9.Posté par pinocchio le 19/08/2013 11:45
L on se rappelle que BARACK OBAMA en pleine campagne electorale pour son 2 ieme mandat avait totalement chamboulé son plan de campagne pour se rendre au chevet des sinistres suite aux pluies torrentielles de NEW YORK Cela n'avait suscité aucune critique de la part de son rival ROMNEY Donc il faudrait penser autrement et considerer cela comme une obligation pour tout PRESIDENT Je prefere de loin avoir un PRESIDENT sur le terrain que dans son fauteuil doré C est une initiative qu il faudrait analyser de manière positive sans verser dans la mauvaise foi ou la critique facile d'autant plus que les gens se plaignent dans ces situations de ne voir aucune autorité a leur chevet

8.Posté par sen=gal le 19/08/2013 11:36
Un prési ki rend visite à une banlieue meurtrie avec des cars remplis de militants pour faire de la figuration et ki decide de zapper la partie hostilemécontente parsk plus touchée. Triste Sénégal de la rupture

7.Posté par justicier le 19/08/2013 11:12
Au Secouuuuuuuuuuuuuuuuurs !!!!! Qui va enfin arrêter ce vieux grincheux dépassé au sens propre et figuré! Notre jeunesse gagnerai vraiment a écouter des analyses prospectives, innovantes, tendues vers l'avenir plutôt qu'un condensés d'anecdotes ressassées a longueur d'années!

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