Laser du lundi : L’Amérique déroule son Plan de paix en Casamance (Par Babacar Justin Ndiaye)


Laser du lundi : L’Amérique déroule son Plan de paix en Casamance  (Par Babacar Justin Ndiaye)

Pour employer une terminologie gouvernementale très à la mode, on constate que les Etats-Unis d’Amérique accélèrent la cadence dans le déroulement de leur Plan pour une paix rapidement restaurée dans le Sud du Sénégal. Le très spécial ambassadeur Mark Bouleware – accrédité auprès de Macky Sall et des maquisards du Mfdc –  vient de boucler une visite au pas de charge à Ziguinchor et au Nord de la Guinée-Bissau. Deux étapes et deux baromètres qui permettent de prendre la température exacte puis de tirer les premières conclusions d’un déplacement déterminant pour le destin de cette province. Et pour les desseins de l’Amérique en Casamance.
 

Arrivé le mercredi 5 mars à Ziguinchor, l’officiel américain s’est rendu à Mangokouro, siège du Mfdc urbain, situé dans la périphérie de la ville (une sorte de micro enclave libérée) où il a été chaleureusement accueilli par des dizaines et des dizaines de sympathisants de la rébellion coachés par Louis Teng, le seul survivant parmi les pionniers de la lutte armée (aux côtés de Sidy Badji) ayant fait le coup de feu, dès le mois de décembre 1982. Le surlendemain, vendredi 7 mars, l’ambassadeur Mark Bouleware a quitté son hôtel, avant 10 heures, et mis le cap sur Sao Domingo, préfecture septentrionale de la Guinée Bissau, où il a eu son premier contact avec César Atoute Badiatte, chef de la branche militairement dominante du Mfdc. Pour cette première expédition en profondeur, son Excellence Bouleware a bénéficié de l’aide de Robert Sagna ex-maire de Ziguinchor et de la collaboration du CICR, en la personne de son représentant local, un certain Monsieur Thierry.    
 

En provenance de son PC de Kassolol, le chef de guerre César Atoute est arrivé sur les lieux de la prise de contact, en compagnie de onze combattants (escorte et conseillers additionnés) pour faire face à l’émissaire d’Obama. La Guinée Bissau très soucieuse de sa souverainté est représentée à ces discussions qu’elle abrite, par deux agents des services secrets guinéens. Une vigilance bissau-guinéenne qui s’explique d’une part, par l’absence du Préfet de Sao Domingo en voyage à Lisbonne ; et d’autre part, par la méfiance maladive de l’appareil militaire – coiffé par le Général Antonio Njaye – vis-à-vis des Américains, depuis la capture de l’Amiral Americo Gomez alias Bubo Nachutcho. C’est là un indice déjà révélateur des auspices sous lesquels les entretiens américano-Mfdc se sont déroulés sur le sol d’un Etat dont la caste militaire n’est pas en odeur de sainteté auprès de Washington.


Qu’à cela ne tienne : les échanges ont été larges et profonds entre le diplomate chevronné Mark Bouleware et le rigide rebelle César Atoute. Au regard du menu de la palabre, on peut retenir un résultat en demi-teinte, synonyme de demi-succès. En effet, il y a plusieurs « oui » et un grand « non ». Le chef maquisard a donné son feu vert pour une poursuite et un élargissement du champ de déminage ; notamment autour des carrières de latérite dont l’exploitation facilitera la construction des routes (secondaires) dérivées de la Route Nationale numéro 6 (RN6) appelée communément : la route du Sud. César Atoute Badiatte a dit également « oui » au statu quo, c’est-à-dire à cette accalmie (ni paix ni guerre) qui rime avec zéro accrochage et/ou zéro combat entre l’armée et le maquis. En revanche, c’est un « non » catégorique qu’il a opposé à l’Américain qui envisage la réhabilitation des bretelles qui se détachent de la RN6 et s’enfoncent vers la frontière avec la Guinée Bissau.
 

Ce point d’achoppement est d’autant plus sérieux que ces routes cristallisent l’intérêt des Etats-Unis qui ont dégagé une enveloppe de 14 millions de dollars (plus de 7 milliards CFA) pour ce volet précis de leurs investissements massivement prévus en Casamance. De son côté, le chef rebelle mesure l’importance stratégique de ses voies qui débouchent sur ses cantonnements. Aux yeux de César Atoute, ces routes constituent de parfaits axes de pénétration pour les unités motorisées de l’armée sénégalaise. D’où son refus tempéré par une condition de taille, à savoir le démantèlement des positions de l’armée nationale dans tous les secteurs que désenclaveront les bretelles dont la réhabilitation est financée non pas par l’US AID ou le MCA ; mais curieusement  par le ministère américain de l’Agriculture.   
 

