[ LIVE ] Suivez en direct, minute par minute, le film des évènements de ce 23 juillet.


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19h 20 Wade quitte les lieux du meeting en laissant les Sénégalais sur leur faim. Il n'était visiblement pas inspiré aujourd'hui.

19h 19 Il fait un clin d'oeil aux étudiants. Et leur recommande de s'intéresser à l'avenir du pays. Il remercie l'UJTL, la jeunesse du PS et la jeunesse de l'AFP. Il dit qu'il arrête son discours parce que le préfet lui a rappelé qu'il ne lui avait donné que jusqu'à 19h dans l'autorisation du meeting. 

19h 15 Manifestement en méforme aujourd'hui, Wade a un discours décousu, incohérent. Il demande à ses militants de bien remuer d'ici les élections, de multiplier les meetings d'ici l'élection.

19h 11 Wade félicite les députés et dit qu'ils n'ont pas mal fait de ne pas avoir voté le projet de réforme constitutionnelle qui n'avait pas été suffisamment expliqué. Il félicite les magistrats et demande qu'on arrête de les dénigrer.

19h 10 Nous découvrons que la RTS a pris le signal de la TFM dès le début du discours de Wade.

19h 08 " A la différence des hommes, les femmes sont toujours à mes côtés. Avec elles, on va reconquérir le pouvoir en 2012."

19h 04 "Mes rapports avec les jeunes relèvent de Dieu. Nous allons créer 100 000 emplois dans l'éducation à partir de la rentrée de septembre. C'est le PDS qui a emmené le ministre et le député les plus jeunes. La semaine prochaine, il y aura un conseil présidentiel uniquement sur l'emploi des jeunes. Je suis fier de ma jeunesse. Je suis sûr que le Sénégal de demain sera un grand Sénégal. Je vais donner davantage de places aux jeunes.

18h 59 "Nous voulons un Sénégal qui va permettre à tout le monde de s'exprimer et d'aller voter. Après les élections, nous allons redevenir des soeurs, des frères, des parents..."


18h 57 Wade déclare que le Sénégal est un grand pays. "Comme le "16" mars, l'opposition et le pouvoir ont organisé aujourd'hui deux grands meetings nationaux. L'opposition s'est dispercée dans la paix après sa manifestation."

18h 53 Wade dit qu'il ne félécite pas Ousmane Ngom de peur qu'on dise qu'il le consacre. Il assume avoir nommé un proche au ministère de l'Intérieur, comme le font tous les chefs d'Etat. Mais il dit à l'opposition qu'il va changer Ousmane Ngom. Devant l'insistance de la foule, il dit qu'il le maintient mais va lui retirer la gestion des élections. 

18h 50 Après que Souleymane Ndéné lui a glissé un papier, Wade a salué Cheikh Tidiane Sy et le cardinal Adrien Sarr. L'oubli était flagrant. Il félicite Pape Diop artisan du meeting, Mamadou Seck à qui est confiée la réorganisation du parti, Souleymane Ndéné Ndiaye, le directeur de campagne...

18h 43 "Ce grand rassemblement est celui des démocrates. Je remercie mes compagnons : Djibo Kâ, Agne, les leaders de la Cap 21... Je salue les partis politiques, les mouvements de soutien..." Wade remercie d'abord le khalife général des mourides qui, à l'entendre, l'a béni il y a quelques jours. Il salue Serigne Fallou Mbacké, Serigne Abdou Lahad Mbacké, Serigne Abdou Khadre et Serigne Saliou. Il remercie leurs enfants et leurs petits-enfants. Il salue Serigne Béthio Thioune avant de déclarer qu'il a la bénédiction de Serigne Mansour Sy et du porte-parole Junior. Il salue les khalifes de Ndiassane, Kaolack, Yoff...  

18h 41 Abdoulaye Wade prend la parole sous les vivats de la foule et le crépitement des tam-tams. Il remercie les jeunes et les femmes.

18h 36 Le chanteur Kiné Lam chante en l'honneur d'Abdoulaye Wade qui s'apprête à prendre la parole.

18h 33 Souleymane Ndéné Ndiaye, organisateur de l'évènement, prend la parole. "Les Sénégalais vous éliront dès le premier tour", lance-t-il à Wade. Avant de citer toutes les localités du pays d'où sont venus les miltants. Il assure que les militants restés à la maison sont plus nombreux que ceux qui sont présents au meeting.

18h 32 Dakaracu découvre le nombre impressionnant de gros bras recrutés pour assurer la sécurité du méga-meeting. 

18h 30 Le député Oumar Sané de Bignona prend la parole en diola au nom de la Casamance. 

18h 25 Le président du Sénat, Pape Diop, prend la parole. il déclare que plus de 3 millions de personnes sont venues aujourd'hui porter la candidature de Wade. Il estime que la victoire est assurée le "22" février.

18h 18 Mamadou Seck estime que le 23 juillet a apporté la réponse politique au 23 juin. Il demande à Wade de tourner la page et de continuer son travail. Il estime que le débat sur la constitutionnalité de sa candidature est un faux débat. "Le droit constitutionnel est le domaine par excellence de l'interprétation", dit-il.

18h 17 Selon Babacar Gaye, RFI a annoncé que Wade a mobilisé 2,5 millions de personnes.

18h 15 Iba Der Thiam estime que Dieu a départagé Wade et ses adversaires. Parmi les réalisations de Wade, il cite 100 000 emplois créés dans le cadre du programme Bac-. Il rassure Wade que personne ne pourra empêcher que la candidature de Wade soit déclarée recevable et qu'il gagne en février 2012.

18h 13 Sur la TFM, Aïda Mbodj estime que la fédération PDS de Dakar a voulu riposter au 23 juin.

