L’autre accueil du Président Macky Sall à l’Université Assane Seck: C’était plutôt chaud avec les étudiants…


L’autre accueil du Président Macky Sall à l’Université Assane Seck: C’était plutôt chaud avec les étudiants…
DAKARACTU.COM A coté de son pertinent discours très suivi et apprécié relayé par notre équipe qui a été déployé à Ziguinchor, le Chef de l’Etat Macky Sall a été avant ce speech chaleureusement ou pour dire vrai chaudement accueilli par des étudiants qui ne semblaient trop emballés par l’aura de sa visite de trois jours.
Nos confrères de Scoops de Ziguinchor, nous ont refilé image à l’appui, des moments pas agréables de la visite de Macky à l’Université Assane Seck. Des étudiants qui semblaient l’attendre avec impatience, l’ont plutôt reçu avec des brassards rouges,  des pancartes portant leurs revendications mais surtout avec des cris exprimant leurs besoins et urgentes nécessités.
Leurs réclamations tournaient autour des cris du genre « Nos bourses ! Nos bourses ! Nous voulons  nos bourses ! », « Nous voulons … étudier ... dans de bonnes … conditions ! », ou encre « Tout va mal  Président, tout va mal !»
Certes intérieurement touché par ces doléances, Macky s’est quand même rapproché de certains et a même improvisé une petite audience avec l’un d’eux qui semblait porter la parole des autres étudiants.
Expliquant et désignant le grand espace derrière lui, ce dernier a souligné que parmi leurs nécessités figure  la construction d’infrastructures. Car ce manque les oblige à ‘’retourner’’ au Lycée, parce que  c’est au lycée Djignabo, que certains cours du Campus sont dispensés.
Nos confrères de Scoops de Zig, dans cette facette de l’accueil présidentiel soulignent une erreur protocolaire, car selon eux, le Chef de l’Etat aurait pu être orienté vers la foule sagement postée à sa gauche et acquise à sa cause, au lieu de l’amener vers celle des manifestants, qui, excitée et pleine de doléance, était plutôt à sa droite.
Mercredi 19 Mars 2014




1.Posté par barou le 20/03/2014 08:04
C'est justement bien fait qu'il rencontre le sénégalais qui on tdes choses à revendiquer

2.Posté par SOCIAL CONNEXION CONSULTING le 20/03/2014 09:05
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3.Posté par PM le 20/03/2014 11:33
pas du tout d'accord avec la remarque des gens de Scoop Ziguinchor: Si Macky Sall veut faire bouger le Sénégal, c'est avec la jeunesse qu'il doit travailler et non tous ces gens affamés d'argent et de pouvoir qui ne le contrediront jamais et le laisseront faire des erreurs. La jeunesse = 50% de la population du Sénégal est justement là pour rappeler que les promesses depuis plus de 20 ans cela suffit, la léthargie et l'hyprocrisie cela suffit; il faut travailler et avancer. Donc le geste de Macky d'aller au contact des mécontents est au contraire un geste fort de courage politique et moral.

4.Posté par Les Confessions d'un assassin financier le 20/03/2014 19:54
Les Confessions d'un assassin financier (à lire sur wikipedia lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/L...

Les Confessions d'un assassin financier - Révélations sur la manipulation des économies du monde par les États-Unis est la traduction en français du livre Confessions of an Economic Hit Man écrit par John Perkins et publié en 2004.

Perkins soutient qu'une certaine élite aux États-Unis souhaite construire un empire global, défini par les présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon.
Pour ce faire, ils ont constitué un groupe de consultants qui utilisent les organisations financières internationales pour créer les conditions permettant d'assujettir des nations à cet empire par l'endettement économique auprès d'organismes comme le FMI et la Banque mondiale.
La tâche de ces consultants est de justifier et d'argumenter la conclusion par des États d'énormes prêts internationaux dont l'argent finira, déduction faite des sommes destinées à la corruption des élites locales, sur les comptes en banques de grandes sociétés d'ingénierie et de construction américaines. Les besoins en liquidités ayant été au préalable surévalués par ces consultants, l'État se révèle incapable de payer sa dette et entre en sujétion vis-à-vis du créancier.
Cette position de pouvoir permet ensuite au créancier d'exiger à l'état débiteur l'établissement de bases militaires, un vote favorable aux Nations unies ainsi qu'une loyauté politique en général ou l'accès à d'éventuelles richesses pétrolières et autres ressources naturelles. Perkins qualifie ces méthodes de mafieuses.
Parfois ces prêts prennent la forme pernicieuse d'une aide au développement, ce que critique Perkins, car cette aide est motivée par la cupidité. Perkins s'attaque d'ailleurs au bien fondé de l'idéal du développement universel, se demandant si le monde entier peut vivre avec le même train
de vie que les États-Unis, sachant que les ressources globales sont limitées. Il exprime des doutes sur la viabilité et le suprématisme du système dominant, si on considère sa piètre qualité de vie et les statistiques élevées de suicides, divorces, abus de drogues, dépressions et crimes divers.

Méthodes de manipulation économiques

Il s'agit de justifier l'endettement d'un pays en prétextant une future augmentation du PNB.
Le projet économique ayant pour résultat la plus forte croissance annuelle moyenne du PNB devait l'emporter sur les autres. Pour ce faire, Perkins décrit la « méthode Markov de modélisation économétrique » comme ayant été développée sous sa supervision par un mathématicien du Massachusetts Institute of Technology, le titulaire d'un doctorat Nadipuram Prasad, pour soi-disant prévoir l'impact d'un investissement infrastructurel sur le développement économique. L'avantage de convaincre par des calculs complexes est que seul un économiste doué et ayant du temps devant lui pourrait contester une affirmation issue de cette méthode. Perkins dénonce la nature trompeuse du PNB : celui-ci peut croître même s'il ne profite qu'à une seule personne dans un pays. Il peut croître, même si les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent. Même si le fardeau de
dettes prive les citoyens les plus pauvres de soins de santé, d'éducation et d'autres services sociaux pendant des décennies.

5.Posté par fatou gueye le 21/03/2014 08:38
je demande juste au president de tenir ses promesses il s'agit pas seulement de parler mais de reagir. les etudiants etaient fiers apres avoirs dit leurs probleme et donc attendent de lui un resultat positif.ne nous decoit pas mr le president je vous en prie



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