« L’économie sociale et solidaire ambitionne, au delà du financement, d’impacter positivement sur les acteurs » (Fatoumata. D. Guèye, DSSE/ MMESS)


« Écouter, éveiller et accompagner », tels sont les termes que le ministère de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire utilise dans sa démarche pour venir à bout des difficultés que rencontrent les femmes en matière d’accompagnement et de financement. Cette semaine, les équipes du ministère de la microfinance déployées par Zahra Iyane Thiam se sont rendues en Casamance pour découvrir les difficultés rencontrées surtout en matière de financements.

À Cachouane( département de Oussouye), elles ont été bien informées de ces maux de l’île. Ainsi, après avoir écouté, Fatoumata Diouf Guèye, directrice des stratégies, du suivi et de l’évaluation au niveau du ministère, rappelle le principe important de l’économie sociale et solidaire. « Au niveau du ministère nous avons deux volets importants que sont la microfinance et l’économie sociale et solidaire. 

Cependant, le dernier point souligné est très important car, permettant d’organiser et de permettre, à travers les mécanismes mis en place, aux acteurs de s’entraider, de s’être utile mutuellement. » La chargée des stratégies et du suivi évaluation ajoutera « qu’il est important de savoir que cette politique que Zahra Iyane Thiam veut mettre en pratique, sous l’instruction du chef de l’État, va au delà des bénéficiaires même. Autrement dit, l’encadrement, la structuration et la formation pour une bonne exploitation de ses ressources et activités économiques, doit positivement impacter sur les bénéficiaires... »
Mercredi 19 Mai 2021




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