18h 09 Un hélicoptère survole la foule. Est-ce un engin de la police ?

18h 09 Alé Lô, au nom de tous les élus, prend la parole. Il assure que 300 présidents de communautés rurales vont faire réélire Wade au premier tour. Il assure que personne ne pourra le battre dans le monde rural. 

18h 08 Aminata Diallo, maire de Bakel, députée, prend la parole et s'exprime dans sa longue locale.

18h 04 Aliou Dia, coordonnateur de l'AST, estime que l'opposition a peur d'aller aux élections, assure que les questions de recevabilité et d'irrecevabilité ne le préoccupent pas, entonne que les paysans, les éleveurs et les pêcheurs sont satisfaits...

18h 00 Sur la TFM, Moustapha Guirassy parle de 1,8 à 2 millions de personnes et en déduit que la popularité du président est incontestable. C'est, dit-il, une réponse à l'opposition qui pensait que Wade est fini. Voici la réponse à la question "Wade est-il toujours populaire".

17h 57 Mamadou Diop Decroix estime que l'opposition doit parler des écoles, des hôpitaux, des paysans... au lieu de lancer des slogans creux comme "Na dem".

17h 52 Dakaractu.com vient d'apprendre que la RTS a décidé, en réunion de rédaction d'hier, de capter des images des deux manifestations d'aujourd'hui pour ensuite les traiter dans le journal télévisé de façon équilibrée.

17h 51 Mamadou Lamine Keïta, ministre de la Jeunesse, déclare que "le peuple a parlé. Il y a du monde de la route de Ouakam au pont de la VDN. Les estimations sont pessimistes. Je pense qu'il y a beaucoup plus que 2 millions de personnes."

17h 48 Bara Gaye confie à TFM que le M23 n'a mobilisé que 2 000 personnes alors que le méga-meeting du PDS a vu la participation de 2 millions de personnes.

17h 40 Awa Diop, leader des femmes du PDS, salue Cheikh Béthio dans le voisinage de chez qui se tient le meeting. Elle déclare que le PS n'a laissé aucun souvenir aux Sénégalais. Tout ce qui a été fait au Sénégal l'a été par Wade, dit-elle. Elle affirme qu'il n y avait personne à la manifestation du M23.

17h 35 Bara Gaye, leader de l'UJTL, prend la parole. "La peur a changé de camp. Cette démonstration de force continue jusqu'à la réélection de notre secrétaire national.", dit-il. Avant de scander : "Premier tour. Qui a peur des élections ? L'op - po - si - tion". "M. le président, nous continuerons cette mobilisation pour sécuriser votre candidature et assurer votre victoire."

17h 31 Babacar Gaye donne la parole à Abdoulaye Faye pour souhaiter la bienvenue à Dakar. Il déclare que la foule s'étale sur 1,2 km. 

17h 29 Babacar Gaye prend la parole. Il demande, au nom du président, que les militants baissent les pancartes et les banderoles, et observent le silence pour que le meeting démarre.

17h 28 Farba Senghor estime qu'il y a 2 millions de personnes au meeting : "ce sont des estimations faites par des spécialistes."

17h 25 Alioune Diop chauffe la foule avec l'air "Owee owee owee..."

17h 20 Wade est descendu de son véhicule pour rejoindre sa place à la tribune. Il est dans un boubou bleu bonnet noir et blanc, col blanc.

17h 17 Pape Diop, le président du Sénat, se fraye un chemin pour monter à la tribune.

17h 12 Au son de "Gorgui ! Gorgui !", Wade se fraye un chemin dans la foule à bord de son 8x8. C'est la mobilisation des grands jours. 

17h 10 Arrivée du chef de l'Etat, Abdoulaye Wade. Mbaye Pekh crie à tue-tête : "Paréssidan gneuw na".

17h 06 Coumba Gaye avoue, sur la TFM, avoir transporté et donné le prix de la boisson à ses militants qu'elle a déplacés de Rufisque. 

17h 05 Abdoulaye Wade est entrain de contourner le pont de Sacré-Coeur pour arriver sur le lieu du meeting.

17h 04 Farba Senghor prend la parole : "Un journaliste vient tout de suite de dire que le lieu du meeting a été déplacé au siège du parti. Au fait, c'est parce que la foule est arrivée jusqu'au siège qu'il a eu l'impression que le lieu de la manifestation a été déplacé."

17h 02 On aperçoit sur la tribune Ndéye Khady Diop, Aliou Sow, Farba Senghor, Awa Ndiaye, Awa Diop, Cheikh Tidiane Sy...

16h 56 Abdoulaye Mbaye Pekh est au micro central du méga-meeting. Les invités commencent à venir. Les ministres, députés et sénateurs sont déjà installés sur la tribune.

16h 00 Un journaliste sur place informe dakaractu.com de la présence devant le siège du PDS, sur la VDN, où doit se dérouler le méga-meeting, de plus de 200 cars "Ndiaga Ndiaye". Ces cars ont transporté de toutes les localités du pays les militants qui doivent assister à l'évènement. 

15h 00 Les leaders du Mouvement des forces vives du 23 juin apprennent, alors que le rassemblement a été dispersé, que des milliers de militants qui avaient quitté l'intérieur du pays étaient en route et n'étaient pas encore arrivés à Dakar. Vont-ils quand même venir jusqu'à la capitale ? N'est-ce pas l'horaire initial, qui avait fixé de 9h à 18h, qui a perdu nombre de manifestants ? 

14h 32 Fin du rassemblement dans l'ordre. Ramassage des sacs en plastique et autres ordures abandonnées sur les lieux par les manifestants.

