LA MORT DE WADE DANS UN RÊVE


Malgré tout ce qu’ils lui reprochent les Sénégalais l’aiment

LA MORT DE WADE DANS UN RÊVE
Jeudi 06 octobre 2011

Le 05 octobre 2011 un homme vint me voir pour me raconter un rêve dans lequel le Président, notre Président légalement élu, quittait ce monde, laissant l’ensemble de ses concitoyens dans une tristesse sans précédents.
Cet homme vaquait, dit-il, à ses occupations lorsque subitement un écran de télé lui apparut. Il eut du mal à reconnaitre le fils de WADE, en l’occurrence Karim, qui, avec une voix enrouillée semblait annoncer une triste nouvelle. Sentant intuitivement qu’il pourrait s’agir de son père, « je priai, meurtri par ce que j’allais apprendre, affirme-t-il, pour que Karim parla d’autre chose ». Malheureusement, la nouvelle tomba. Le troisième chef d’État sénégalais venait de rejoindre SENGHOR dans le « ventre de la nuit noire ». « Je pleurai, à chaudes larmes en même tant que Karim qui ne pouvait retenir sa douleur. Ses yeux était indescriptibles ».
D’autre part, comme doté d’un pouvoir d’ubiquité, continua-t-il, « Je me sentis propulsé loin, au milieu d’une réunion diplomatique qui me semblait être tenue à l’ONU. Autour de la table, plusieurs personnalités de nationalités diverses se relayaient la parole. Invisible et suspendu à leur tête, je constatai qu’un silence subit s’empara de la salle. L’on venait de leur annoncer le « malheur » qui s’était abattu sur le Sénégal. Le coordonnateur qui reçut en premier la nouvelle informa son voisin. Et ainsi de suite l’événement fit le tour de la table. Un diplomate, qui jusque-là avait la tête entre les mains, piqua une crise. Avant son évacuation, je pus savoir qu’il s’agissait d’un diplomate asiatique, probablement un Chinois ».
L’homme se tut un instant et poursuivit. « Ne voulant pas croire qu’un tel drame nous était tombé dessus avant même les élections de 2012, je décidai de constater personnellement les faits en me rendant au domicile du « défunt ». Lorsque j’arrivai, j’aperçus deux personnes. L’un est mon frère et est enseignant à Tivavouane, l’autre, un bon ami, conseiller du maire de sa localité et un inconditionnel de l’AFP de Moustapha NIASSE. Tous deux étaient si abattus, si tristes que le doute que je voulus nourrir sur le « décès », pour ne pas en souffrir, se dissipa. Me vint en mémoire avant d’entrer dans la chambre mortuaire, les critiques et reproches que les Sénégalais lui faisaient de son vivant. Je cherchai dans mon esprit à comprendre, à comparer ces « virulentes invectives » à cette tristesse nationale qui, sporadiquement, dépassait nos frontières ».
Mais ces questionnements nombreux et confus s’arrêtèrent aussitôt qu’il pénétra dans la chambre mortuaire, là où était allongé notre regretté président. Couvert d’un tissu blanc très fin, peut-être un linceul, « je pus voir quand même son visage, contait-il. Il était si claire, si reluisant qu’on aurait cru qu’il dormait. L’éclat de son visage me rassura quelque peu sur sa destinée future. Au moment où j’admirais douloureusement sa dépouille, j’entendis des voix lointaines d’hommes, peut-être d’anges, témoignant de sa bonté, mais également de sa piété. Ils racontaient que WADE bénéficieraient des largesses divines parce qu’étant décédé dans la nuit du Vendredi, c’est-à-dire entre jeudi soir et vendredi à 4 heures du matin. Le vendredi est un jour saint dans l’islam, soutenaient ces créatures ».
Après la capture de ses discussions mystérieuses par ses radars auditifs, c’est au tour de ses yeux d’aller poser un coup de phare à l’État-major, sis à Dial DIOP. « Les militaires, travaillaient, tranquilles, et semblaient n’être nullement concernés par ce triste événement. D’ailleurs, je trouvai cela assez bizarre. Quelle froideur, quelle insensibilité, me disais-je interloqué ! »
