Idrissa SECK, l’éruption d’un égo surdimensionné


Idrissa SECK, l’éruption d’un égo surdimensionné
Nul n’osait penser que la désinvolture d’un homme pouvait atteindre des proportions insoupçonnées allant jusqu’à empiéter sur les limites jusque-là infranchissables du bouclier constitutionnel conçu pour parer à toutes formes de perversion démocratique.
Pour Idrissa SECK, il faut user et abuser de toutes les opportunités du système démocratique qu’offre notre pays au mépris des conventions sociales sans être inquiété.
Or, il y a des limites que nul ne devrait franchir. Ce sont celles de la morale politique qui ne sont inscrites dans aucun code, hormis celui de l’honneur.
Depuis qu’il a quitté l’hôtel Saint James de Paris, son lieu de villégiature préféré, Idrissa SECK, un personnage d’un grotesque achevé s’est signalé au bon souvenir des sénégalais à la veille des élections locales de Juin 2014.
Au sortir de ces joutes électorales qui ont confirmé son statut de leader politique d’envergure juste locale, l’actuel président du conseil départemental de Thiès, plus aigri que jamais, noie son chagrin et sa déception à travers des attaques tous azimuts contre le Président de la République malgré la mise en œuvre d’une politique résolue de redressement du pays à travers, notamment, le PSE.
 
