Jacques Diouf, qui devait achever son troisième mandat à la tête de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) le 31 novembre 2011, a écourté la procédure habituelle à la Fao pour recouvrer sa liberté dès la désignation, il y a quelques jours, de son successeur. Désireux de briguer les suffrages à la présidentielle sénégalaise de février 2012, il ne pouvait pas prolonger son séjour à Rome sans courir le risque d’être irréversiblement surpassé par les autres candidats.
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