Il y a quelques semaines,Idrissa Seck proposait la mise en place d’un Conseil suprême de la République qui avait été accueilli dans la controverse.
En bureau politique ce matin au siège de son parti, il a défendu son idée et a même proposé en outre, la création d’un observatoire national des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance.
« Le dialogue ne signifie pas que l’on soit d’accord sur tout, mais signifie qu’on sache ce que chacun pense et le peuple décide. C’est cela le sens de l’institution d’un conseil suprême de la République », précisera t-il.
Le mot suprême, selon Idrissa Seck, a du induire certains en erreur. « Au vu des réactions des gens de l’APR, j’ai compris qu’ils n’avaient pas compris. Qu’ils pensaient que « le Conseil serait placé au-dessus du Président et lui prendrait sa prérogative de définir la politique de la nation, mais une telle idée ne peut pas me traverser l’esprit. J’ai conscience que c’est l’élu qui est au-dessus du nommé. Ce conseil dans l’agencement des institutions viendraient après le Premier ministre, l’Assemblée nationale etc.
En outre, il a proposé la mise en place d’un Observatoire national des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance, qui serait composée de personnalités fortes. Il a promis de transmettre l’idée à Macky Sall si cela l’agrée. Cet observatoire, dira Idrissa Seck, « devra comme son nom l’indique, veiller à préserver la parole donnée par les hommes politiques... »
En bureau politique ce matin au siège de son parti, il a défendu son idée et a même proposé en outre, la création d’un observatoire national des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance.
« Le dialogue ne signifie pas que l’on soit d’accord sur tout, mais signifie qu’on sache ce que chacun pense et le peuple décide. C’est cela le sens de l’institution d’un conseil suprême de la République », précisera t-il.
Le mot suprême, selon Idrissa Seck, a du induire certains en erreur. « Au vu des réactions des gens de l’APR, j’ai compris qu’ils n’avaient pas compris. Qu’ils pensaient que « le Conseil serait placé au-dessus du Président et lui prendrait sa prérogative de définir la politique de la nation, mais une telle idée ne peut pas me traverser l’esprit. J’ai conscience que c’est l’élu qui est au-dessus du nommé. Ce conseil dans l’agencement des institutions viendraient après le Premier ministre, l’Assemblée nationale etc.
En outre, il a proposé la mise en place d’un Observatoire national des engagements politiques et des bonnes pratiques de gouvernance, qui serait composée de personnalités fortes. Il a promis de transmettre l’idée à Macky Sall si cela l’agrée. Cet observatoire, dira Idrissa Seck, « devra comme son nom l’indique, veiller à préserver la parole donnée par les hommes politiques... »
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