14h 22 Ousmane Tanor Dieng exhibe le carton rouge, déclare qu'Abdoulaye Wade n'a plus que son fils et son camp alors que tout le reste du pays est avec le M23. Il rappelle le slogan "Touche pas à ma Constitution" et décrète "Non, non, non à un troisième mandat". "Ousmane Ngom est le démon malfaisant de Wade. Il doit être éjecté pour qu'il y ait une élection transparente. Il faut que les textes relatifs au découpage administratif et aux délégations spéciales soient retirés." "Que personne qui est ici ne parte plus voir Abdoulaye Wade", exige Tanor. Pense-t-il à Idrissa Seck ?

14h 18 Macky Sall prend la parole sous la musique endiablée "Na dem, na dem, na dema dema dem...". Il se réjouit de "cette formidable mobilisation", déclare que Wade peut encore partir dans la dignité s'il décide de revenir à la Constitution pour se retirer. "Le jeu est terminé. Qu'il parte pendant qu'il est encore temps !", conclut-il.

14h 16 Malick Gackou de l'AFP demande à l'assistance si elle veut que Wade reste. Réponse en choeur de la foule : "Non, na dem, na dem, na dema dema dem..."

14h 12 Idrissa Seck tonne que le peuple s'est levé et ne s'arrêtera que le jour où Abdoulaye Wade acceptera de se retirer.

14h 10 Massène Niang du parti de feu Mamadou Dia rappelle que celui-ci a été le premier à révéler la vraie nature de Wade.

14h 07 L'avocat Boucounta Diallo se réjouit de la grande mobilisation, remercie la jeunesse, exalte l'expression "y en a marre"... Il dit que la compétence en économie de Karim Wade a abouti à la gestion catastrophique de l'Anoci, aux coupures d'électricité de la Senelec. Avant de lancer à Karim Wade : "Il faut avoir la reconnaissance de ses pairs et non de son père."

14h 02 Aminata Tall insiste pour la poursuite de l'inscription sur les listes électorales, se réjouit de la victoire historique du 23 juin et martèle que la mobilisation contre un 3ème mandat doit être infatigable. 

13h 58 Cheikh Bamba Dièye estime qu'il est désolant que 52 ans après l'indépendance les Sénégalais en soient à se battre pour le respect de la Constitution. Il s'indigne que Wade, plus âgé que tous les vieux du Sénégalais, ait publiquement lâché "Maa Wakhoone Wakheet."

13h 57 Dakaractu.com vient d'apprendre que, parmi les musiciens présents à la Place de l'Obélisque, il y a Aby Ndour, Doudou Ndiaye Mbengue, Ouza, Daddy Bibson...
 
13h 55 Un représentant de Bess Dou Niakk de Serigne Mansour Sy Djamil estime que le nom de son mouvement est prémonitoire. Il transmet le message de son leader en demandant au peuple de terrasser Wade dans ses quatre appuis.

13h 52 Me Elhadji Diouf demande que les Sénégalais se réunissent tous les samedis à la Place de l'Obélisque jusqu'à l'abdication de Wade. 

13h 45 Cheikh Tidiane Gadio prend la parole. Il rappelle que le meeting du PDS se déroule sur la Voix de dégagement nord. Wade va dégager vers Kébémer qui est au nord du pays. Et assure que le M23 n'attendra pas que le Conseil constitutionnel prenne une décision arbitraire pour réagir. C'est le même Conseil constitutionnel qui, en Côte d'Ivoire, a successivement proclamé vainqueur Gbagbo et Ouattara. Gadio termine par demander de baptiser la Place de l'Obélisque Place du 23 juin. 

13h 42 Abdoulaye Bathily réitère que Wade ne peut pas être candidat et doit accepter d'organiser une élection transparente et partir. Il décrète que la cause est entendue vu la mobilisation de ce matin : "La mobilisation doit continuer. Ablaye Wade na dem na dem na dema dema dem."

13h 40 le rappeur Daddy Bibson appelle tous les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales, demande le prolongement des inscriptions sur les listes électorales, appelle l'opposition à maintenir sa position sur la candidature de Wade... 

13h 38 Robert Sagna prend la parole.

13h 30 Dakaractu.com vient d'apprendre que Moussa Tine a déposé une requête pour avoir un avis préliminaire du Conseil constitutionnel sur la candidature de Wade. Il cherche à savoir si cette juridiction va ou non se déclarer compétente pour connaitre de la constitutionnalité de la candidature de Wade.

13h 27 Arona Coumba Ndoffène Diouf, candidat à la présidentielle, prend la parole. 

13h 23 Ibrahima Fall, candidat indépendant à la future présidentielle, déclare qu'il n y aura pas de paix sans une élection transparente, pas d'élection transparente si un candidat non habilité y participe. Il ajoute qu'il faut prolonger les inscriptions sur les listes électorales jusqu'en fin septembre pour que les jeunes soient enrôlés.

13h 22 Aly Haidar déclare que Karim Wade ressemble à son père menteur, voleur, comploteur... "Golo niaawoul baayam lay nourool".

13h 20 Mame Adama Guéye affirme que Wade ne peut pas rattraper sa défaite du 23 juin.

13h 16 Amsatou Sow Sidibé prend la parole. Et scande : "Ablaye Wade abalniou."

13h 13 De Paris, Moustapha Niasse confie à la TFM qu'il a pris part à toute la préparation de la manifestation de ce matin. Il se réjouit que le M23 ait réédité le succès du 23 juin. Répondant à Wade, dans son interview, il déclare que Wade donne l'impression qu'il est un homme seul dans le désert quand il affirme que ce sera le chaos s'il part. Il rappelle tous les chefs d'Etat qui sont partis sans que leur pays sombre. 