Ce demi-succès obtenu à Sao Domingo est le pendant d’un autre succès (mitigé) enregistré à Rome, en février dernier, sous l’égide de Sant’Egidio sponsorisé diplomatiquement voire financièrement par les USA. Car l’inévitable Mark Bouleware avait traversé la Méditerranée au moment où les négociateurs de Salif Sadio (l’autre chef rebelle) étaient les hôtes de Mauro Garofalo, le patron du département Afrique de Sant’Egidio. Preuve que l’Amérique met les bouchées doubles en Casamance. Et, surtout, accentue la pression sur tous les fragments du maquis. Une sollicitude hérissée d’interrogations relatives aux desseins véritables de l’Amérique en Casamance. L’argument du terrorisme rampant sur un terreau fertile étant vraiment sommaire et réellement sot, au regard de l’Histoire tumultueuse de cette province qui est labourée par un irrédentisme farouche (la révolte d’Efok en 1941-43 et l’assaut contre le gouvernorat de Ziguinchor en 1982)  bien antérieur à l’épopée du FIS en Algérie et aux attentats contre les deux tours jumelles de New-York, en septembre 2001.


Pour l’instant, les rapports de force au sein du Mfdc – et par ricochet sur le terrain –  sont immédiatement plus perceptibles et plus précieux à cerner que les opaques desseins des Etats-Unis.  Sur le théâtre des opérations, un basculement s’est lentement mais irréversiblement produit. Aujourd’hui, César Atoute Badiatte a plus de bonnes cartes en main que son rival Salif Sadio. Chef incontesté du Front Sud, César a réussi le tour de force d’établir une constellation de cantonnements dans le département de Bignona. Donc au Nord. Par exemple, la base de Diakaye est commandée par son poulain Paul Aloukassi. Récemment, il (César Atoute) a créé – suprême audace – un cantonnement à Blok (village abandonné) situé à 300 mètres du PC de la place forte de Sadio. La proximité du territoire gambien et la ligne brisée de la frontière sont telles que les rebelles de César se ravitaillent en Gambie dont le régime est suffisamment policier pour bien surveiller pareils mouvements et ravitaillements. En clair, Salif Sadio est militairement surclassé par César Atoute. Et politiquement dévalué ; parce que blâmé voire excommunié par le Mfdc-Europe qui –  dans un document diffusé sur son site – le considère comme : « un gourou qui va végéter dans la minorité politique et sombrer dans l’affaissement militaire ».


Impossible de décrypter le dossier casamançais et d’évaluer les chances de paix sans jauger l’attitude du Président Yaya Jammeh qui est l’énigmatique voisin. A ce titre, il est aussi l’autre acteur ou franc-tireur de la crise casamançaise. Dans la présente conjoncture, il va sans dire que l’ambassadeur Mark Bouleware et tous les spécialistes épient les faits et les gestes du maitre de Banjul. Chez Yaya Jammeh, la netteté du discours et l’ambigüité du comportement font bon ménage. Le chef de l’Etat gambien est, à la fois, hostile à l‘endroit de Sant’Egidio, tolérant vis-à-vis de Salif Sadio et verbalement amical à l’égard du Sénégal. Un jeu délibérément compliqué qui lui permet – un double avantage – de restreindre la marge de manœuvre de Salif et de surveiller cette intrusion américaine manifestement bénie par les autorités sénégalaises. Bref, la partie de poker a débuté. Mais, la pax americana  sera-t-elle vite au rendez-vous ?   
 

La réponse est tributaire des cartes que l’Américain Mark Bouleware va abattre. A-t-il une recette face à la Casamance qui est le cimetière de moult accords de paix et de rounds de négociations ? Les accords de Toubacouta (29 mars 1991) ceux de Cacheu (17 avril 1992)  les fameux conclaves de Banjul (1998-1999) et la tentative de rencontre à Paris entre le Général de gendarmerie Abdoulaye Fall et Nkrumah Sané, en 2004, illustrent le degré d’empierrement du casse-tête casamançais qui ne décourage guère son Excellence Mark Bouleware. A-t- il versé une dîme – sur les 14 millions de dollars – dans l’escarcelle de César Atoute pour acheter ce demi-succès autour du déminage ? L’avenir dévoilera la botte secrète du « Monsieur Casamance » de Washington.  
 

