Mis en examen et écroué depuis le 28 novembre 2017 pour injures par le biais d’un système informatique, outrage à un ministre du culte et diffamation, Assane Diouf a fait face au doyen des juges, hier pour un interrogatoire dans le fond du dossier.
Ce, en présence d’un de ses avocats Me El Hadji Diouf puisque son autre conseil, Me Barro n’a pas assisté au face-à- face qui aura duré à peine deux heures et pour cause : Assane Diouf n’est pas revenu sur ses déclarations.
Selon les informations de Libération, il a réitéré l’ensemble de ses propos tenus à l’encontre du porte-parole du Khalife général des Mourides, Serigne Bass Abdou Khadre.
On se souvient que c’est suite à ses propos polémiques qu’il avait échappé de peu au lynchage. Il a été sauvé par le commissariat de Guédiawaye avant que la Division des investigations criminelles (DIC) n’entre en action sur ordre du Procureur de la République.
Dans tous les cas, tout de suite après l’interrogatoire dans le fond, Me El Hadji Diouf a déposé, au nom de son client, une demande de mise en liberté provisoire communiquée le même jour au parquet de Dakar. La deuxième du genre.
Comme nous le révélions en exclusivité, Assane Diouf avait déjà sollicité une liberté provisoire mais le parquet s’était opposé à la demande tout comme le juge instructeur qui avait convoqué des « risques de troubles à l’ordre public ». L’avocat de l’insulteur public a fait appel devant la Chambre d’accusation.
Hier encore, ceux qui poussaient Assane Diouf à l’extrême étaient quasi absents du Palais de justice où on ne notait que la présence des membres de sa famille, notamment ses enfants qui avaient effectué le déplacement pour soutenir celui qu’il n’auront vu que durant quelques jours après son retour mouvementé des états-Unis.
Ce, en présence d’un de ses avocats Me El Hadji Diouf puisque son autre conseil, Me Barro n’a pas assisté au face-à- face qui aura duré à peine deux heures et pour cause : Assane Diouf n’est pas revenu sur ses déclarations.
Selon les informations de Libération, il a réitéré l’ensemble de ses propos tenus à l’encontre du porte-parole du Khalife général des Mourides, Serigne Bass Abdou Khadre.
On se souvient que c’est suite à ses propos polémiques qu’il avait échappé de peu au lynchage. Il a été sauvé par le commissariat de Guédiawaye avant que la Division des investigations criminelles (DIC) n’entre en action sur ordre du Procureur de la République.
Dans tous les cas, tout de suite après l’interrogatoire dans le fond, Me El Hadji Diouf a déposé, au nom de son client, une demande de mise en liberté provisoire communiquée le même jour au parquet de Dakar. La deuxième du genre.
Comme nous le révélions en exclusivité, Assane Diouf avait déjà sollicité une liberté provisoire mais le parquet s’était opposé à la demande tout comme le juge instructeur qui avait convoqué des « risques de troubles à l’ordre public ». L’avocat de l’insulteur public a fait appel devant la Chambre d’accusation.
Hier encore, ceux qui poussaient Assane Diouf à l’extrême étaient quasi absents du Palais de justice où on ne notait que la présence des membres de sa famille, notamment ses enfants qui avaient effectué le déplacement pour soutenir celui qu’il n’auront vu que durant quelques jours après son retour mouvementé des états-Unis.
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