La politique économique et sociale de ce dernier et son désir de faire du Sénégal un pays émergent sont révélateurs, au point qu’il mérite des jugements favorables de la part de ses compatriotes, de la société civile et de la classe politique en particulier.
Au contraire, et heureusement qu’il s’agit d’une exception notable, l’ancien Maire de Thiès, dans un dernier recours désespéré, porte délibérément des œillères pour se départir de son sens de discernement.
Il est devenu autiste. Indifférent à tout, sauf aux moyens illégaux qui peuvent le guider au Palais de la République. Son égo est hypertrophié depuis que son rêve de succéder à Me WADE s’est dissipé. Et, comme un forcené, il s’est mis à attaquer celui que l’écrasante majorité des Sénégalais a choisi.
Aujourd’hui, rien que l’évocation du nom de Idrissa SECK provoque dégoût et antipathie chez les Sénégalais. C’est unanime.
Même les sondages fabriqués et monnayés n’y peuvent rien. Idrissa enregistre ses interlocuteurs à leur insu, révèle les Secrets d’Etat, viole les Serments noués avec ses compagnons et ses Partenaires. De sa bouche d’où il sort tant d’insanités sur des personnes toutes meilleures que lui, il souille le Coran dont il récite des versets parfois mal assimilés pour impressionner son monde.
S’il était imbibé des préceptes islamiques qui fleurissent à tout bout de champ dans son discours politique, il aurait compris que l’horloge inéluctable de Dieu est le repère incontournable de la destinée des hommes.
Ainsi, à travers le suffrage des sénégalais, le « Tout-puissant » a confié le pouvoir au Président Macky SALL le 25 mars 2012.
Sa quête perpétuelle d’un pouvoir qui lui est du reste inaccessible vaut-elle autant d’infamie qui fait que notre Don Quichotte national vire au délirium tremens.
Aujourd’hui, force est de constater qu’il a complètement perdu la raison et, tel un naufragé politique, il vit l’impuissance d’un cadavre dans l’eau. Le pauvre ! Il est à court d’arguments pour charmer son public et revient à la case de départ en usant de ce qu’il sait faire le mieux : l’injure facile et la provocation infantile du genre « Macky est le premier virus Ebola », ou « Macky a été le premier à trahir sa signature suivi de Moustapha NIASS et Ousmane Tanor DIENG d’ailleurs c’est l’ordre des trahisons qui donne l’ordre des résultats à la présidentielle 2012 ».
N’importe quoi ! Vite il faut convoquer Freud parce que Idrissa SECK délire dangereusement et il lui faut un psychanalyste pour le guérir de ses 7% qu’il n’a pas encore digérés. Son goût immodéré du pouvoir, l’estime illimitée de soi et son sentiment névrotique d’être l’épicentre du monde expliquent ses comportements dignes d’un schizophrène.
Jadis, c’était la suffisance, la manipulation par des promesses vaines, l’arrogance, l’exubérance d’un « diplômé de je ne sais quels instituts établis sur la Lune ou sur la planète Mars ».
Aujourd’hui, il s’autorise à donner des leçons de bonne gouvernance. N’aurait-il pas été plus crédible s’il avait appliqué, pendant qu’il était aux affaires, les recettes éculées qu’il propose.
Comment un homme politique qui avait du mal à donner la signification du Budget consolidé d’Investissement (Bci) laissant ainsi transparaitre ses carences béantes en gestion budgétaire, peut-il  proposer une alternative économique profitable au Sénégal ?
En tentant de surfer sur l’actualité, Idrissa SECK s’est transformé en girouette politique flottant au gré des gros titres de la presse. Il cherche à faire de la Ca.2017, un simple instrument au service de sa dévorante ambition d’être Président de la République en 2017. D’ailleurs, il est tellement pressé qu’il ne cesse de demander au Président Macky SALL de tenir sa promesse de réduire son mandat de 7 à 5 ans et d’y procéder non par référendum, mais par voie parlementaire. « Qui s’exprime se dévoile » dit l’adage.
Tout le discours de Idrissa SECK montre qu’il cherche systématiquement à entraver, en vain, la marche résolue de notre pays vers l’émergence. Il est vrai que WADE a détruit la République par vanité, mais aussi il faut reconnaître qu’Idrissa SECK l’a exterminée du fait de son ambition impossible d’en être le n°1. Je lui concéderais volontiers le titre de n°1 qu’il convoite tant, mais partant de la queue.
Ses éminents compagnons avec qui il avait commencé l’aventure politique se sont éloignés de lui et « Rewmi » réduit en un pool d’orphelins qui ne savent plus où donner de la tête.
Idrissa SECK n’a pas de retenue, ni de la hauteur qui caractérisent les grands hommes. Il fait feu de tout bois pour se réchauffer de l’engourdissement politique qui l’envahit inexorablement.
Voilà un homme qui croit pouvoir manipuler tout le monde, que déjà, il s’est mis dans la peau d’un candidat unique de l’opposition au mépris de l’intelligence des leaders politiques qu’il pense pouvoir berner.
Il faut oser s’appeler « Idrissa SECK », être rongé par l’habitude des échecs et la soif de revanche sur son destin de petit esprit, pour croire que des leaders comme Khalifa SALL, Abdoulaye BALDE, Aida MBODJ et Mamadou DIOP- Decroix vont s’aligner machinalement derrière lui en colonnes couvrées, battre campagne pour ses beaux yeux et le conduire paisiblement au palais comme « Idy 5 Président ».
En réalité, Idrissa SECK n’est pas un travailleur. Il en a fait la preuve aussi bien à la Primature qu’à la Mairie de Thiès. Aujourd’hui, il en est réduit à hurler avec les loups, triste sort pour celui qui voudrait être le 4ème Président de la République.                                                                           
Sans gêne et croyant peut–être les sénégalais amnésiques, Monsieur SECK qui fut un des signataires du Protocole de Reubeuss, la fameuse médiation pénale qui lui a permis de humer l’air de la liberté en 2006 après 6 mois de prison pour mauvaise gestion des chantiers de Thiès, sent qu’une réussite du PSE dont lui-même est incapable d’être l’initiateur, assassinera ses ambitions d’être président en 2017.
Et, poussant plus loin sa perversion politique, il est devenu l’allié objectif et contre nature, plus par opportunisme que par conviction, de tous ceux à qui la CREI demande des comptes. Comment celui qui se déclare « ancien » de Princeton et Sciences Po peut-il tenir des discours aussi troubles et contradictoires ?
Tantôt il est pour le principe de la reddition des comptes, tantôt il demande l’abandon des poursuites contre ceux qui comparaissent en ce moment  devant la CREI.
Que dire de plus ? Simplement, inviter solennellement les sénégalaises et les sénégalais à ne pas se laisser distraire, tant les défis qui nous attendent sont importants, l’espoir grandissant grâce à la vision éclairée du Président Macky Sall, un combattant à la tête de notre République.
 
 
 
 
Diène Farba SARR
Membre du Secrétariat National Exécutif de l’APR
Jeudi 21 Août 2014




1.Posté par Lerena le 21/08/2014 15:44
Il y a quelque chose qui échappe à ma rationalité: les gens de l'APR ruent sur tous les brancards qu'Idy est un navet et un nul. Mais à chaque fois ils montent sur le chevaux quand le soit disant petit bonhomme fait des sorties.
J'ai bien l'impression qu'ils ont peur de lui car un insignifiant on l'ignore on ne parle pas de lui.