Une semaine après le passage de Mark Bouleware, le Président Macky Sall entamera (le 17 mars prochain) une visite dans la région de Ziguinchor. Occasion idéale pour décliner les desseins du gouvernement en Casamance, au moment où d’autres desseins (ceux qu’on prête à l’Amérique) ainsi que des incertitudes voisines (la présidentielle d’avril 2014 à Bissau) s’agrègent et rendent davantage illisible le destin de cette province esquintée.  

 
Lundi 10 Mars 2014
Dakar actu




1.Posté par A.K.TOURE le 10/03/2014 03:58
ARNAQUE, COMPLAISANCE OU COMPLICITÉ A LA TUERIE


SI NOS DIRIGEANTS AFRICAINS SONT AU COURANT DE CETTE MAFIA ET CONTINUENT D’ADOPTER ET DE PROPAGER LE PROGRAMME DE CES CHIENS, ALORS ILS SONT PIRS QU’EUX !!!!







Conspiration
Le SIDA et d’autres virus ont bien été créés en laboratoire par les Etats-Unis dans un but génocidaire



Avic
Dimanche 28 Juillet 2013


Cet article vient compléter celui publié sur de nombreux médias citoyens cette semaine. Le sujet peu sembler vu et revu depuis des années et pourtant, en constatant le doute qui persiste chez beaucoup de lecteurs, il convient de creuser le sujet afin de démêler le vrai du faux.

Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d’immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quand à elles qu’aucun virus VIH n’a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d’autres qu’il s’agit d’un virus crée en laboratoire. Tout cela n’est pas très clair. Alors qu’en est-il vraiment?

Cet article retranscrit essentiellement les recherches du Dr Boyd Graves s’étant penché réellement sur la question sans passer par le prisme de la pensée unique. Une vidéo du Dr Horrowitz et divers documents déclassifiés du gouvernement viennent confirmer ses dires. Le Dr Graves décédera le 18 Juin 2009 d’une infection par la bactérie Escheria Coli. Les plaintes en justices engagés contre le gouvernement des Etats-Unis ont été à chaque fois étouffées.


(voir l’organigramme plus en détail).

Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux. Ils parlent précisément des armes biochimiques US (l’aspartame y serait d’ailleurs mentionné).

L’histoire du développement du SIDA

Le Dr Boyd E. Graves 28 septembre 2002

Extrait du livre «State Origin: The Evidence of theLaboratory Birth of AIDS"

"La véritable histoire de l’origine du sida peut être retracée tout au long du 20ème siècle en commençant par 1878. Le 29 Avril de cette année les Etats-Unis ont adopté une «Loi fédérale de quarantaine".

Les Etats-Unis ont fait un effort significatif pour enquêter sur les «causes» des épidémies. En 1887, l’effort a été renforcée grâce au «Laboratoire d’hygiène". Ce laboratoire était dirigé par le Dr Joseph J. Kinyoun, un raciste pur et dur, qui servait l’idéologie eugéniste.

Deux ans plus tard, en 1889, nous avons pu identifier les "mycoplasmes", un agent transmissible, qui est maintenant considéré comme étant le cœur des maladies humaines, y compris le SIDA.

En 1893, nous avons renforcé la Loi fédérale sur la quarantaine et tout à coup il y a eu une explosion de la polio.

En 1898, nous savions que nous pourrions utiliser des mycoplasmes pour provoquer des épidémies, parce que nous étions en mesure de le faire chez les bovins et dans les plants de tabac.

En 1899, le Congrès américain a commencé à étudier la lèpre aux Etats-Unis.

En 1902, nous avons organisé une "observatoire d’évolution expérimentale" et avons pu identifier les maladies de nature ethnique.

En 1904, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les chevaux.

En 1910, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les volailles.

En 1917, nous avons formé la «Fédération de la Société Américaine pour la Biologie Expérimentale» (FASEB).

En 1918, le virus de la grippe tue des millions de gens sans crier gare. C’était un virus de la grippe modifié avec un mycoplasme aviaire pour laquelle les primates humains n’avaient aucune "immunité acquise".