Aussitôt qu’il finit de me « ra-conter » son songe, cette personne, sortie de nulle part, me supplia de le lui interpréter. Qui lui a dit que j’étais un onirocrite ou un onirologue, moi qui ne prétends même pas me réclamer sociologue, tant je suis conscient de l’ésotérisme de cette discipline que mes limites intellectuelles, malgré des années d’études de sociologie, ne m’aident pas à percer ? Vu son insistance d’une part, et d’autre part pour ne pas décevoir cette folle confiance qu’il portait à mes compétences que j’ignorais moi-même, je lui promis que j’essaierai.
C’est alors, avec beaucoup d’audace, que je commençai mes chaotiques interprétations.
Je lui confirmai que le décès d’un musulman pendant la nuit du vendredi est un signe d’élection divine et que mon père nous a quitté dans ces mêmes circonstances. Audacieusement encore, je lui dis que l’élection de toute Autorité repose non seulement sur un choix des hommes, mais aussi et surtout sur la volonté divine. Ainsi, quelle que soit l’attitude de WADE, les Sénégalais le mérite de par sa légitimité institutionnelle, mais également spirituelle. En ce qui concerne la souffrance de Karim, l’on doit y voir la complicité, l’étroitesse des liens qui unissent un père à son fils. La douleur de Karim est un signe d’amour, un amour que tous les sénégalais portent d’ailleurs à leur président. Mais c’est aussi parce qu’ils l’aiment qu’ils le « châtient » bien. Même ceux qui réclament son départ, exprime à leur façon l’admiration qu’ils éprouvent pour sa personne. Aujourd’hui, certains disent être prêts à mourir pour le faire partir, mais en même temps ils inhibent la souffrance qu’ils ressentent à l’idée de savoir que WADE, biologiquement parlant, peut nous quitter à tout moment. Est-il nécessaire de dire que sa longévité, quoiqu’il advienne, ne fait aucun doute. Selon nos représentations sociales la vision onirique de la mort d’une personne est souvent l’expression d’une longévité dont jouira cette dernière.
Le conseiller de l’AFP dont il est question plus haut, représente l’Opposition. Les opposants sont ses adversaires et non ses ennemis, il faut qu’il le comprenne ainsi. Ils souhaitent son départ mais pas son malheur et sont prêts à tout lui pardonner. D’autre part, la référence aux diplomates étrangers montre clairement que WADE, au niveau des instances internationales, possède un réseau d’amitié sérieux.
Pour ce qui concerne l’armée, beaucoup sont dans l’erreur en pensant que celle-ci pourrait nourrir l’intention de prendre un jour le pouvoir. Cela ne fait aucunement partie de ses équations. Nous avons une armée républicaine exemplaire et nous devrions nous en enorgueillir. Des militaires qui vaquent tranquillement à leurs occupations dans une atmosphère morbide, cela traduit que la succession au Sénégal ne se fera pas comme en Guinée et que la constitution sera bel et bien respectée. Mieux, les suspicions sur la dévolution monarchique du pouvoir ne sont plus d’actualité car, s’il est vrai que WADE y pensait, il y a totalement renoncé dans le cadre, du moins, des échéances électorales futures. Ainsi tout opposant qui utiliserait en ce moment l’argument inquisiteur de la confiscation du pouvoir par sa transmission sur la base du lien de sang pour contrecarrer WADE, n’est vraiment pas de bonne foi ou ignore que ce dernier l’a exclu de ses calculs avenirs.
« Merci, me dit l’homme, en m’interrompant, c’est tout ce que je voulais savoir ». Il me paraissait rassuré tandis que moi je pensais encore aux sottises que je venais de lui raconter.
Si cette histoire est un présage, il est important que chacun commence à bien y réfléchir, à approcher les onirocrites, s’il en existe encore, afin de saisir mieux que moi son sens véritable. Je terminerai en félicitant à la fois le pouvoir et l’opposition (surtout Abdoulaye BATHILY) pour l’excellent travail qu’ils mènent en tant qu’animateurs de la vie politique. Je voudrais que l’on me permette de dire à WADE qu’il a TROIS ENNEMIS véritables : d’abord ses options politiques qui ne sont pas toujours orientées dans l’intérêt immédiat de son peuple, ensuite certains membres de son entourage, arrogants et malhonnêtes, et, enfin le TEMPS. Lui seul sait la décision à prendre dans un tel contexte.