Ont ils peur d'Idy a ce point?

2.Posté par Bonethugs le 21/08/2014 16:07
Idy sou nekoul President sou dewe dou talii ay waay japale lene ko

3.Posté par djiby le 21/08/2014 18:10
ha oui ils ont vraiment peur de idy des je rigole parceque en realite a chaque fois il essaient de lui salir je comprend maintenant limage quand on lui colle n y est pas vraiment l apr est petit pour contraint ce monsieur que ns considerins que c est le seul qui pourra gerrer ce pays ns senegalais lamda on est consient maintenant que vousvoulez le diaboliser mettre le en mal avc le peuple une chose est sure d apres les sondages incha ala il sera elu president

4.Posté par diop le 21/08/2014 16:17
Vous avez raison ils ont peur d'Idy
Idrissa Seck n'a jamais demandé l’abandon des poursuites contre ceux qui comparaissent en ce moment devant la CREI. Diène Farba SARR Vous mentez dangereusement bien.

5.Posté par A TOI le 21/08/2014 16:26
IDY qui parle de macky sall;meme en reve il parle de macky sall, a_t'il peur de macky? s'il est convaincu que que macky ne pvaut rien,pourquoi tant de gesticulations,tant de sorties les unes aussi puantes que les autres? il sait que macky l'a distancé a jamais,jamais il n'aura la belle trajectoire de mack: directeur général,ministre;premier ministre,président de l'assemblée nationale,président de la république en seulement 3 à 4 de conquéte du pouvoir! qui peut faire mieux? pas ce fénéant,ce sale griot fils d'une lambane katte,une mere à la bouche perfide,oui telle mère tel fils,pour qui la roublardise,la fourberie,le mensongeles combines de canniveau la ruse sont les seules recettes politiques qui vaillent! pauvre de ce fils du babouin wade,tel père tel fils disait l'autre!

6.Posté par diop le 21/08/2014 16:33
ou est mon commentaire?

7.Posté par baye le 21/08/2014 17:01
Mais pourquoi les critiques vont toujours sur la personne de Idy et non sur ses idées. Elevez vous un peu les gus de l'APR

8.Posté par madiaga le 21/08/2014 17:09
Ce qui est désolant et à la limite du ridicule,avec ces espèces de l'APR,c'est qu’au-lieu de répondre aux questions que soulèvent les sorties de Idrissa Seck ils n'ont à la bouche,que l'injure,le dénigrement et la calomnie.
La vérité est qu'il est plus que temps de se pencher sérieusement sur la crise universitaire qui perdure depuis une décennie.Outre le .problème des bourses,des réformes profondes doivent s'opérer,sur les plans social,pédagogique et académique.
Les bavures policières ne sont que de trop,s'il s'y ajoute l'inaction et le dilatoire du gouvernement ça devient,en plus de la sortie guerrière du PR Macky Sall,tout simplement inacceptable.Se prononcer et apporter sa contribution est de fait une urgence et une nécessité que tout sénégalais soucieux du devenir de notre pays et de sa stabilité de se prononcer.Dénoncer l'incapacité d'un gouvernement et son chef n'est nullement outrancier ou prétentieux,surtout quand le discours qui le sous-tend est aussi responsable que celui de Idrissa Seck qui insistant sur la nécessité de taire les rancœurs et de ne pas céder à la colère car,leur a-t-il dit-il:"la colère est mauvaise conseillère".En proposant de rencontrer le PM il a bien fait de préciser et de citer les antécédents où son intervention avait porté des fruits pour le bien de tous,car en définitive il n'y aura aura qu'un seul gagnant,notre Sénégal.Mais comme il est de coutume,pour se faire une promotion il faut sauter sur Idrissa Seck,et le plus virulent aura plus de chance de se faire récompenser.N'oubliez juste pas que les sénégalais vous ont élu pour gérer se pays,répondre à la demande et la commande sociales,ce que vous tardez à faire.A part le tintamarre de la traque des biens mal acquis que du reste vous gérez piétrement et arbitrairement,entre vices de procédure et justice sélective,vous ne n'avez rien fait depuis bientôt 30 mois.

