Le Parti social-démocrate (Psd Jant-Bi) est monté au créneau pour soutenir qu’«en s’autoproclamant de fait, Commandant en chef des opérations contre le terrorisme, le président Macky lâche tout simplement la proie pour l’ombre, et ne tire que sur du vent».
En effet, rappelant qu’à l’occasion de la Conférence Islamique pour la paix, il a ordonné que les mosquées soient surveillées, de l’avis de Mamour Cissé et de ses camarades, «si les mosquées doivent être surveillées, ce n’est pas contre le terrorisme, aujourd’hui, mais plutôt contre le bavardage intempestif et dévastateur de certains imams, dont la frivolité du discours et son indécence, le disputent souvent, à l’ethnicisme le plus primaire et la partialité la plus vénale, sources de graves fractures nationales».
En vérité, poursuivent-ils : «Le terrorisme déjà opérationnel au Sénégal, et qui compte des millions de victimes chaque jour, c’est la violence continue, qu’exerce la Senelec sur les droits des abonnés, qui ne bénéficient pas d’un approvisionnement correct et régulier en électricité, malgré le respect de leur part de contrat, qui est de payer normalement leurs lourdes factures».
Avant d’ajouter à travers une déclaration : «Ces manquements là, aussi bien au sein des ménages que dans les entreprises, constituent une véritable catastrophe nationale». Une occasion pour défendre que «le terrorisme, c’est aussi, dans le contexte du Sénégal actuel, la communication superficielle des responsables de la Senelec sur ces délestages parce qu’ils sont muets sur les conditions et les étapes d’un retour à la normale». Mieux, soulignent M. Cissé et ses camarades : «Le terrorisme qui nous agresse, c’est aussi cette maltraitance des enfants, sans réactions vigoureuses de l’Etat, dont la première mission est pourtant, la protection des couches vulnérables. Au contraire il fait profil bas, sous la pression de lobbies parfaitement identifiés».
Non sans dire que «le terrorisme qui sévit au Sénégal, c’est aussi cette Ecole qui bascule dans la médiocrité, et dont les résultats officiels catastrophiques, aux différents examens en est une preuve indiscutable».
Le Psd Jant-Bi n’a pas manqué de rappeler que «le terrorisme qui nous indispose, c’est cette solidarité gouvernementale ravagée par un secrétaire d’Etat bavard et activiste, qui met le doigt sans en avoir l’air, sur un manque de discernement du Chef de l’Etat qu’il insinue parce que ce dernier continue d’avoir confiance en un Ministre des Affaires étrangères qu’il nous présente comme à la moralité douteuse».
En effet, rappelant qu’à l’occasion de la Conférence Islamique pour la paix, il a ordonné que les mosquées soient surveillées, de l’avis de Mamour Cissé et de ses camarades, «si les mosquées doivent être surveillées, ce n’est pas contre le terrorisme, aujourd’hui, mais plutôt contre le bavardage intempestif et dévastateur de certains imams, dont la frivolité du discours et son indécence, le disputent souvent, à l’ethnicisme le plus primaire et la partialité la plus vénale, sources de graves fractures nationales».
En vérité, poursuivent-ils : «Le terrorisme déjà opérationnel au Sénégal, et qui compte des millions de victimes chaque jour, c’est la violence continue, qu’exerce la Senelec sur les droits des abonnés, qui ne bénéficient pas d’un approvisionnement correct et régulier en électricité, malgré le respect de leur part de contrat, qui est de payer normalement leurs lourdes factures».
Avant d’ajouter à travers une déclaration : «Ces manquements là, aussi bien au sein des ménages que dans les entreprises, constituent une véritable catastrophe nationale». Une occasion pour défendre que «le terrorisme, c’est aussi, dans le contexte du Sénégal actuel, la communication superficielle des responsables de la Senelec sur ces délestages parce qu’ils sont muets sur les conditions et les étapes d’un retour à la normale». Mieux, soulignent M. Cissé et ses camarades : «Le terrorisme qui nous agresse, c’est aussi cette maltraitance des enfants, sans réactions vigoureuses de l’Etat, dont la première mission est pourtant, la protection des couches vulnérables. Au contraire il fait profil bas, sous la pression de lobbies parfaitement identifiés».
Non sans dire que «le terrorisme qui sévit au Sénégal, c’est aussi cette Ecole qui bascule dans la médiocrité, et dont les résultats officiels catastrophiques, aux différents examens en est une preuve indiscutable».
Le Psd Jant-Bi n’a pas manqué de rappeler que «le terrorisme qui nous indispose, c’est cette solidarité gouvernementale ravagée par un secrétaire d’Etat bavard et activiste, qui met le doigt sans en avoir l’air, sur un manque de discernement du Chef de l’Etat qu’il insinue parce que ce dernier continue d’avoir confiance en un Ministre des Affaires étrangères qu’il nous présente comme à la moralité douteuse».
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