En 1921, le théoricien de l’eugénisme Bertrand Russell, soutient publiquement la «nécessité d’organiser des "fléaux" contre la population noire.

En 1931, des tests sont faits secrètement sur les Afro-Américains et expérimentons le SIDA sur les moutons.

En 1935, nous apprenons que l’on pourrait cristalliser le mycoplasme du tabac et qu’il resterait infectieux.

En 1943, nous commençons notre programme de guerre biologique. Peu de temps après, nous étudions les mycoplasmes chez les humains en Nouvelle Guinée.

En 1945, nous assistons au plus grand afflux de scientifiques étrangers de l’histoire dédiés au programme biologique américains. L’Operation Paperclip restera dans les annales comme étant l’un des programmes les plus sombres d’un gouvernement parallèle véreux faisant une fixation sur le génocide.

En 1946, la marine américaine engage le Dr Earl Traub, un biologiste raciste notoire.En mai, une séance de la Commission des Finances confirme l’existence d’une arme biologique « secrète ».

En 1948, nous savons que les États-Unis ont confirmé l’approbation de «l’élaboration d’un projet" dans lequel la question de la surpopulation de certains groupes raciaux est évoquée.

Un mémo de George McKennan du Département d’État permet de mettre en exergue le mensonge eugéniste nécessaire au génocide de millions d’innocents.

En 1949, le Dr Bjorn Sigurdsson isole le virus VISNA. Visna a été crée par l’homme et partage une partie de l’ADN du VIH. Voir, Proceedings of the United States, NAS, Vol. 92, pp. 3283 – 7, (11 Avril, 1995).

En 1951, nous savons maintenant que notre gouvernement a mené sa première attaque de virus sur les Afro-Américains en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, des cageots sont infectés afin de découvrir combien de manutentionnaires noirs en Virginie seraient atteints d’un virus placebo.Ils ont également infecter expérimentalement les moutons et les chèvres. Selon l’auteur Eva Snead, la première conférence mondiale sur un virus semblable au SIDA a lieu.

En 1954, le Dr Bjorn Sigurdsson publie son premier article sur le virus Visna et s’impose comme le "grand-père du virus du sida." Il va rencontrer la concurrence du Dr Carlton Gajdusek.

En 1955, ils réussissent à créer artificiellement le virus de la mosaïque du tabac. Les Mycoplasmes seront toujours au cœur du programme de guerre biologique US.

En 1957, le futur président américain, Gerald Ford (ndlr: un franc-maçon du 33ème degrés, autant dire un sataniste pur et dur) et quelques autres donnent au Pentagone la permission de déployer des agents biologiques pathogènes. Il n’y a pas de cas signalé de SIDA avant 1957, date de la création du "special operation x" (La SOX), programme qui a servi de prototype pour le programme du "virus spécial" qui commencera en 1962.

En 1960, Nikita Khrouchtchev était au courant de l’arme biologique. Sa déclaration de 1960 restera longtemps le reflet de l’arrogance de la collusion secrète entre le communisme et la démocratie. Les deux pays s’accordent en Novembre 1972 pour la réduction de la population noire.

En 1961, le scientifique Haldor Thomar publie que les virus provoquent le cancer.

En 1995, lui, Carlton et Gajdusek informent la National Academy of Sciences que «l’étude sur le visna sur les moutons serait le meilleur essai pour d’éventuels médicaments contre le HIV."

En 1962, sous couvert de recherche sur le cancer, les États-Unis tracent le chemin pour commettre des meurtres prémédités, le programme "Spécial Virus" commence le 12 Février. Dr. Len Hayflick met en place un laboratoire de mycoplasme à l’Université Stanford. On pense que le programme "Spécial Virus" a commencé en Novembre 1961 avec un contrat de Pfizer.

À compter de 1963 et les années suivantes, le programme "Spécial Virus" menait des compte rendus annuels au Hershey Medical Center, Hershey, en Pennsylvanie. Les réunions annuelles sont emblématiques de la nature agressive de la recherche des E.U. sur le développement du SIDA.

En 1964, le Congrès des États-Unis a donné son plein appui à la recherche sur le virus de leucémie / lymphome (SIDA).

En 1967, l’Académie nationale des sciences a lancé un assaut à grande échelle sur l’Afrique. La CIA (Division Technical Services) accepte son programme secret d’inoculation.