Très très Longue Vie à Abdoulaye WADE !

Le Sociologue Rebelle »
mactko@yahoo.fr
Mercredi 6 Février 2013
Le Sociologue Rebelle



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

36.Posté par Le Sociologue Rebelle le 08/02/2013 05:29
Thio Ndiaye,c'est à vous que je m'adressais particulièrement. Je retiens une chose. je sens que vous êtes un bon intellectuel, alors évitons le dialogue de sourd, ça ne nous mènera nulle part.

Si nous éprouvons le même sentiment à l'égard de Wade, pourquoi cet acharnement, pourquoi cette colère ? plusieurs j'ai entendu dire que la mort d'une personne dans un rêve est un présage sur sa longévité. pour le cas de Wade, il a eu une longue vie et nous souhaitons tous qu'il reste encore longtemps au-près de nous. alors où se trouve le problème ? moi qui suis ici, je peux même rejoindre l'autre Monde à tout moment.

J'ai même failli trépasser il y a juste un moi à la suite d'une opération chirurgicale du fait d'une défaillance du produit anesthésique.

J'aurais pu porter plainte, mais je ne l'ai pas fait parce que simplement j'ai tissé des relations fortes avec médecins. Franchement ! Comment un homme peut-il souhaiter la mort de son semblable ? C'est impossible !

35.Posté par Le Sociologue Rebelle le 08/02/2013 05:17
Si vous étiez honnête vous ne me demanderiez pas si j'ai perdu un proche puisque je précise dans l'article que mon père est décédé. Vous êtes aussi un "titrologue". Vos amalgames sur les personnes que vous prétendez aimer ne me convainquent guère.

S'il est vrai que vous l'aviez aimé, votre sentiment vis-vis de ce texte aurait été différent. Vous vous auriez reproché, malgré ce que vous affirmez, touts les reproches que vous lui avez fait. Car c'est le sentiment que tout être humain devrait avoir même devant la dépouille de son pire ennemi.

Monsieur, vous êtes vraiment loin de me connaître. Je dis et redis, il n'y a pas de haine dans mon cœur, encore et surtout à l'égard d'une personne à qui j'ai souhaité une résurrection politique quand tout le monde le critiquait au point de lui proposer un mémorandum de la jeunesse pour qu'il s'en serve pour son discours.

Mais, comme personne ne veut rien comprendre et que tout le monde fait semblant d'aimer Wade dans le but abjecte de dénigrer un texte onirique, je ne sais plus quoi vous dire. Je vous laisse avec votre conscience. Quant à moi je dors tranquille et prie pour Wade afin qu'il ait une très longue vie comme je le lui souhaitais dans ce texte. Il a et aura une longue vie. Dieu peut le faire et Il le fera inchAllah.

