Cela fera bientôt un an que le promoteur du projet Moussa Diouf et ses partenaires courent après le ministère de l’environnement et du développement durable pour disposer d’un accord du gouvernement. Leur volonté est d’implanter au Sénégal dix usines de traitement de déchets en engrais, qui devraient voir le jour dans dix régions différentes et une usine de production d’énergie solaire d’une capacité de 200Mws.
Président directeur général des ‘’ETS Moussa DIOUF’’, le jeune (30ans) entrepreneur sénégalais en collaboration avec des partenaires français a depuis avril 2013, tenter par tous les moyens possibles d’approcher l’Etat nous dit-il, mais en vain. Et même si, reconnait M. Diouf, le 16 mai 2013, l’ex ministre de l’environnement Monsieur Aidar El ALI avait répondu favorablement manifestant son intérêt pour le projet, il fustige cependant l’attitude de son remplaçant à ce poste, en l’occurrence M. Mor Ngom qui selon lui, a fait preuve d’une indifférence totale face à sa requête. « Depuis qu’il est là, nous avons introduit plus de cinq courriers et n’avons reçu aucune réponse de sa part ». Cette situation d’après les propos de M. Diouf reste déplorable quand on sait que les déchets ménagers constituent une véritable source de désagrément environnemental et que l’énergie solaire devient de plus en plus une nécessité face aux coûts exorbitants de l’énergie électrique.
Il a dans la foulée tenu à préciser que les projets sont entièrement financés par ses bailleurs et lui-même et qu’en plus de payer l’impôt, une part de 5 % devrait être remise à l’Etat. Mieux informe, M. Diouf après l’exploitation en PPP pendant 10 ans, les usines reviendront totalement à l’état du Sénégal. Compte tenu de tout cela, Moussa Diouf lance un appel au Président de la République et a tout le gouvernement pour non seulement la réalisation du projet, mais aussi pour surtout faciliter aux jeunes qui le désirent d’investir au Sénégal.
Président directeur général des ‘’ETS Moussa DIOUF’’, le jeune (30ans) entrepreneur sénégalais en collaboration avec des partenaires français a depuis avril 2013, tenter par tous les moyens possibles d’approcher l’Etat nous dit-il, mais en vain. Et même si, reconnait M. Diouf, le 16 mai 2013, l’ex ministre de l’environnement Monsieur Aidar El ALI avait répondu favorablement manifestant son intérêt pour le projet, il fustige cependant l’attitude de son remplaçant à ce poste, en l’occurrence M. Mor Ngom qui selon lui, a fait preuve d’une indifférence totale face à sa requête. « Depuis qu’il est là, nous avons introduit plus de cinq courriers et n’avons reçu aucune réponse de sa part ». Cette situation d’après les propos de M. Diouf reste déplorable quand on sait que les déchets ménagers constituent une véritable source de désagrément environnemental et que l’énergie solaire devient de plus en plus une nécessité face aux coûts exorbitants de l’énergie électrique.
Il a dans la foulée tenu à préciser que les projets sont entièrement financés par ses bailleurs et lui-même et qu’en plus de payer l’impôt, une part de 5 % devrait être remise à l’Etat. Mieux informe, M. Diouf après l’exploitation en PPP pendant 10 ans, les usines reviendront totalement à l’état du Sénégal. Compte tenu de tout cela, Moussa Diouf lance un appel au Président de la République et a tout le gouvernement pour non seulement la réalisation du projet, mais aussi pour surtout faciliter aux jeunes qui le désirent d’investir au Sénégal.
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