En 1969, 18 Juillet, Fort Dietrick informe des scientifiques dans le monde et le Pentagone demande davantage d’argent, ils savent qu’ils peuvent fabriquer le SIDA. La note de service secrète sur le « Surpeuplement » de Nixon au Congrès marque le début de la chaîne de l’holocauste du SIDA.

En 1970, le président Nixon (ndlr:Franc-maçon) signe PL91-213 et John D. Rockefeller (ndlr: illuminati), III est devient «tsar de la population." Le Mémo de Nixon relatif à la sécurité nationale ne laisse aucun doute quant à la nature génocidaire du dépeuplement.

En 1971, Sortie du Compte Rendu n°8. L’organigramme (p.61) reste à tout jamais l’acte de naissance du SIDA en laboratoire.Le rapport d’avancée n ° 8 est délivré. Au fil du temps, le programme Spécial Virus produira 15 rapports et plus de 20.000 notes scientifiques. L’organigramme constitue le lien entre tous les documents scientifiques, l’expérimentation et les contrats des Etats-unis. Il restera « manquant » jusqu’en 1999. Les scientifiques du monde entier sont stupéfaits. L’organigramme prendra tout son sens au cours du 21ème siècle. Il apparaît aussi que les expériences poursuivies dans la Phase IV-A de l’organigramme offrent la meilleure piste vers une thérapie plus efficace pour les porteurs du VIH/SIDA. Les 60 premières pages du Compte Rendu n°8 du programme Spécial Virus dévoilent de façon probante le but de l’opération. En Juin 1977, le programme Spécial Virus avait produit 66 000 litres de SIDA. Le virus du SIDA était ajouté aux vaccins envoyés en Afrique et à Manhattan. Cependant, grâce à la franchise d’auteurs tels que le Dr. Robert E. Lee, nous apprenons que le Laboratoire de Mycoplasmes de Stanford publie un des premiers rapports incluant le terme SIDA dans son titre : « Infections Virales chez l’Homme Associées au Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise ». Le scientifique initial, le Dr. Thomas Merigan, était « conseillé » dans le programme Spécial Virus

Le compte rendu n ° 8 page 104-106 prouve que le Dr Robert Gallo travaillait secrètement sur le de développement du virus avec le plein appui du secteur du gouvernement américain qui cherchait à tuer ses concitoyens. Dr Gallo ne peut pas expliquer pourquoi il a exclu son rôle de «chef de projet» pour le programme Spécial Virus dans sa bibliographie. Les premiers travaux et découvertes du Dr Gallo peuvent être mis en relation avec l’organigramme de 1971. Nous savons maintenant comment chaque expérience s’y imbrique. La logique de recherche est une preuve irréfutable de l’existence d’un "Manhattan project" visant à élaborer un cancer contagieux qui tue sélectivement. Le document de 1971 du Dr Gallo est d’ailleurs identique à son annonce faite en 1984 sur le SIDA.

Le compte rendu n ° 8 page 273-286 prouve que nous avons inoculé le sida à des singes. Depuis 1962, les Etats-Unis et le Dr. Robert Gallo ont infecté des singes et les ont relâchés dans la nature. Ainsi, même des scientifiques du gouvernement sont stupéfaits de constater l’apparition soudaine du HIV-1 et HIV-2 chez deux espèces de singes d’origines différentes, au cours des cent dernières années. Une étude japonaise de 1999 révélera finalement l’origine anthropique du virus du SIDA chez les singes. Les résumés des expériences faites sur les singes prouvent définitivement que le virus d’immunodéficience simienne est également fabriqué par l’homme.

En 1972, les Etats-Unis et l’Union soviétique signent un accord biologique qui signe l’arrêt de mort de la population noire. L’accord de 1972 pour la collaboration et la coopération dans le développement d’agents biologiques offensifs fait toujours partie de la politique des Etat-Unis.

En 1973, le scientifique de renommée mondiale, Garth Nicolson fait un rapport sur son projet, «« Rôle de la Surface Cellulaire pour Echapper à la Surveillance Immunitaire » (Role of the Cell Surface in Escape From Immunological Surveillance). Son rapport est accompagné de sept articles publiés. Le Dr.Nicolson a travaillé en collaboration avec le programme Spécial Virus de 1972 à 1978. Il est considéré par certains comme étant le collaborateur de la côte ouest du Dr Gallo. Il est fortement suspecté qu’en raison du Dr.Nicolson, le Dr Robert Gallo et le Dr Luc Montagnier se seraient secrètement rencontrer en Californie du Sud pour se mettre d’accord sur ce qu’ils pourraient dire et ne pas dire sur le programme de développement du "spécial virus".