34.Posté par Thio NDIAYE le 07/02/2013 21:08
Le cannibalisme intellectuel n'est autre qu'une forme de copier - coller. Comment peut on en arriver à imaginer la mort dans un langage aussi nonchalant, insipide et sournois. Dans un scénario inintelligent dénué de toute finesse, barbare et sadique, dénotant d'une absence de fibre nationaliste et de foi.
Monsieur, êtes vous sénégalais?
Avez-vous déjà perdu un être proche?
Nous aimons tous Abdoulaye Wade, Abdou Diouf, Dansokho, Niass... tout comme nous chérissons Tyson, Youssou Ndour, Macky Sall et j'en passe... car ce sont des symboles, des monuments de notre PAYS.
Si le Tout Puissant dans sa grâce décidait de les rappeler auprès de lui, nous en serions tous profondément tristes.
Ce que vous avez fait, maquillé sous le voile du rêve est un sacrilège, au même titre que le viol ou l'inceste. Les sénégalais n'ont pas cette culture, de s'amuser avec la mort, fusse-t-elle celle d'un mendiant ou d'une personne insignifiante. Car la personne humaine est sacrée.
Alors repentez-vous de ce fantasme, et arrêtez de rêver
Et si toute fois vous continuez à avoir des pensées morbides de ce genre, consulter un psychiatre pour vous aider à récupérer l'affection qui vous a été volée.

33.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 16:53
"Pour ce qui concerne l’armée, beaucoup sont dans l’erreur en pensant que celle-ci pourrait nourrir l’intention de prendre un jour le pouvoir. Cela ne fait aucunement partie de ses équations. Nous avons une armée républicaine exemplaire et nous devrions nous en enorgueillir. Des militaires qui vaquent tranquillement à leurs occupations dans une atmosphère morbide, cela traduit que la succession au Sénégal ne se fera pas comme en Guinée et que la constitution sera bel et bien respectée. Mieux, les suspicions sur la dévolution monarchique du pouvoir ne sont plus d’actualité car, s’il est vrai que WADE y pensait, il y a totalement renoncé dans le cadre, du moins, des échéances électorales futures. Ainsi tout opposant qui utiliserait en ce moment l’argument inquisiteur de la confiscation du pouvoir par sa transmission sur la base du lien de sang pour contrecarrer WADE, n’est vraiment pas de bonne foi ou ignore que ce dernier l’a exclu de ses calculs avenirs."

32.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 16:52
"Le conseiller de l’AFP dont il est question plus haut, représente l’Opposition. Les opposants sont ses adversaires et non ses ennemis, il faut qu’il le comprenne ainsi. Ils souhaitent son départ mais pas son malheur et sont prêts à tout lui pardonner. D’autre part, la référence aux diplomates étrangers montre clairement que WADE, au niveau des instances internationales, possède un réseau d’amitié sérieux"

31.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 16:51
"Je lui confirmai que le décès d’un musulman pendant la nuit du vendredi est un signe d’élection divine et que mon père nous a quitté dans ces mêmes circonstances. Audacieusement encore, je lui dis que l’élection de toute Autorité repose non seulement sur un choix des hommes, mais aussi et surtout sur la volonté divine. Ainsi, quelle que soit l’attitude de WADE, les Sénégalais le mérite de par sa légitimité institutionnelle, mais également spirituelle"

30.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 16:49
"Au moment où j’admirais douloureusement sa dépouille, j’entendis des voix lointaines d’hommes, peut-être d’anges, témoignant de sa bonté, mais également de sa piété. Ils racontaient que WADE bénéficieraient des largesses divines parce qu’étant décédé dans la nuit du Vendredi, c’est-à-dire entre jeudi soir et vendredi à 4 heures du matin. Le vendredi est un jour saint dans l’islam, soutenaient ces créatures ».

29.Posté par Ibnou le 07/02/2013 00:37
Ton manque de sérieux fait que tu publie ce terrifiant article sous un pseudonyme. Tous les gens sérieux qui publient leurs articles dans ce site s'identifie clairement. Arrête de polémiquer et de juger les personnes. En lisant tes propres commentaires on comprend parfaitement le sens ton texte. Ce texte ne mérite m^me pas d'être lu ou commenté. si tu veux qu'on te respecte repecte toi toi-m^me, et arrête de faire de la prostitution intellectuelle. Les sociologues sont des gens respectueux et intelligents. Ils pondent des idées parfaitement élaborées et réfléchies, mais de charabias qui heurtent les consciences!!!!!