9.Posté par deug le 21/08/2014 18:30
La priorité aujourd'hui est la réfection de la route Fatick Kaolack. N'est ce pas vous Mr Sarr qui avait déclaré devant le khalife de Médina Baye que les travaux de réfection de la route Fatick Kaolack vont démarrer au premier trimestre de 2014. Nous sommes en Août et jusqu'à présent rien n'a été fait.Arrêter de mentir. Je n'ai rien contre vous mais je pense que la pire des choses est le mensonge et les sénégalais constatent que c'est votre sport favori.
Réparer la route d'abord avant faire la morale sale menteur.

10.Posté par Diamniadio le 21/08/2014 19:24
Ce Ministre doit se mettre au travail et montrer ce dont il est capable.
Son Ministère est une coquille vide car le Renouveau Urbain est l'apanage de la DGPU (Délégation Générale aux Pôles Urbains) de Seydou Sy Sall logé au Secrétariat de Macky qui choie ses marocains de Alliances et ses amis Mar Thiam de GETRAN et Yérim SOW de TEYLIUM. Que du nébuleux
Votre Ministère ne gère rien sinon des villégiatures genre Salon de l'Habitat aux USA pour deux semaines de farniente avec 6 jours d'exposition (3 à Los Angeles et 3 à Washington).
Où est la rupture ?
AU TRAVAIL ! On ne sent pas un Ministre de l'Habitat.
AU TRAVAIL ! Ce n'est pas Idy qui est au pouvoir

11.Posté par CA 2017 le 21/08/2014 20:03
Je me sens ecoeuré et sans voix quand je vois des gens de Macky Sall pour ne pas dire l'APR denigrer celui qui ose dire la situation reelle que vivent les sengalais. D'abord on commence par le comonel de la gendarmerie, ensuite sur le Pr Malick Ndiaye en le discreditant lui traitnt de tous les nos d'oiseaux. Sa simple faute a été d'alerter l'opinion sur ce qui ce passe au sommet de la Republique. Maintenant c'est au tour de Idrissa Seck qui a eu la sagesse d'accueillir les etudiants chez lui quand ils étaient poursuivis par les policiers. Et pendant ce temps ou etait les ministres Diene Farba Sarr, le Deputé Abdou Mbow et tous les cadres de Macky Sall lui qui s'etait absenté du pays. Je pense ces gens ne respectent meme pas les senegalais. Leur seule preoccupation est de demeurrer au pouvoir. Mais pour cela il pense que ça doit passer par l'enterrement tput simplement du President Idrissa Seck. En 2012 les senegalais ont dit non a l'insolance et a l'arrogance au detriment de l'espoir que ce Macky Sall a simplement gaché. Mais comme le dit l'adage quand il y'aura la vie, l'espoir est permis! Idrissa Seck est et sera reste et restera le symbe de cet espoir face a ce pouvoir qui ressemble a une grosse arbre qui s'affaisse....(trop de bruit mais n'empeche elle va tomber a terre)

12.Posté par Atpico le 21/08/2014 22:17
Le portrait d'Idy ainsi tracé touche forcément à des aspects de sa vérité. Mais il vaut mieux, même quand on monte au créneau pour tenter de sauver son président à la dérive, ne pas se référer à Freud quand on n'en connait pas bien la pensée et la clinique. On ne peut pas en effet être névrosé et schizophrène c'est à dire névrosé et psychotique à la fois . Ou bien on est névrosé, ou bien on est psychotique, même si dans l'un et l'autre cas on peut se mettre à délirer. Et si Idy était psychotique, ce qui est une façon pas si exceptionnelle que cela d'être dans le monde, ce ne serait pas sur la pente de la schizophrénie mais sur celle de la paranoïa. C'est ce que tendrait à indiquer ce fameux ego surdimensionné, sa certitude d'avoir été la victime innocente d'un complot mystique d'état sans précédent qui aurait causé son echec en 2012, sa conviction d'être le fils spirituel unique héritier légitime du Père Wade, sa conviction d'être plus intelligent que ses pairs, celle d'être aimé et apprécié par le peuple, au même titre que ses absences longues et répétées de toute activité de direction et de gestion partagée au quotien avec d'autres dans sa mairie et dans son parti ! Mais peut être n'est - il qu'un simple névrosé, un type "normal" cherchant à masquer et compenser sa petite taille en jouant au grand homme , au sauveur suprême!



Dans la même rubrique :