En 1974, Henry Kissinger (ndlr: Franc-maçon de 33ème degrés) produit son NSSM-200 (plan américain de lutte contre la surpopulation). Il est le seul sujet de discussion lors de la Conférence mondiale de la population à Bucarest, en Roumanie. Les hommes de l’ombre avaient gagné, tout le monde était d’accord pour secrètement abattre la population africaine. Aujourd’hui, c’est l’Afrique et d’autres qu’ils considèrent indésirables. Demain, cela pourrait être vous.



En 1975, Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger .

En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme "Spécial Virus". Le rapport prouve l’existence d’accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais. Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commençet, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA. Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noir.



En 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l’Afrique et le vaccin expérimental de l’hépatite B pour Manhattan. D’après les auteurs Juin Goodfield et Alan Cantwell, le lot n ° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes. Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol sociale, l’humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement. Les hommes de l’ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez pas de la mort de noirs et d’homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d’un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. Bientôt, il n’y aura plus de population noir ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n’auraient toujours rien compris.» Cela vous permettra peut être de mieux comprendre la situation.

Cette vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo. (Si quelqu’un veut se dévouer pour une VOSTFR…)


Soudain, tout comme le président Nixon l’avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, ….
"Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains …."Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA.

Davantage de détails sur l’histoire du programme de virus secret peut être trouvé dans les archives du Dr. John B. Moloney. L’examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d’identifier d’autres dates et archives qui correspondent à l’une des plus grande prolifération de maladie dans l’histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique logique de recherche d’un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l’ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson. Connaissant les mécanismes d’attaque par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique.

Aider ceux d’entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive. Nous sommes tous un même peuple.

Le 28 Septembre 1998, j’ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA. Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement »." Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l’organigramme du gouvernement.(ndlr: et pourtant si…il suffit que la cour soit composée de franc-maçons qui sont tenus par serment de s’entre-aider et le tour est joué: c’est beau la justice n’est-ce pas?).

On m’a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI. Le signle MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA. La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie "NAOMI" signifie "les noirs ne sont que des individus temporaires." ( Negroes are Only Momentary Individuals). Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires. À l’heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités. Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d’indignation dans l’opinion public. Nous ne pouvons pas permettre à l’Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution. Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d’Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs. Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu’ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l’organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l’existence d’un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire.


~ Boyd ‘Ed’ Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009





L’origine du SIDA est aussi à l’origine de presque tous les virus du cancer qui existent. Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d’une longue liste de maladies crées par l’homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l’armée. En 1971, Fort Detrich changea de mains, et sous le couvert de l’Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l’arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l’appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire "pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenu".

L’OMS est dirigée par l’ONU et à son tour, l’OMS répercutent les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions pandémie.

Si vous n’êtes pas déjà au courant du but de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, l’AMA (American Medical Association), faites des recherches, l’information n’est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

l’AMA a été créée pour stopper les établissements d’enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu’il ne soit possible de se former que dans les universités. C’est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l’oxygène et la vrai santé et ne connaissent pas grand chose comme remèdes.

Comme Hippocrate le disait: "soyez votre propre médecin".

Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu’il n’y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer crée par l’homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d’options, qui sont tenue à l’écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu»."

Conclusion:
Que dire si ce n’est que ce médecin a tout compris. Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l’élite sataniste qui nous gouvernent ne datent pas d’hier. Méfions-nous de leurs manigances. Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l’article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l’OMS ne s’intéresse pas à notre santé (au contraire, ils sont là pour diminuer la population mondiale, typiquement par le biais de ce genre de programmes). Si par hasard, cette hiver on voit un virus mutant de la grippe aviaire faire son entrée, on saura pourquoi.