28.Posté par Pauvre Sénégal! le 07/02/2013 00:25
Quand on est un ignare , Mr le" sociologue " , on l.est malheureusement pour toujours... Et dire qu'on publie vos conneries.. Mdrrr , pauvre pays

27.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:22
Extrait : 5. Les questions politiques et la bonne gouvernance
Trop de divergences au sommet de l’État. Des conflits de personnes dans le PDS qui paralysent parfois la bonne marche des institutions.
Il faut séparer les problèmes de Parti des problèmes de la République.
Même les discours les plus courtois sont de plus en plus perçus comme de la pure arrogance. D’où vient l’incompréhension ? Pourquoi les jeunes ne veulent plus écouter les gouvernants ? Il semble qu’il ya des « têtes » qu’ils n’aiment plus voir

26.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:20

Extrait : 5. Les questions politiques et la bonne gouvernance
Trop de divergences au sommet de l’État. Des conflits de personnes dans le PDS qui paralysent parfois la bonne marche des institutions.
Il faut séparer les problèmes de Parti des problèmes de la République.
Même les discours les plus courtois sont de plus en plus perçus comme de la pure arrogance. D’où vient l’incompréhension ? Pourquoi les jeunes ne veulent plus écouter les gouvernants ? Il semble qu’il ya des « têtes » qu’ils n’aiment plus voir

25.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:19
Extrait : Certaines interventions des « chefs religieux » en votre faveur ont l’effet d’un boomerang. Au lieu qu’elle redore votre statut et vous attire la sympathie de votre peuple, ce serait l’effet contraire qui se produirait. Si ces sorties médiatiques sont orchestrées par le gouvernement, il faudrait qu’il y mette fin. Quand un marabout dit, par exemple, que c’est son ancêtre qui élit nos dirigeants, ou que nul ne saurait être président au Sénégal sans faire allégeance à une ville religieuse, c’est une insulte faite à l’électorat sénégalais et, cela ne joue nullement en votre faveur.

24.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:18
Extrait : 4. Une jeunesse divisée
L’on aurait pu comprendre si cette division était juste idéologique. Elle est communautaire, religieuse et confrérique. Pour plusieurs raisons une majorité de la jeunesse accuse l’État. Elle perçoit une trop grande propagande, amplifiée par la presse, des visites auprès des chefs religieux. Visites qui, mon président, auraient pu se faire dans la plus grande discrétion, sans télé ni radio .
Les jeunes tidianes reprochent au gouvernement de privilégier les mourides, donc Touba. Ils ont très mal digéré deux événements. L’un lointain, l’autre, assez récent. Se considérant comme membre actif de votre accession à la présidence, ils ruminent encore leurs frustrations provoquées par la visite « précipitées » rendue au Khalif des mourides dès la proclamation des résultats de l’élection de 2000. Les chrétiens, non plus, n’ont pas vu d’un bon œil ce voyage qui, selon eux, traduisait votre préférence. Il ya moins de deux ans, c’est le guide des Moustarchids qui est ballotté entre le Palais et d’autres institutions de la République, alors qu’il semblait que c’est vous, Excellence, qui l’aviez invité pour un entretien. C’était, selon des jeunes moustarchids, une occasion de vous réconcilier définitivement avec celui qui a été votre allié du président dans des moments difficiles qui lui ont même valu la prison. Il y’aurait, pensent-ils, des hommes dans votre entourage qui font tout pour vous séparer des personnes vertueuses et véridiques que l’on retrouve aussi bien dans la société civile que dans l’opposition

23.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:17

Extrait: 3. L’inflation
Voilà la goûte d’eau qui fait déverser le vase. Certes il n’ya pas de famine au Sénégal, mais la cherté de la vie fait qu’aujourd’hui nombre de familles sont soit sous-alimentées, soit mal alimentées. « Chaque jour tout augmente, jamais rien ne diminue », semblent dire certaines familles. Certains jeunes disent avoir arrêté leur sport quotidien pour éviter de tomber dans un état famélique

