A ce rythme, il y a vraiment de quoi s’inquiéter. Tout récemment, une jeune mère sénégalaise Fabienne Kabou a été condamnée à 20 ans de prison ferme en France pour avoir jeté dans la mer sa fille de quinze mois. Au même moment, une autre Sénégalaise, la chanteuse Philomène Sène, qui avait tué ses trois gamins, était déclarée irresponsable, au pénal, par la Cour d’appel de Paris. Ce, alors qu’on attend encore le procès de Thioro Mbow, cette Sénégalaise qui avait brûlé ses trois enfants en Belgique. Et voilà que nos radars nous parlent d’un autre rebondissement.
Il y a de cela un an, Libération révélait qu’une jeune mère sénégalaise avait aussi égorgé son bébé de six mois. Les faits s’étaient déroulés à Newcastle (Sydney).
Si nous reparlons de cette affaire, c’est que la meurtrière présumée sera officiellement mise en accusation par la Cour suprême de Sydney le 5 août prochain. Pour dire qu’on devrait être édifié à cette date sur le jour de l’ouverture de son procès. Une audience préliminaire s’est d’ailleurs tenue la semaine dernière et c’est par vidéo conférence, depuis la maison d’arrêt, que la jeune maman tueuse a été interrogée.
Tout ce qu’elle a consenti à dire aux juges est qu’elle a des... problèmes. Ce qu’a confirmé son mari interrogé par le tribunal, le même jour. Ce dernier a informé que quelques jours avant le drame, son épouse lui avait dit qu’elle déprimait. Mieux, le jour de la découverte du corps sans vie du bébé, son épouse, qui avait encore l’arme du crime entre les mains, lui a lancé : «C’est mieux comme ça». Tout simplement...
Il y a de cela un an, Libération révélait qu’une jeune mère sénégalaise avait aussi égorgé son bébé de six mois. Les faits s’étaient déroulés à Newcastle (Sydney).
Si nous reparlons de cette affaire, c’est que la meurtrière présumée sera officiellement mise en accusation par la Cour suprême de Sydney le 5 août prochain. Pour dire qu’on devrait être édifié à cette date sur le jour de l’ouverture de son procès. Une audience préliminaire s’est d’ailleurs tenue la semaine dernière et c’est par vidéo conférence, depuis la maison d’arrêt, que la jeune maman tueuse a été interrogée.
Tout ce qu’elle a consenti à dire aux juges est qu’elle a des... problèmes. Ce qu’a confirmé son mari interrogé par le tribunal, le même jour. Ce dernier a informé que quelques jours avant le drame, son épouse lui avait dit qu’elle déprimait. Mieux, le jour de la découverte du corps sans vie du bébé, son épouse, qui avait encore l’arme du crime entre les mains, lui a lancé : «C’est mieux comme ça». Tout simplement...
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