Sources:
http://www.boydgraves.com/flowchart/
http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline
http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090
http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.htm

Traductio/Synthèse:
Fawkes News



Dimanche 28 Juillet 2013



Source :
http://www.alterinfo.net

CONSEILS : faites attention aux médicaments si vous ne pouvez pas les laisser, manger sain si possible Bio, surtout l’EAU, un peu de sport et consommez très souvent du CITRON et d’autres antioxydants alimentaires naturels !
PS : si les vidéos ne s’ouvrent pas ici, mettez le titre (Le virus du Sida et d’autres virus……..) dans Google pour les ouvrir


2.Posté par Atypico le 10/03/2014 10:06
L'indépendance demandée par les dits "rebelles" me paraît à la fois une illusion ( vu le nombre de forces" étrangères" à la Casamance impliquées et intéressées par ce conflit ) et un bon alibi pour masquer des ambitions de simple 'enrichissements personnels, les armes à la mains. de quelques personnalités locales Mais .pour savoir si une paix durable reste possible dans une Casamance sénégalaise "autonome" , il faut se poser aussi les questions suivantes : 1) Qui à part Dakar a intérêt à résoudre ce conflit qui affaiblit le Sénégal et son rôle de leader dans la sous - région et à travers lui limite l'influence de ses alliés historiques ? 2) Qui n'espère pas par ailleurs pouvoir accéder un jour aux richesses minières et pétrolières qui y ont été récemment détectées ? Répondre à ces deux questions c'est conclure que la paix n'est malheureusement pas pour demain....

3.Posté par Xeme le 10/03/2014 12:25
La question c'est pourquoi accepter l'implication des USA jusqu'à ce point de la recherche de la paix. Le monde entier sait que les USA n'ont jamais réussi une paix nul part dans le monde. Au contraire, les USA travaillent partout pour des guerres, c'est leur source de revenues, c'est ce qui fait tourner leurs industries des armements. Comment au vu de toutes ces réalités, les légionnaires en sont arrivés à les impliquer à ce point ?

4.Posté par Vérité!!! le 10/03/2014 14:48
Monsieur NDIAYE,
J'admire votre connaissance du dossier et vous remercie de partager ces superbes analyses afin d'éclairer sur l'évolution de cette crise multiformes (multiforme car ce MFDC ne me représente pas et ne représente même pas 10% de la population Casamancaise), multiforme car au lieu d'une rebellion c'est devenu un business. Alors quand ces César parlent, ils n'ont qu'à parler business au nom de leur conseil d'administration et pas au nom de la Casamance.
Je vous demanderai, monsieur Ndiaye d'arrêter d’utiliser le terme "PROVINCE" en faisant allusion à la Casamance, ce n'est pas une Province, sinon pourquoi ne parlerait on pas de la province du Sénégal oriental??? J'espère seulement que vous ne le faits pas à dessein. Car éminent politologue que vous êtes ne pouvez ignorer ce que Province peut insinuer. Ceux qui lisent entre les lignes savent ce que je veux dire.

Wa salam

5.Posté par Gabar le 11/03/2014 20:31
Tiens! Notre Nostradamus national qui nous revient, avec encore un article sans intérêt et ses théories fumeuses. Encore un de ceux qui remuent les braises sous la cendre, quand les tendances deviennent favorables. La marche vers la paix est irrémédiable, ne vous en déplaise. Les Salif, Atoute, Justin, Krumah, et autres affairistes et hurluberlus qui ont transformé de paradis en enfer n'y peuvent rien

6.Posté par We need peace le 12/03/2014 05:33
Plus têtu que toi tu meurs casamance rebelle militaire tu n as que ça a la bouche ton rayon de réflexion n est vraiment pas large fiche nous la paix vieux aigri Justin je sais maintenant que si la paix revenait définitivement tu t ennuierais à mort sou bokhout mala Yow!!!!

7.Posté par Alerte le 14/03/2014 14:36
C'est comme si ce Babacar Justin Diop ne voulait pas de la paix pour cette région. La mafia est dans le tous les secteurs. Ce Mr vit de cette crise à travers ses "chroniques" ou autres analyses. Le jour où elle cessera, il lui faudra chercher un autre thème. Qu'y a-t-il à se mettre même à 10 voir 100 pour trouver la paix définitive. Si elle doit passer par un Chinois, un US, un Congolais ou Palestinien.. l'essentiel demeure la paix. Je ne vois aucun mal à ce qu'une bonne volonté viennent donner un coup demain pour y arriver. Arrêter ce chauvinisme. Bientôt 40 ans que cette crise dure. Essayons d'autres stratégies.



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