13h 08 La foule vibre au rythme de "Na dem, na dem, na dema dema dem"...

13h 07 Landing Savané brandit un carton rouge destiné à Abdoulaye Wade. Il estime jamais depuis l'indépendance les Sénégalais ne se sont mobilisés aussi fortement contre un régime.

13h 05 Yoro Bâ confie que Talla Sylla est en ce moment en train de manifester avec les Sénégalais à Genève. Il appelle tous à ne répondre à l'appel de cet après-midi d'un homme qui leur dit qu'ils sont inférieurs à son fils.

13h 03 Barthélémy Dias scande une chanson "Sougnou société yeunguetounaa".

13 00 Imam Baba Sall, du Collectif des imams, est appelé à la tribune. Les imams sont de M23. La mobilisation touche tous les segments du pays. Il dit qu'aucun être humain ne doit accepter d'être brimé.   

12h 58 Moussa Touré signale que la foule s'étend à l'infini, de la Grande-Mosquée aux HLM. Il attire l'attention des Sénégalais sur la destruction de l'économie. Il fustige le bradage du patrimoine immobilier, la corruption des fonctionnaires avec des terrains, la construction d'un complexe hôtelier sur le parc protégé de Popenguine...

12h 57 Depuis le début, la manifestation est entrecoupée de la voix de Wade qui lance : "MAA WAKHOON WAKHEET".

12h 54 Zahra Iyane Thiam lance un appel à l'endroit des jeunes et des femmes déçus par l'alternance. Elle les appelle à déloger le locataire du palais par une inscription massive, un vote massif, une sécurisation du processus électoral...

12h 53 La foule vibre au rythme du titre "Gorgui Na dem, na déma déma dem". 

12h 48 Thiaat, Fou Malade, Simon, Kilifeu scandent "y en a marre, ma carte mon arme, daass fanaanal" suivis par la foule. Thiaat demande que la foule s'applaudisse elle-même. Il dit qu'un vieux de 90 ans qui ment ne doit pas être gardé à la tête d'un pays. Il rappelle que le peuple sénégalais a 51 ans et est majeur. Il demande qu'on prolonge les inscriptions jusqu'en décembre. Et précise que "Y en a marre" est un mouvement apolitique qui est avec le peuple. 

12h 45 "Y en a marre" prend la parole sous le son du tube "Y en a marre". Belle musique. La foule bouge au rythme de la musique. 

12h 43 Abdou Aziz Tall de "Yamalé" : "Nous avons réussi la mobilisation populaire alors qu'il n'y a pas de car ici. Bara Tall, qui est à l'étranger, se joint au combat."

12h 42 Penda Mbow, du mouvement citoyen, prend la parole à la tribune. Elle déclare que la Constitution, sa force physique et sa santé ne permettent pas au chef de l'Etat de continuer.

12h 37 A la tribune, Alioune Tine rappelle que Wade avait dit qu'il partirait si les Sénégalais le lui demandaient. Et ajoute que la mobilisation de ce matin est une invite au départ. Il estime que le 3ème mandat a créé un coup d'Etat au Niger, et le chaos en Guinée. Il objecte au chef de l'Etat que ce n'est pas son départ mais un 3ème mandat qui peut créer le chaos. Il interpelle Mamadou Seck, Pape Diop et Souleymane Ndéné Ndiaye pour qu'ils disent à Wade de partir.

12h 36 Walf Tv autorise à toutes les télés qui le souhaitent de reprendre son signal, comme l'a fait TFM.

12h 23 Arrivée d'Aminata Tall sous une forte ovation de la foule. Elle dirige une forte délégation. Elle estime que Wade doit respecter son peuple qui l'a élu et réélu. Elle refuse toute forme de destruction du pays. Elle dit que si le journaliste considère qu'elle peut retourner au PDS c'est qu'il ne lui accorde aucune considération. Et lui demande de retirer son propos.

12h 19 Pour justifier sa présence, Idrissa Seck dit qu'il mène dans la constance un combat contre la dévolution monarchique et le 3ème mandat. Et ajoute qu'il n'a pas rejoint le M23 dans ce combat mais se joint à ce mouvement pour le poursuivre à la tête de "Rewmi". Il estime que Wade méprise les Sénégalais en déclarant "c'est moi ou le chaos".

12h 17 La foule entonne l'hymne national. La foule a sauté les garde-fous. La Place de l'Obélisque est bondée.

12h 15 Idrissa Seck rappelle que le 23 juillet constitue la date-anniversaire de ce jour de 2005 où il a été transféré à Rebeuss parce qu'il s'était opposé à la dévolution monarchique que le M23 combat aujourd'hui.

12h 12 Dakaractu vient d'apprendre que des militants de M23 barrent la route aux cars qui convoient les militants du PDS à partir de toutes les localités du pays, y compris la Casamance.

12h 09 Abdoulaye Bathily déclare que la mobilisation de ce matin rappelle les grandes dates de l'histoire du Sénégal. Il s'en réjouit d'autant plus que nul n'a été payé pour venir à la Place de l'Obélisque.

12h 06 Dakaractu.com vient d'apprendre que beaucoup de délégations du PDS venues de l'intérieur du pays depuis hier nuit, pour éviter de ne pas pouvoir accéder à Dakar aujourd'hui, ont vécu des conditions difficiles. Ces hommes et ces femmes ont dormi dans des cars devant le siège du PDS.

12h 04 Landing Savané indique qu'après avoir gagné une bataille le M23 doit remporter la guerre : débarrasser le Sénégal d'Abdoulaye Wade. 

11h 56 Arrivée d'Idrissa Seck en casquette sur la Place de l'Obélisque. Celle-ci est de plus en plus noire de monde.

