Pour Jean Paul Dias, le président de la République ne doit pas porter plainte encore moins laisser prospérer une quelconque action judiciaire publique contre les manifestants. En effet, le patron du Bcg considère que les événements survenus à l’université ne sont pas l’œuvre de la jeunesse estudiantine dans sa majorité, mais d’une frange politicienne instrumentalisée par des adultes irresponsables.
C’est pourquoi il demande à son mentor «de retourner au Pavillon A comme initialement prévu pour parachever le travail». Ceci, dit- il, «dès la rentrée prochaine afin de revoir sa chambre d’étudiant car, le campus universitaire ne saurait être tenu pour un lieu de non droit, un no man’s land exclusivement étudiant».
Selon lui, «tous les leaders des coalitions le soutenant devraient l’y accompagner en première position et certains d’entre eux pourront aussi visiter leurs chambres d’étudiants».
A l’en croire, «ce serait une occasion pour un rétablissement de rapports sains entre les aînés et la jeunesse de l’Ucad, laquelle devrait saisir cette opportunité pour s’excuser, engager via ses porte-parole le dialogue avec le chef de l’Exécutif et ouvrir ainsi une nouvelle page de relations pacifiées».
A travers une déclaration, Jean Paul Dias de noter qu’«au cours de cet échange de vérités, il conviendra de préciser aux étudiants que si certaines revendications peuvent être satisfaites, d’autres seront mises à l’étude, tandis que quelques-unes, par contre, ne sont pas à envisager en suite favorable».
Pour le patron du Bcg, «les étudiants ne constituent pas la frange de la population la plus mal lotie, seule la vérité réciproque peut mener à l’apaisement». Par ailleurs, il a invité le gouvernement sous toutes ses composantes, «à rompre définitivement avec les retards récurrents de paiements de bourses à ceux qui y ont droit».
C’est pourquoi il demande à son mentor «de retourner au Pavillon A comme initialement prévu pour parachever le travail». Ceci, dit- il, «dès la rentrée prochaine afin de revoir sa chambre d’étudiant car, le campus universitaire ne saurait être tenu pour un lieu de non droit, un no man’s land exclusivement étudiant».
Selon lui, «tous les leaders des coalitions le soutenant devraient l’y accompagner en première position et certains d’entre eux pourront aussi visiter leurs chambres d’étudiants».
A l’en croire, «ce serait une occasion pour un rétablissement de rapports sains entre les aînés et la jeunesse de l’Ucad, laquelle devrait saisir cette opportunité pour s’excuser, engager via ses porte-parole le dialogue avec le chef de l’Exécutif et ouvrir ainsi une nouvelle page de relations pacifiées».
A travers une déclaration, Jean Paul Dias de noter qu’«au cours de cet échange de vérités, il conviendra de préciser aux étudiants que si certaines revendications peuvent être satisfaites, d’autres seront mises à l’étude, tandis que quelques-unes, par contre, ne sont pas à envisager en suite favorable».
Pour le patron du Bcg, «les étudiants ne constituent pas la frange de la population la plus mal lotie, seule la vérité réciproque peut mener à l’apaisement». Par ailleurs, il a invité le gouvernement sous toutes ses composantes, «à rompre définitivement avec les retards récurrents de paiements de bourses à ceux qui y ont droit».
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