22.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:16
Extrait : 2. L’éducation
Revaloriser l’enseignement, le statut des diplômés ayant le BAC, trouver des voies d’intégration professionnelle des élèves ayant écourté leur études, faire de l’étudiant un modèle dans sa société, et cela, à travers une amélioration de la qualité de l’enseignement universitaire et une amélioration de la bourse du troisième cycle dès la rentrée prochaine, afin que tous les étudiants animés par le goût de la recherche, soient mis dans un cadre d’émulation constante

21.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:15
Extrait : 1. La question de l’emploi
Une sociologue française, intervenant sur RFI, disait que pour savoir si le chômage à diminuer ou pas, elle n’avait cure des données statistiques mais qu’il lui suffisait de voir, chaque fois qu’elle se réveille, quels sont les amis de ses enfants qui sont allés travailler. Les chiffres que le gouvernement déclare pour expliquer le recul du taux de chômage ou les emplois créés ne semblent pas être en conformité avec le vécu des jeunes. Soit, parce que ces chiffres sont manipulés, donc faux, soit parce que la demande est largement au dessus des emplois créés.
D’autre part, il ne suffit pas de créer beaucoup d’emplois uniquement, mais de permettre aux travailleurs de s’épanouir socialement et économiquement grâce à leur emploi à travers une politique adéquate de promotion des jeunes dans les entreprises.
L’État doit garantir la sécurité des emplois et exiger des entreprises la rupture d’avec les mauvaises pratiques telles que les contrats de stages interminables suivis d’aucune embauche.
Pour les jeunes exerçant dans les métiers informels et qui sont confrontés à la concurrence des produits importés de tous genres, l’État doit assainir la concurrence, attribuer des crédits en envoyant des agents de proximité pour le recensement des compétences, former les moins qualifiés dans des structures de références pouvant donner leur avis sur les qualifications des uns et des autres.
L’enseignement général étant budgétivore, il faudrait, comme l’on montré certaines études, privilégier les domaines techniques à travers un repérage des capacités ou compétences pratiques des jeunes qui, souvent ont trop de talents mais restent victimes de leur mauvaise orientation.

20.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:13
Un extrait : "nous pouvons dire, à cette étape d’un diagnostique provisoire, que ce qui nous semble crucial, ce n’est pas ce que les gouvernants veulent souvent faire des gouvernés, mais plutôt ce que ces derniers attendent d’eux, mieux, la façon dont ils se représentent les gestes, les paroles, les actes et les réalisations des « princes du pouvoir "

19.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:09
Une autre chose que vous ignorez. J'ai passé 5 heures de temps, sinon 6 heures de temps à écrire Un mémorandum de la Jeunesse sénégalaise pour servir d'orientation au discours de WADE du 23 juillet 2011. Je n'ai pas été payé pour ça. Je l'ai fait par esprit de patriotisme. Là encore malheureusement certaines ont été enlever parce qu'elles n'arrangeaient pas des membres de son entourage.

C'est vrai que vous ne lisez pas mais je ferai l'effort de publier ci-dessous certains passages.

18.Posté par Le Sociologue Rebelle le 07/02/2013 00:00
Pour ceux qui m'ont envoyé des mails sur mon e-mail pour me demander pardon, sachez qu'il n'y a pas de place pour la haine dans mon cœur. Je veux juste montrer à certains que, même si je ne les mords pas, j'ai tout de même des dents.

Je n'irai pas jusqu'à faire mien cette loi du Talion, mais ne vous attendez que je vous laisserai faire

17.Posté par Le Sociologue Rebelle le 06/02/2013 23:57
Toi qui est si courageux, stp envoie moi ton numero de telephone, je t'appelle à l'instant.

Je me demande souvent si ce n'est pas le lobby des homosexuel que j'ai critqué dans d'autres écrits qui profite de cet article pour déverser leur vénin ?

Situation politique ? Quand j'écrivais sur ce sujet tu étais certainement concentré sur un combat de lutte ou sur quelque chose qui t'éloigne de la voie d'Allah.

Soyons sérieux un instant.



1 2


Dans la même rubrique :

AIDA CHERIE - 22/05/2015