« Dans un passé récent, nous avons connu des gens qui n’avaient cure des fondamentaux d’un état de droit, faisant preuve d’une arrogance sans commune mesure, foulant aux pieds les principes sacro-saints de la République, dont une justice seule habilitée à prononcer une sentence contre un citoyen, et qui ont sournoisement molesté un opposant politique, lâchement incendié la tribune sur laquelle se tenait une manifestation d’un parti d’opposition, violemment saccagé les locaux d’organes de presse privés. » Le rappel est de Khadim Sylla, responsable de l’Apr à Touba et coordinateur départemental de la Cojer de Mbacké. Cette sortie, sous forme de réponse à l’Ujtl national qui a récemment prononcé un réquisitoire sans complaisance à l'endroit du régime Sall, a été l’occasion pour l’Apériste de s’’interroger. « Quand nous avons entendu nos amis de l’autre bord - si ce n’est d’outre bord- parler de gangstérisme politique, nous nous sommes tout simplement dit que : dans ce pays, soit le ridicule ne tue plus, soit ces gens là nous croient amnésiques ».
Khadim Sylla de poursuivre : « en s’attaquant à la justice, ces pyromanes récemment arrêtés pour avoir mis le feu à un bus prouvent encore qu’ils n’ont que l’insulte et le dénigrement à la bouche. Mais on ne saurait attendre moins de leur part ». Abordant l’affaire Aïda Ndiongue, le coordinateur de la Cojer de Touba estime que le droit a été dit dans toute sa rigueur. « Le tribunal de première instance de Dakar avait prononcé la relaxe en faveur de Madame Aïda Ndiongue et compagnie et le procureur de la République a usé de son droit d’interjeter appel. La cour suprême lui a donné raison. La main du Président de la République n’y est pas. Elle est plutôt dans les grandes réalisations et le relèvement du taux de croissance! »
Khadim Sylla de poursuivre : « en s’attaquant à la justice, ces pyromanes récemment arrêtés pour avoir mis le feu à un bus prouvent encore qu’ils n’ont que l’insulte et le dénigrement à la bouche. Mais on ne saurait attendre moins de leur part ». Abordant l’affaire Aïda Ndiongue, le coordinateur de la Cojer de Touba estime que le droit a été dit dans toute sa rigueur. « Le tribunal de première instance de Dakar avait prononcé la relaxe en faveur de Madame Aïda Ndiongue et compagnie et le procureur de la République a usé de son droit d’interjeter appel. La cour suprême lui a donné raison. La main du Président de la République n’y est pas. Elle est plutôt dans les grandes réalisations et le relèvement du taux de croissance! »
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