11h 49 Ibrahima Fall, candidat indépendant, en tenue décontractée, estime qu'il n y aura de paix que s'il y a des élections démocratiques auxquelles ne participent que ceux qui sont qualifiés pour y participer. Il demande que le délai des inscriptions soit prolongé jusqu'à fin septembre pour que tous les jeunes soient enrôlés.

11h 41 "Il y aura le pic de la mobilisation dans quelques instants. Il faut que tous les Sénégalais viennent ici dire à Wade qu'il doit partir. Ceux qui sont ici ne sont pas venus dans des Ndiaga Ndiaye. Toute comparaison avec le meeting financé de Wade n'a de sens. Je reconnais que Wade a fait du bon et du moins bon. Mais nous sommes prêts à accompagner son départ et lui donner un statut d'ancien chef d'Etat. Ce n'est pas mal non, après tout ce qu'il a fait ?"

11h 39 ''Y en a marre" insiste sur un point : il faut que les inscriptoions se poursuivent jusqu'au-delà du 31 juillet pour que les jeunes puissent prendre part à la présidentielle.

11h 36 Barthélémy Dias demande à Wade de partir s'il ne veut pas être humilié.

11h 36 Amath Dansokho : "Nous n'avons rien dépensé pour faire venir les gens. Beaucoup sont là alors qu'ils n'ont pas à manger à la maison. C'est la preuve qu'il y a une véritable prise de conscience dans le pays."

11h 35 Ousmane Tanor Dieng est annoncé. Amsatou Sow Sidibé et Barthélémy Dias font leur entrée sur la Place.

11h 32 Au siège du PDS sur la VDN, qui doit accueillir le méga-meeting du parti présidentiel, des organisateurs habillés aux couleurs du PDS sont déjà sur place et à l'oeuvre. Ils assurent qu'ils sont prêts à tout pour protéger leur leader, leurs militants et la sécurité de leur manifestation.

11h 31 La foule se densifie de plus en plus à la Place de l'Obélisque.

11h 23 Macky Sall estime que le 23 de chaque mois sera célébré jusqu'à ce que Wade recule. Il réplique que le départ de Wade va créer le chaos dans son camp et non au Sénégal. Et estime que c'est manquer de respecter aux Sénégalais que de le penser et appelle Wade à faire comme Mandela et ATT.

11h 22 Arrivée de Macky Sall. Il se déclare convaincu que les militants vont arriver pour réaffirmer leur volonté de faire respecter la Constitution et empêcher un 3ème mandat de Wade. Il déclare ces questions non négociables.

11h 20 Alors que la foule se densifie à la Place de l'Obélisque, Y en a marre et le M23 manifestent à Kaolack. Y en a marre compte même faire sa conférence de presse là où Wade a lancé son parti en 1974.

11h 08 Fou Malade de ''Y en a marre" nie tout contact avec Bara Gaye, patron de l'UJTL, comme celui-ci l'a prétendu.

11h 03 Alioune Tine fustige la formule "Maa wakhoone wakheet" de Wade et estime que le pays est en danger. Il rappelle que le 3ème mandat a provoqué le coup d'Etat au Niger. La violation de la Constitution et le mauvais état de santé du chef ont détruit la Guinée. Il appelle les Sénégalais à le rejoindre à la Place de l'Obélisque pour dire "non" à un 3ème mandat. Il appelle le président de l'Assemblée nationale et celui du Sénat à ne pas laisser le pays sombrer. 

11h 00 La foule est de plus en plus compacte à la Place de l'Obélisque. Les socialistes sont sur le point d'arriver.

10h 59 Dakaractu vient d'apprendre que Moustapha Niasse ne sera pas à la Place de l'Obélisque. Il a voyagé et revient à Dakar demain.

10h 54 Moubarack Lô, candidat à la présidentielle, arrivé en chapeau, demande à Wade de partir. Il affirme qu'il y a 5 000 voire 10 000 personnes qui peuvent gérer le pays mieux que Wade. Il révèle qu'il est entrain de rédider son programme de gouvernement. Il justifie son rôle de ministre-conseiller par le fait qu'il est un soldat de l'Etat. Et invite Wade à imiter Abdou Diouf et Senghor. Il ajoute qu'il est mieux formé que le fils du président, Karim Wade.

10h 52 Dakaractu vient d'apprendre que les partis et associations du M23 vont arriver chacun avec ses propres couleurs.

10h 49 Abdou Mbow rappelle que personne n'a été payé pour venir à la Place de l'Obélisque et estime que le retard des manifestants par le fait qu'on est aujourd'hui samedi.

10h 44 Alors que les manifestants du M23 commencent à venir, Me Mame Adama Guéye déclare que la victoire a déjà été remportée depuis le 23 juin et appelle les manifestants à venir.

09h 00 Sont attendus à la Place de l'Obélisque les responsables, membres, militants et sympathisants du Mouvement des forces vives du 23 juin (M23) pour une manifestation placée sous le sceau de l'opposition à un troisième mandat d'Abdoulaye Wade mais aussi de la défense de la démocratie et des institutions républicaines. 
Dimanche 24 Juillet 2011



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

1.Posté par Lamifa le 23/07/2011 07:24
Tous a la place de l obélisque symbole de notre nouvelle indépendance

