Le président WADE à mis un point d'honneur sur la démocratie sénégalaise en refusant de de figurer parmi les chefs d’États présent au sommet de la francophonie qui se tenait les 29 et 30 novembre à Dakar. Son refus à l'invitation du président Macky Sall avait siccité des réactions du coté du pouvoir. et le chef de l’État sénégalais à été le premier a réagir.en déclarant sur le plateau de la chaîne de télévision France 24.."Mon devoir à était de l'inviter quelques soient les divergences et problèmes qui peuvent exister entre nous et si le président Senghor était de ce monde il serait très heureux de rejoindre Diouf et moi". Par la suite c'est dans les couloirs du centre internationale de conférence de Diamianio qui porte désormais le nom de l'ancien président DIOUF que Mr Amath DANSOKO président du PIT d’évoqué sur les antennes de la 2STV l'absence du président WADE qui d’après sa propre conscience le président Wade aurait sans doute été magnifié de sa présence.. Il a tenu aussi à rappeler aux sénégalais qui viennent l’écouter qu''il n y aura pas de guerre civile au Sénégal.Le président WADE été claire sur son choix de ne pas participer à ce sommet en adressant une lettre de réponse au président Macky Sall. Peut-on reprocher au président Wade qui s'est battu toute sa vie contre l'exploitation néocoloniale son refus de participer à un sommet bâtît sur le système du colonialisme. Le président Chirac et son premier ministre de l’époque Lionel Jospin ne ce sont pas déplacés au Sénégal pour rendre un dernier hommage au président Senghor grand serviteur de la langue française.Le secrétaire général sortant de L'OIF organisation internationale de la francophonie Mr Abdou DIOUF ensemble avec le président Macky Sall. Ils avaient un devoir qui était de réussir leur sommet sans les honneurs du président WADE et montrer au peuple sénégalais les intérêts sociaux économiques qui ont poussé l’État du Sénégal à dépenser plus de 65 milliards rien que pour accueillir des chefs d’États dont la plupart instaurent un régime de dictature dans leur pays. Birahim JON
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