La jeunesse Sénégalaise de Pointe-Noire au Congo : A l’offensive pour jouer sa partition dans le développement



AliouThimbo, président de l’Association Sénégalaise des jeunes de Pointe Noire


Pointe Noire est une ville océane et capitale économique de la République du Congo. Aussi c’est un berceau de l’émigration ou près de sept mille Sénégalais y vivent aujourd’hui, avec comme vitrine sa jeunesse qui entend jouer une belle partition pour le développement du Sénégal.


La jeunesse Sénégalaise de Pointe-Noire au Congo : A l’offensive pour jouer sa partition dans le développement
 
 
La jeunesse compte jouer pleinement sa partition dans le développement socio-économique du Sénégal à partir de sa terre d’accueil Pointe-Noire, ville océane et capitale économique de la République du Congo. En effet,  regroupée au sein d’une association apolitique et à but non lucratif d’entraide et de solidarité, elle est composé pour l’essentiel de commerçants, souligne son président Aliou Thimbo. Ce dernier s’en est fait l’écho devant le ministre des Sénégalais de l’Extérieur, Madame Seynabou  Gaye Touré, qui était en visite d’imprégnation de la diaspora d’Afrique depuis une douzaine de jours. C’est hier qu’elle a pris contact avec les Sénégalais établis au Congo-Brazzaville.
 La personnalité juridique (récépissé, statuts et règlements intérieur etc.) de cette structure étant acquise au Congo, cette dynamique est poursuivie au niveau du Sénégal où le dossier est en instance de traitement, ainsi que le précise M Thimbo qui a lancé un appel solennel aux autorités pour la délivrance de ce précieux quitus afin de leur permettre d’éclore les potentialités de cette jeunesse engagée dans la bataille pour le développement du Sénégal. 
«L’originalité de notre  démarche repose sur la rupture  amorcée en matière de gouvernance  par le Président Macky Sall, qui est lié par une sublime histoire avec les Sénégalais de Pointe-Noire», fait remarquer Aliou Thimbo.
C’est avec beaucoup d’espoir et d’enthousiasme que les jeunes sénégalais  ont transmis au ministre-délégué chargé de la Diaspora  les doléances. Parmi ces doléances, on peut relever l’accès au Fonds national de promotion de la jeunesse, au Fonds pour le développement agricole et l’encadrement nécessaire pour une mise en œuvre efficiente et la gestion des projets.
Aussi la création d’une Ecole sénégalaise au Congo, selon le modèle et les modalités d’enseignement en vigueur dans son pays d’origine a fait l’objet d’une forte doléance de la communauté sénégalaise.
 
Lundi 4 Mars 2013




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