2.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 07:44
J'ai été un enfant de la rue, des luttes politiques dans la rue pour la conquête des libertés individuelles et collectives, mais, honnêtement, aujourd'hui, mes enfants doivent être des enfants des combats d'idées, des luttes intellectuelles, parce que leur époque n'est pas la mienne, ils n'ont pas besoin de s'exprimer dans la rue pour se faire entendre, ils n'ont pas besoin de se retrouver dans la rue pour partager leurs idées, ils n'ont pas besoin d'être dans la rue pour porter un message citoyen; ceux qui militent pour le combat de la rue que nous même nous avions oubliés n'ont rien compris des réalités de notre époque. Et puis quelle la nécessité même? Soyons rationnels et ramenons ces politiciens à l'ordre, nous sommes une règle et une démocratie où l'opposition à plus de droit que le pouvoir dans l'expression des ses idées, de ses droits. Toute personne, qui souhaite analyser la situation en profondeur saura que ce combat est sans objet, certes, il y a des nostalgiques de la rue, mais qu'ils sachent que le Sénégal a objectivement dépassé cette époque, et doit nécessairement entrer dans l'ère des grands combats d'idées, du concours des grands projets politiques. Arrêtons les idioties et revoyons les réalités de notre époque. La rue pour obtenir quoi ? Pour sensibiliser ? Le 22 mars 2009, wade a été battu dans son propre bureau de vote, c'est cela le mode d'expression sain d'un peuple mûr.

3.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 07:46
J'ai été un enfant de la rue, des luttes politiques dans la rue pour la conquête des libertés individuelles et collectives, mais, honnêtement, aujourd'hui, mes enfants doivent être des enfants des combats d'idées, des luttes intellectuelles, parce que leur époque n'est pas la mienne, ils n'ont pas besoin de s'exprimer dans la rue pour se faire entendre, ils n'ont pas besoin de se retrouver dans la rue pour partager leurs idées, ils n'ont pas besoin d'être dans la rue pour porter un message citoyen; ceux qui militent pour le combat de la rue que nous même nous avions oubliés n'ont rien compris des réalités de notre époque. Et puis quelle en est la nécessité même? Soyons rationnels et ramenons ces politiciens à l'ordre, nous sommes une république et une démocratie où l'opposition a plus de droits que le pouvoir dans l'expression de ses idées, de ses droits. Toute personne, qui souhaite analyser la situation en profondeur saura que ce combat est sans objet, certes, il y a des nostalgiques de la rue, mais qu'ils sachent que le Sénégal a objectivement dépassé cette époque, et doit nécessairement entrer dans l'ère des grands combats d'idées, du concours des grands projets politiques. Arrêtons les idioties et revoyons les réalités de notre époque. La rue pour obtenir quoi ? Pour sensibiliser Qui? Le 22 mars 2009, wade a été battu dans son propre bureau de vote, c'est cela le mode d'expression sain d'un peuple mûr.

4.Posté par senegalais le 23/07/2011 08:11
bjours moi je s8 prêt et je s8 en rte de l obélisque rv

5.Posté par riton le 23/07/2011 08:31
En attendant une petite blague pour détendre.
http://www.youtube.com/watch?v=AD9Gf3sM_3M

6.Posté par riton le 23/07/2011 08:36
Courage a tous, un peu de musique de circonstance.

7.Posté par Diaxer le 23/07/2011 09:00
@"dou yèrime ex yèrim"j'aimerai que tu change ton pseudo kir YALLA si tu as des capacites intelectuelles.il ne ne faut pas faire du yoopalèma.j'ai plus envie de te lire parceque je crois tu n'es pas murs c pourquoi tu emprunte la casquettede yèrim.tu ne connais pas les mame diarra de seneweb ou les tah et autres .si tu veux etre agrèable dans cet forum tu dois te forcer un pseudo.de la part d'un modou modou ,j'espere que mon appel ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.Daiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.tu n'es pas un incapable.donc ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

8.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 09:33
Ces mots de Mame Less Camara me rassure, lui au moins, il continue de réfléchir. " Abdoulaye Wade n’a pas tout à fait tort d’avertir que son départ «créerait un chaos pire qu’en Côte d’Ivoire». La référence à ce pays est, certes, exagérée ainsi que d’autres points abordés dans l’entretien qu’il a accordé au quotidien français «La Croix» et que l’audiovisuel a largement repris hier. Il est clair, cependant, que s’il ne mène pas son mandat jusqu’à son terme en 2012, les conséquences seraient préjudiciables pour le Sénégal.
Cela engendrerait la débandade au Parti démocratique sénégalais privé de son chef et unique fédérateur. Bennoo Siggil Senegaal, constitué principalement pour combattre le régime de Wade, se disloquerait vite sans cet adversaire commun qui sert de repoussoir et permet à la coalition de l’opposition de rester ensemble. Les ambitions prendraient vite le dessus et plusieurs leaders se lanceraient à la poursuite de leur destin présidentiel. La panique s’emparerait du gouvernement et la gestion des affaires publiques pourrait se réduire à un partage précipité des richesses nationales avant séparation. C’est pourquoi le slogan de certains opposants demandant au président de la République de quitter ses fonctions immédiatement semble peu avisé (...)". Mame Less Camara

9.Posté par Modou Kara le 23/07/2011 09:37
Dou Yerim ex yérim, vous devez certainement faire partie de ces lettrés qui n'ont d'intérêt que pour l'illusion et le refus d'élaborer un discours vrai. Vous dites que la rue ne doit plus être un lieu pour l'expression des revendications démocratiques, mais vous n'avez pas cru devoir justifier ce propos. Vous dites avoir été un enfant de la rue, ce qui signifie que vous avez subi la rue dans toutes ses acceptions possibles. Or les sénégalais que nous sommes aujourd'hui, ne sont pas des enfants de la rue mais des acteurs de la rue, c'est-à-dire, nous nous servons de la rue comme moyen de combat démocratique.S'agissant des urnes auxquelles vous attribuez une fonction similaire à celle de la rue, je vous apprends qu'elles ne sont rien d'autre qu'un moment de sanction hétérogène ou diverse de prétendant à de fonctions électives ou représentatives.Or la rue est un lieu de protestation, c'est-à-dire un lieu où l'on dit ce que l'on réfute et laisse entendre ce que l'on propose. Ce procédé est le mécanisme essentiel de la démocratie.Mais vous dites que cela est dépassé dans le contexte actuel du Sénégal. C'est l'essentiel de la démocratie que vous estimez dépassé dans le contexte actuel du Sénégal; Voilà la contradiction dans laquelle vous vous êtes fourvoyé.

