Le candidat des Républicains s'exprimait depuis son QG de campagne, alors qu'il vient de recevoir une convocation des juges dans la matinée. Il a dénoncé un «assassinat politique» contre sa personne mais également «contre la campagne présidentielle».
Ce 1er mars, François Fillon a convoqué la presse à son QG de campagne afin de faire une déclaration après sa convocation par les juges dans le cadre de l'enquête sur l'emploi présumé fictif de son épouse. «Je ne me retirerai pas», a-t-il martelé, assurant qu'il entendait aller «jusqu'au bout».
S'il avait annoncé qu'il renoncerait à se présenter en cas de mise en examen, François Fillon, tout en confirmant celle-ci, a tenu à maintenir le cap. Il a ainsi demandé aux Français de «tenir bon et de [le] suivre». Soucieux de donner une dimension politique à l'enquête qui le vise, il a déclaré : «A travers moi, c'est la campagne présidentielle qui est visée.»
Pour se défendre, François Fillon a choisi la stratégie qu'il avait déjà mise en place ces derniers jours. S'étonnant de la rapidité de l'enquête préliminaire, il a dénoncé le «viol systématique de l'Etat de droit» et la «disparition de la présomption d'innocence». Selon lui, il s'agirait d'une manœuvre destinée à l'«empêcher d'être candidat». En dépit de ses critiques envers les juges qui ne le traiteraient pas comme un «justiciable ordinaire», il a précisé qu'il ne «désespérait pas de la justice».
La campagne de François Fillon est en difficulté depuis les révélations du Canard enchaîné sur les emplois de son épouse et de deux de ses enfants comme collaborateurs parlementaires.
Ce 1er mars, François Fillon a convoqué la presse à son QG de campagne afin de faire une déclaration après sa convocation par les juges dans le cadre de l'enquête sur l'emploi présumé fictif de son épouse. «Je ne me retirerai pas», a-t-il martelé, assurant qu'il entendait aller «jusqu'au bout».
S'il avait annoncé qu'il renoncerait à se présenter en cas de mise en examen, François Fillon, tout en confirmant celle-ci, a tenu à maintenir le cap. Il a ainsi demandé aux Français de «tenir bon et de [le] suivre». Soucieux de donner une dimension politique à l'enquête qui le vise, il a déclaré : «A travers moi, c'est la campagne présidentielle qui est visée.»
Pour se défendre, François Fillon a choisi la stratégie qu'il avait déjà mise en place ces derniers jours. S'étonnant de la rapidité de l'enquête préliminaire, il a dénoncé le «viol systématique de l'Etat de droit» et la «disparition de la présomption d'innocence». Selon lui, il s'agirait d'une manœuvre destinée à l'«empêcher d'être candidat». En dépit de ses critiques envers les juges qui ne le traiteraient pas comme un «justiciable ordinaire», il a précisé qu'il ne «désespérait pas de la justice».
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