La prison c de Banjul, rendue célèbre par l’affaire des exécutions par Yaya Jammeh de détenus condamnés à mort est encore au devant de l’actualité. Cette fois-ci pas pour des exécutions, mais pour toujours une histoire concernant des prisonniers. En effet, une affaire de mort de détenus secoue encore cette fameuse prison.
Selon une association de la société civile gambienne, Civil society associations Gambia (Csag), quatre décès ont été enregistrés dans la prison entre mardi et mercredi derniers. Elle précise que les deux prisonniers décédés mercredi dernier étaient condamnés à mort. «Bien que le taux de mortalité soit très élevé en prison, c’est la première fois qu’on enregistre quatre morts en deux jours. D’ailleurs, certains parlent d’une tentative d’éliminer des condamnés à mort. La Csag peut aussi confirmer que tous les quatre prisonniers morts sont des hommes. L’un d’eux est de nationalité étrangère. La Csag condamne ces actes de torture orchestrés par les gardes pénitentiaires sur les détenus, entraînant même la perte d’un œil pour un détenu», lit-on dans un communiqué parvenu au journal Le Quotidien.
La société civile gambienne lance aussi un appel urgent au Comité international de la croix rouge (Cicr) et autres organisations pour qu’ils mettent la pression sur le gouvernement gambien pour permettre à ces organisations d’accéder dans les prisons et autres centres de détention en Gambie. «La Csag a appris avec un profond regret que depuis le prétendu coup d’Etat de 2006, l’accès dans les prisons est refusé aux organisations internationales y compris le Cicr par les autorités gambiennes», précise la société civile dans son document.
Selon une association de la société civile gambienne, Civil society associations Gambia (Csag), quatre décès ont été enregistrés dans la prison entre mardi et mercredi derniers. Elle précise que les deux prisonniers décédés mercredi dernier étaient condamnés à mort. «Bien que le taux de mortalité soit très élevé en prison, c’est la première fois qu’on enregistre quatre morts en deux jours. D’ailleurs, certains parlent d’une tentative d’éliminer des condamnés à mort. La Csag peut aussi confirmer que tous les quatre prisonniers morts sont des hommes. L’un d’eux est de nationalité étrangère. La Csag condamne ces actes de torture orchestrés par les gardes pénitentiaires sur les détenus, entraînant même la perte d’un œil pour un détenu», lit-on dans un communiqué parvenu au journal Le Quotidien.
La société civile gambienne lance aussi un appel urgent au Comité international de la croix rouge (Cicr) et autres organisations pour qu’ils mettent la pression sur le gouvernement gambien pour permettre à ces organisations d’accéder dans les prisons et autres centres de détention en Gambie. «La Csag a appris avec un profond regret que depuis le prétendu coup d’Etat de 2006, l’accès dans les prisons est refusé aux organisations internationales y compris le Cicr par les autorités gambiennes», précise la société civile dans son document.
Autres articles
-
Manifestation en Guinée Bissau : Le journaliste Armando Lona arrêté, les droits de l’hommiste engagent la responsabilité de l’Etat
-
Sare Colly Salle (Vélingara/Kolda) : Le mouvement génération consciente dénonce l’absence de développement durable dans leur commune…
-
Transport public : Orange Finances Mobiles Sénégal facilite le paiement aux usagers du BRT
-
Burkina, Mali et Niger finalisent leur projet de confédération
-
Guinée: appel à la junte pour rendre le pouvoir aux civils avant la fin de l'année