10.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 09:44
Je viens de lire dans le journal lemonde.fr un article qualifiant dakaractu de site d'opposition, tout observateur honnête et averti sait que la presse privée sénégalaise est une presse d'opposition ( http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/07/23/senegal-nouvelles-manifestations-dans-la-crainte-de-violences_1551800_3212.html#xtor=AL-32280258 ). "Le mouvement tient bon. Il a été rejoint par la première force syndicale du pays, la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal, rapporte le site d'opposition Dakaractu.com." Une affirmation du quotidien du soir français.

11.Posté par MIGUI le 23/07/2011 10:43
la presse privee est la pour defendre le senegal et les interets ds senegalais . en 2000 le parti socialiste accuse la presse privee de travaillez pour le PDS , ET AUJOURDHUI CE MEME PDS ACUSE LA PRESSE PRIVEE DE TRAVAILLEZ POUR L'OPPOSITION .
OU ALLONS NOUS ?

12.Posté par citoyen .sn le 23/07/2011 10:43
Moi personnellement je ne crois pas à aux dires de Wade quant au chaos qu'il presage s'il quitte le gouvernement.Le peuple sénégalais est un peuple très mûr et qui en aucun cas dois être comparer au peuple ivoirien.
Wade est le roi de la manigance et il cherche vaille que vaille à s'arcbouter au pouvoir par tous les moyens.
Il est tout simplement surpris par la reaction du peuple qu'il assimilait à un peuple qui dort et facilement manipulable.
Ce peuple a pris ses responsabilites et lui dire les yeux dans les yeux: " Mr le President tu viens de faire deux mandats par consequuent, tu es non partant".
Il a voulu tripatouiller cela n'a pas marché et maintenant il veut manipuler,le peuple lui dit non.
Je suis sur qu'il etait prêt a
à partir mais comme disait Serigne Mbacke Ndiaye, Mr le président si tu pars nous irons tous en prison.
Celà ne doit aucunement une raison pour qu'il s'entête, je ne lui conseille pas celà.
Bien qu'il juriste, il ne l'est pas plus que nos constitutionalistes qui savent lire, interpreter et dire le droit.
Je ne suis pas d'accord quand il dit que ma candidature divise les juristes, il doit apprendre à respecter l'elite intellectuelle ce pays, je veux dire nos universitaires.

13.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 11:02
@Modou Kara, par enfant de la rue, il faut entendre enfant qui n'existait que par la rue (qui n'avait pour moyen d'expression que la rue, pas de blog, pas de réseaux sociaux, pas de radio, pas de télé....). Aussi, je crois avoir été très clair dans mon post. Si tu dis que vous êtes des acteurs de rue, vous me donnez raison, et je vous rappelle que nous sommes une république et nous avons choisi la démocratie comme régime politique. Et vous n'avez absolument rien compris de la démocratie si vous estimez qu'elle trouve son essence dans les combats de rue. D'abord qui sera dans la rue ? Le peuple tu me diras. Mon Dieu quelle nébuleuse! Le combat démocratique et républicain ne se mène pas dans la rue. Le vote est le seul moyen de délégation de la souveraineté populaire, à moins nous assistons sans en rendre compte à l'émergence d'un nouveau système politique ou la rue publique est le lieu privilégié des débats publics, des propositions de projets de société et de protestation. Et j'aimerai bien monsieur le grand savant modou que vous nous donniez des pistes pour encadrer et règlementer le fonctionnement de la rue. Dans la rue, on ne peut et ne pourra avoir rien d'autre que la loi du fort. Si je m'aventure à aller à la place obélisque pour tenir discours différent de "Wade dégage", je serai lynché à morte et tout le monde trouvera cela normal. Or en démocratie les idées contradictoires doivent coexister de manière pacifique.

14.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 11:03
@Modou Kara, par enfant de la rue, il faut entendre enfant qui n'existait que par la rue (qui n'avait pour moyen d'expression que la rue, pas de blog, pas de réseaux sociaux, pas de radio, pas de télé....). Aussi, je crois avoir été très clair dans mon post. Si tu dis que vous êtes des acteurs de rue, vous me donnez raison, et je vous rappelle que nous sommes une république et nous avons choisi la démocratie comme régime politique. Et vous n'avez absolument rien compris de la démocratie si vous estimez qu'elle trouve son essence dans les combats de rue. D'abord qui sera dans la rue ? Le peuple tu me diras. Mon Dieu quelle nébuleuse! Le combat démocratique et républicain ne se mène pas dans la rue. Le vote est le seul moyen de délégation de la souveraineté populaire, à moins que nous assistons sans en rendre compte à l'émergence d'un nouveau système politique ou la rue publique est le lieu privilégié des débats publics, des propositions de projets de société et de protestation. Et j'aimerai bien monsieur le grand savant modou que vous nous donniez des pistes pour encadrer et règlementer le fonctionnement de la rue. Dans la rue, on ne peut et ne pourra avoir rien d'autre que la loi du fort. Si je m'aventure à aller à la place obélisque pour tenir discours différent de "Wade dégage", je serai lynché à morte et tout le monde trouvera cela normal. Or en démocratie les idées contradictoires doivent coexister de manière pacifique.

