La vie d’un homme peut-elle être passée par pertes et profits ? Un crime odieux enterré par une loi d’amnistie qui pue la corruption, l’achat de consciences et le machiavélisme le plus abject ? Non ! C’est la réponse définitive d’un groupe de juristes déterminés à rouvrir le procès pour ramener les assassins et leurs commanditaires en prison. Et surtout éclairer, une fois pour toute les sénégalais sur cette « affaire » terrifiante qui a secoué la république.
Cette nouvelle initiative va s’accélérer avec les révélations de Pape Samba Mboup, ancien chef de cabinet du président Abdoulaye Wade qui affirme avoir remis « des centaines de millions de francs CFA à Clédor Sène, un maître chanteur de la part de Wade ».
Pourquoi donc ? Pourquoi « la loi Ezzan » qui amnistie les personnes reconnues coupables du crime de Me Seye ? Pourquoi avoir donné de l’argent à la famille du défunt ? Pourquoi Wade qui a été accusé dans le livre de Latif Coulibaly n’a même daigné répondre ?
Quand c’est flou dit Martine Aubry, maire de Lille ; c’est qu’il y a un loup. Avec l’assassinat de Me Babacar Seye, vice-président du Conseil Constitutionnel, le flou est de plus en plus transparent et laisse apparaître un visage et une tête bien dégarnie. Et comme par hasard, ce personnage s’acharne à effacer toutes les traces de ce crime d’Etat en faisant voter une loi d’amnistie.
Mais c’est peine perdue car le groupe des juristes qui a repris le dossier est suffisamment outillé pour remettre le métier à l’ouvrage et surtout mettre au pied du mur les coupables pour qu’ils balancent les commanditaires et donneurs d’ordre. Ceux-là sans qui l’assassinat n’aurait pas été commis.
Les menaces de l’ex-chef de cabinet de Wade sont bien prises au sérieux. La trace Clédor Sène aussi. Parler c’est aussi se mettre à découvert, et demain donner des raisons aux enquêteurs pour se faire convoquer.
Cette fois-ci le procès sera verrouillé et rien ne pourra sauver les vrais coupables. Car justice doit être rendue. Pour le peuple sénégalais ! Pour la famille de Me Babacar Seye. Et pour l’Histoire.
Afriqueconfidentielle
Cette nouvelle initiative va s’accélérer avec les révélations de Pape Samba Mboup, ancien chef de cabinet du président Abdoulaye Wade qui affirme avoir remis « des centaines de millions de francs CFA à Clédor Sène, un maître chanteur de la part de Wade ».
Pourquoi donc ? Pourquoi « la loi Ezzan » qui amnistie les personnes reconnues coupables du crime de Me Seye ? Pourquoi avoir donné de l’argent à la famille du défunt ? Pourquoi Wade qui a été accusé dans le livre de Latif Coulibaly n’a même daigné répondre ?
Quand c’est flou dit Martine Aubry, maire de Lille ; c’est qu’il y a un loup. Avec l’assassinat de Me Babacar Seye, vice-président du Conseil Constitutionnel, le flou est de plus en plus transparent et laisse apparaître un visage et une tête bien dégarnie. Et comme par hasard, ce personnage s’acharne à effacer toutes les traces de ce crime d’Etat en faisant voter une loi d’amnistie.
Mais c’est peine perdue car le groupe des juristes qui a repris le dossier est suffisamment outillé pour remettre le métier à l’ouvrage et surtout mettre au pied du mur les coupables pour qu’ils balancent les commanditaires et donneurs d’ordre. Ceux-là sans qui l’assassinat n’aurait pas été commis.
Les menaces de l’ex-chef de cabinet de Wade sont bien prises au sérieux. La trace Clédor Sène aussi. Parler c’est aussi se mettre à découvert, et demain donner des raisons aux enquêteurs pour se faire convoquer.
Cette fois-ci le procès sera verrouillé et rien ne pourra sauver les vrais coupables. Car justice doit être rendue. Pour le peuple sénégalais ! Pour la famille de Me Babacar Seye. Et pour l’Histoire.
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