S’agissant essentiellement de la prise du décret N 2011-160 du 28 Janvier 2011 portant l’interdiction de l’importation et de la production au Sénégal de lampes à incandescence et promotion des lampes à économie d’énergie, l’AEME a visé de former des agents de la douane sur les technologies d’éclairage en vue de renforcer le contrôle des importations de produits et d’équipements d’éclairage. Cependant, depuis l’avènement de ce décret, les lampes à incandescences classiques sont toujours présentes au Sénégal. En effet, selon les résultats d’une étude d’évaluation, le taux de pénétration de ces lampes est toujours élevé car 43,2% des ménages de Dakar en disposent encore. C’est dans ce contexte qu’une formation des agents de la douane a été organisée afin de mieux lutter contre ce fléau. Le Président Conseiller de Surveillance de l’AEME, Cheikh Mbacké Lô a estimé un sondage expliquant que les lampes interdites sont toujours sur le marchés et figurent parmi les stocks les plus importants au niveau des distributeurs et constituent pour 20,7% au premier stock et pour 30,9 % le deuxième stock. Pour lui, cet atelier permettra de mieux assainir le marché avec notamment une meilleure limitation des importations au niveau des produits d’éclairage.
Poursuivant, Cheikh Mbacké lô affirme qu’en terme financier, cette lutte permettra d’économiser près de 15,7 milliards de FCFA sur les coûts annuels de production d’électricité et de 44 à 82,8 milliards de FCFA sur les investissements. Pour le colonel Samba Dia, le représentant du directeur général de la douane, cet atelier permettra aux douaniers de mieux s’outiller afin de mieux détecter les produits, de mieux comprendre cette technologie et pour mieux assurer le contrôle. « Nos attentes est que nos agents soient plus vigilants et qu’ils fassent des contrôles efficaces afin d’appliquer une bonne gestion », a-t-il argué.
Poursuivant, Cheikh Mbacké lô affirme qu’en terme financier, cette lutte permettra d’économiser près de 15,7 milliards de FCFA sur les coûts annuels de production d’électricité et de 44 à 82,8 milliards de FCFA sur les investissements. Pour le colonel Samba Dia, le représentant du directeur général de la douane, cet atelier permettra aux douaniers de mieux s’outiller afin de mieux détecter les produits, de mieux comprendre cette technologie et pour mieux assurer le contrôle. « Nos attentes est que nos agents soient plus vigilants et qu’ils fassent des contrôles efficaces afin d’appliquer une bonne gestion », a-t-il argué.
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