Les soupçons de corruption au sein de la Fédération espagnole de football vont-ils jouer un sale tour à l'Espagne?
"Gérer ses affaires de manière indépendante"
D'après El Pais, les ingérences du gouvernement espagnol dans les affaires de la RFEF pourraient provoquer "la suspension de l'Espagne comme membre associé de la FIFA et l'expulsion de celle-ci de toutes les compétitions auxquelles elle participe."
"Pour la FIFA, la position du Conseil supérieur est une ingérence gouvernementale qui met en péril l'autonomie de la Fédération et constitue une violation grave de ses propres statuts", écrit El Pais qui cite l'article 13 des statuts de la FIFA: "Chaque membre doit gérer ses affaires de manière indépendante et s'assurer qu'il n'y a pas d'ingérence de tiers."
Villar suspendu
Pour rappel, l'ancien président de la RFEF, Angel Maria Villar, avait été suspendu par le Conseil supérieur du sport espagnol car il était soupçonné de corruption.
Mais le Conseil, dépendant du gouvernement espagnol, a appelé en faveur d'une nouvelle élection d'un président à la tête de la fédération. En dépit du fait que la RFEF a déjà un président, Juan Luis Larrea. La FIFA digère assez mal cet appel aux élections.
En 2008 déjà
"Personne n'exclura l'Espagne", a réagi Juan Luis Larrea, président de la Fédération espagnole depuis la suspension de Villar. "C'est quelque chose d'impossible et dont on n'a même pas parlé. La Fédération a un fonctionnement normal. La sélection a gagné sa place sur le terrain et nous sommes d'accord avec la FIFA", explique-t-il.
L'Espagne avait déjà été menacée d'exclusion de l'Euro 2008 alors que le gouvernement avait voulu fixer le calendrier de l'élection à la présidence de la Fédération. Et la Roja avait finalement remporté la compétition.
"Gérer ses affaires de manière indépendante"
D'après El Pais, les ingérences du gouvernement espagnol dans les affaires de la RFEF pourraient provoquer "la suspension de l'Espagne comme membre associé de la FIFA et l'expulsion de celle-ci de toutes les compétitions auxquelles elle participe."
"Pour la FIFA, la position du Conseil supérieur est une ingérence gouvernementale qui met en péril l'autonomie de la Fédération et constitue une violation grave de ses propres statuts", écrit El Pais qui cite l'article 13 des statuts de la FIFA: "Chaque membre doit gérer ses affaires de manière indépendante et s'assurer qu'il n'y a pas d'ingérence de tiers."
Villar suspendu
Pour rappel, l'ancien président de la RFEF, Angel Maria Villar, avait été suspendu par le Conseil supérieur du sport espagnol car il était soupçonné de corruption.
Mais le Conseil, dépendant du gouvernement espagnol, a appelé en faveur d'une nouvelle élection d'un président à la tête de la fédération. En dépit du fait que la RFEF a déjà un président, Juan Luis Larrea. La FIFA digère assez mal cet appel aux élections.
En 2008 déjà
"Personne n'exclura l'Espagne", a réagi Juan Luis Larrea, président de la Fédération espagnole depuis la suspension de Villar. "C'est quelque chose d'impossible et dont on n'a même pas parlé. La Fédération a un fonctionnement normal. La sélection a gagné sa place sur le terrain et nous sommes d'accord avec la FIFA", explique-t-il.
L'Espagne avait déjà été menacée d'exclusion de l'Euro 2008 alors que le gouvernement avait voulu fixer le calendrier de l'élection à la présidence de la Fédération. Et la Roja avait finalement remporté la compétition.
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