Financement occulte pour la construction d’un Institut islamique : Trois Saoudiens et un Soudanais refoulés de Dakar

Prétextant qu’ils devaient financer la construction d’un Institut islamique à Dakar, trois Saoudiens et un Soudanais ont tenté de rallier la capitale. Mais, ils n’ont pu franchir le portail de l’aéroport et pour cause...


Financement occulte pour la construction d’un Institut islamique : Trois Saoudiens et un Soudanais refoulés de Dakar
Les autorités sénégalaises ont instauré des mesures draconiennes pour éviter que des personnes, liées au terrorisme ou gravitant autour, ne pénètrent dans le territoire national. Selon des informations de Libération, trois Saoudiens et un Soudanais ont été refoulés in extrémis de Dakar.
Venus de Dubaï par vol Emirates, ces derniers devaient, selon leurs dires, financer la construction d’un Institut islamique à Dakar. Mais l’enquête menée par les services de Renseignements saisis à cet effet a permis de constater que l’un d’eux était fiché comme ayant de solides liens avec un mouvement radical très connu. Informé de cette donne, l’autorité a instruit l’expulsion des quatre personnes embarquée manu militari dans un avion à destination de Dubaï.
Il faut dire que les autorités sénégalaises ne veulent prendre aucun risque. Durant ces dernières semaines, pas moins de sept Syriens ont été refoulés du territoire du fait que ces derniers sont classés dans la catégorie C, c’est-à-dire que c’est le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique qui décide personnellement s’ils doivent ou non entrer dans le territoire national. Dernièrement, ce sont deux femmes provenant de Cuba, qui avaient servi des explications confuses à leur arrivée, qui ont été victimes du même sort alors qu’un britannique était longuement interrogé par le Contre-Espionnage sur ses liens présumés avec certains mouvements radicaux. 
Lundi 26 Janvier 2015




1.Posté par syso le 26/01/2015 10:12
La fracture du pénis, un accident rare
Mots clés : Fracture pénis, Sexo
Par figaro icondamien Mascret - le 23/01/2015
Selon une étude brésilienne la moitié des accidents se seraient produits avec la femme au-dessus de son partenaire, mais les manipulations brutales du pénis en érection sont aussi en cause.

L'événement est suffisamment rare pour que les hommes ne se mettent pas à craindre une fracture du pénis à chaque fois qu'ils ont un rapport sexuel. Les urologues de l'université de Campinas, au Brésil, ont ainsi dû reprendre plus de douze années de dossiers des urgences dans trois hôpitaux d'une zone qui compte 3 millions d'habitants pour en dénicher 44 correspondant à leur recherche. Dans 90 % des cas les patients avaient ressenti une vive douleur, 93 % l'apparition d'un hématome, 80 % une perte immédiate d'érection et la moitié avaient entendu un craquement.
Trois fois sur quatre lors de la pénétration

Si le pénis flaccide est extrêmement souple, il devient en revanche plus vulnérable en érection. Lorsqu'ils se gorgent de sang sous l'effet de l'excitation, les deux corps caverneux forment une armature rigide. L'un des mécanismes accidentels décrits dans la littérature scientifique, parfois sous le nom de «faux pas du coït», résulte de la butée du pénis en érection sur le périnée (entre le vagin et l'anus) lors d'un va-et-vient vigoureux avec sortie malencontreuse du pénis lors d'un mouvement. Pour les trois quarts des patients brésiliens (32 sur 44), c'est lors de la pénétration (vaginale essentiellement, anale pour deux cas) que s'est produit l'accident.
La femme «au-dessus» ne perçoit pas l'angle douloureux

L'originalité de l'étude publiée dans Advances in urology, est d'avoir recherché les positions adoptée lors de la pénétration au moment de la fracture. Il s'agissait dans la moitié des cas de «la femme au-dessus», ce que les auteurs expliquent ainsi: «lorsque la femme est au-dessus, elle contrôle habituellement les mouvements avec tout le poids de son corps reposant sur le pénis et n'est pas capable d'interrompre un mouvement lorsque le pénis n'est pas dans la bonne direction pour la pénétration». Mais la fracture pouvait aussi se produire «en levrette» (8 cas dont deux homosexuels) ou avec «l'homme au-dessus» (6 cas dont deux homosexuels).
Manipulation trop vigoureuse

Le mécanisme le plus fréquent est différent selon les régions du monde. La principale cause en Iran est appelée «taghaandan», du nom d'une pratique consistant à tordre le pénis érigée pour accélérer la perte d'érection, lorsque celle-ci est inappropriée par exemple. Sur une série de 86 cas vu à l'hôpital Kamkar (Iran), le Dr Mohammad Kazem Moslemi, comptait ainsi 56 % des accidents (48 patients) survenus ainsi, contre seulement 30 % (26 patients) lors de la pénétration. Les cas restant venant d'un traumatisme direct.
Traitement simple par chirurgie

En novembre dernier, lors du congrès annuel de l'association française d'urologie (AFU), le Dr Saïd Arza du CHU Mohammed VI (Marrakech, Maroc) décrivait lui aussi «une origine traumatique suite à une manipulation forcée de la verge en érection» pour 113 cas sur une série de 140 accidents recensés entre 2004 et 2013 (seulement 2 cas lors de la pénétration). L'âge moyen des patients était de 35 ans mais s'échelonnait de 13 à 66 ans (99 cas de 20 à 40 ans, 4 cas avant 20 ans). La majorité des patients consultait dans les premières 24 heures (95 %). L'équipe marocaine annonçait 100 % de succès avec une simple incision de 30 mm (contre l'habitude de déganter le pénis) et suture, la fracture étant chaque fois unilatérale. Tous les patients avaient évolué favorablement et 9 mois plus tard. «C'est une pathologie bénigne qui dans la grande majorité des cas n'entraîne pas de complications à long terme» soulignait le Dr Arza.

2.Posté par welainde le 26/01/2015 10:57
Le gouvernement du Sénégal doit veiller et freiner cette arrivée d'individus fuyant le proche-orient qui est dans le chaos et dont les islamistes radicaux subissent de lourdes défaites, ne prennent le Sénégal pour un refuge pour continuer leurs œuvres criminelles.



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