15.Posté par DouYérim ex "Yérim" le 23/07/2011 11:04
@Modou Kara, par enfant de la rue, il faut entendre enfant qui n'existait que par la rue (qui n'avait pour moyen d'expression que la rue, pas de blog, pas de réseaux sociaux, pas de radio, pas de télé....). Aussi, je crois avoir été très clair dans mon post. Si tu dis que vous êtes des acteurs de rue, vous me donnez raison, et je vous rappelle que nous sommes une république et nous avons choisi la démocratie comme régime politique. Et vous n'avez absolument rien compris de la démocratie si vous estimez qu'elle trouve son essence dans les combats de rue. D'abord qui sera dans la rue ? Le peuple tu me diras. Mon Dieu quelle nébuleuse! Le combat démocratique et républicain ne se mène pas dans la rue. Le vote est le seul moyen de délégation de la souveraineté populaire, à moins que nous assistons sans nous en rendre compte à l'émergence d'un nouveau système politique ou la rue publique est le lieu privilégié des débats publics, des propositions de projets de société et de protestation. Et j'aimerai bien monsieur le grand savant modou que vous nous donniez des pistes pour encadrer et règlementer le fonctionnement de la rue. Dans la rue, on ne peut et ne pourra avoir rien d'autre que la loi du fort. Si je m'aventure à aller à la place obélisque pour tenir discours différent de "Wade dégage", je serai lynché à morte et tout le monde trouvera cela normal. Or en démocratie les idées contradictoires doivent coexister de manière pacifique.

16.Posté par JOBY le 23/07/2011 11:25
Une opposition revancharde et une Société civile extravertie veulent mener le pays à la dérive»

17.Posté par MAITRE WADE le 23/07/2011 11:44
Tous les mouvements de contestation, aussi spontanés et authentiques soient-ils, sont tôt ou tard confrontés au problème de la récupération politicienne et idéologique.C’est ce renoncement à sa responsabilité individuelle qui est la cause des divisions parmi les contestataires. Certains baissent les bras, d’autres deviennent fanatiques et rejettent ceux qui n’adhèrent pas à leurs convictions politiques. Là où il y a scission, la récupération des forces vives par des partis ou des organismes s’exerce sans obstacle.Ces rassemblements, qui arrivent à point nommé, très fédérateurs au départ et fortement médiatisés, ces manifestations aux allures humanistes qui se présentent comme des « espaces » et des « processus » se révèlent vite être des stratégies de récupération qui visent non pas le changement, mais la prise de pouvoir.

c'est un grand manque de respect de la part de la classe politique de vouloir recuperer cette date symbolique du 23 juin sans vraiment comprendre le sens de ce mouvement ,le 23 juin n'appartient ni au pouvoir, ni a l'opposition , ni a la société civile , ni au mouvement y'en a marre mais c'est un mouvement de conscience individuelle a portée collective c'est a dire que ce sont pour la plupaart des sans voix qui ce jour ont empecher les puissants de dormir, personnes depuis lors, parmis les leader d'opinions n'est arrivé a identifier clairement les vrais acteurs de ce mouvement du 23 juin...

le dialogue entre le peuple et le pouvoir est permanent le peuple pose des revendications et le gouvernements doit repondre par des actions, c'est la seule forme de dialogue qui peut exister...

ce 23 juin le peuple a interpellé son president sur des questions claires et précises et c'est au president de repondre directement a ce peuple qui lui a envoyé un message directe, sans passer par aucune organisation politique, syndicale ou citoyenne, le peuple a agit en homme mature et c'est a son president de repondre en homme mature, la date du 23 juin ne doit porter le nom d'aucune structure, d'aucun mouvement cette date est la propriété exclusive du peuple senegalais, elle ne doit pas etre colorée politiquement parceque ces jeunes, ces femmes et ces enfants qui ont passés la journée devant les grilles de l'assemblée nationale y sont venus de leur propre grés et sans encadrements ,ni guaranti d'aucun leader, ce qui veulent acceder au pouvoir connaissent le chemin democratique et doivent l'emprunter pour y acceder c'est leur droit legitime: evidement ils ont creer leur partis pour aller au palais..mais de grace sachez que le 23 juin interpelle tous les acteurs politiques , sociaux pour leur dire que "nous avons conscience du caractére sacré de ce qui est necessaire a tous mais qui n'appartient a personne : LE SENAGAL".....l'opposition n'a qu'a laisser ce 23 juin et aller se trouver un programme a proposer au senegalais...WADE DEGAGE n'est pas un programme..

18.Posté par Jeebreel le 23/07/2011 15:03
une cacophonie agrémentée d' d'injures et de speechs à la noix, bref rien de neuf, décidément cette opposition est loin des réalités des sénégalais...et puis ces opposants de circonstance comme Idy ou Amy ou macky...quel show...révez bien, Février 2012 n'est plus loin....vous tomberez des nus....ahahahhaha

19.Posté par Djibril NDIAYE le 23/07/2011 15:34
C'est Abdoulaye WADE et ses comparses qui tomberont des nus ne Février 2012,Inch'Allah.
C'est vraiment indigne d'un kilifeu, Président de la République dire "Maa Wakhoone Wakhète. Il peut prendre un decret aujourd'hui et demain dire Maa wakhoon wakhète.

20.Posté par Djibril NDIAYE le 23/07/2011 15:39
Abdoulaye Wade et ses comparses tomberont des nus en Février 2012, Inch'Allah.
C'est déshonorant pour un kilifeu comme Wade, président de la République dire Maa Wakhoone Wakhète.
Dans notre culture quelqu'un qui n'a pas de parole, n'est RIEN.

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