Des incidents ont éclaté lundi à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), où une manifestation à l'appel de l'opposition contre la réforme de la loi électorale a dégénéré.
Selon l’AFP, la police congolaise a tiré quelques coups de feu lundi matin pour disperser plusieurs milliers d’étudiants qui manifestent dans le sud de la ville. Un blessé par balles a été vu par une journaliste de l’AFP.
Des manifestations ont également été signalées à Goma, la principale ville de l'est du pays, où un journaliste de Reuters a signalé deux personnes au sol, touchées par balles.
A Kinshasa, les forces de sécurité ont eu recours au gaz lacrymogène contre plusieurs centaines de lanceurs de pierres. Des piles de pneus ont été incendiées dans la ville, survolée par deux hélicoptères de l'armée. Les forces anti-émeutes et la garde présidentielle sont mobilisées.
L'opposition, qui dénonce un « coup d'Etat constitutionnel », redoute que la réforme de la loi électorale soit une manoeuvre du président Joseph Kabila afin de repousser de plusieurs années la tenue des prochaines élections, prévues pour 2016.
La réforme, approuvée au cours du week-end par la chambre basse du Parlement, doit être examinée au Sénat à partir de ce lundi. Elle prévoit qu'un recensement complet de la population soit mené avant la tenue des prochaines élections.
Selon l’AFP, la police congolaise a tiré quelques coups de feu lundi matin pour disperser plusieurs milliers d’étudiants qui manifestent dans le sud de la ville. Un blessé par balles a été vu par une journaliste de l’AFP.
Des manifestations ont également été signalées à Goma, la principale ville de l'est du pays, où un journaliste de Reuters a signalé deux personnes au sol, touchées par balles.
A Kinshasa, les forces de sécurité ont eu recours au gaz lacrymogène contre plusieurs centaines de lanceurs de pierres. Des piles de pneus ont été incendiées dans la ville, survolée par deux hélicoptères de l'armée. Les forces anti-émeutes et la garde présidentielle sont mobilisées.
L'opposition, qui dénonce un « coup d'Etat constitutionnel », redoute que la réforme de la loi électorale soit une manoeuvre du président Joseph Kabila afin de repousser de plusieurs années la tenue des prochaines élections, prévues pour 2016.
La réforme, approuvée au cours du week-end par la chambre basse du Parlement, doit être examinée au Sénat à partir de ce lundi. Elle prévoit qu'un recensement complet de la population soit mené avant la tenue des prochaines élections.
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