C'est une première historique. Plus impopulaire que jamais, et contesté jusque dans son propre camp, le chef de l'État, François Hollande, a annoncé ce jeudi soir qu'il renonçait à être candidat à la présidentielle de 2017. «Aujourd'hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche - la mienne - qui ne rassemblerait pas largement. Aussi, j'ai décidé de ne pas être candidat à l'élection présidentielle, au renouvellement de mon mandat», a-t-il déclaré lors d'une allocution surprise prononcée en direct depuis l'Élysée.
Le ton grave et la voix hésitante, le chef de l'État a également estimé que «ce qui est en cause, ce n'est pas une personne, (mais) c'est l'avenir du pays». «Je ne veux pas que la France soit exposée à des aventures qui seraient coûteuses et même dangereuses. Dans les mois qui viennent, mon seul devoir sera de continuer à diriger le pays, en m'y consacrant le plus pleinement, et dans le dévouement le plus total à la République», a-t-il finalement assuré en conclusion de son intervention.
Son indécision, qui durait depuis plusieurs semaines déjà, commençait à rendre littéralement fous ses proches et ses détracteurs, qui ne savaient plus à quoi s'en tenir. Cette clarification devrait donc permettre de faire bouger les lignes à gauche dans les prochaines heures, et ouvrir la voie à Manuel Valls. En effet, le premier ministre interviendra samedi en clôture de la «Grande convention nationale» de la «Belle Alliance populaire», et pourrait profiter de cette occasion pour annoncer sa propre candidature à la primaire à gauche.
Le ton grave et la voix hésitante, le chef de l'État a également estimé que «ce qui est en cause, ce n'est pas une personne, (mais) c'est l'avenir du pays». «Je ne veux pas que la France soit exposée à des aventures qui seraient coûteuses et même dangereuses. Dans les mois qui viennent, mon seul devoir sera de continuer à diriger le pays, en m'y consacrant le plus pleinement, et dans le dévouement le plus total à la République», a-t-il finalement assuré en conclusion de son intervention.
Son indécision, qui durait depuis plusieurs semaines déjà, commençait à rendre littéralement fous ses proches et ses détracteurs, qui ne savaient plus à quoi s'en tenir. Cette clarification devrait donc permettre de faire bouger les lignes à gauche dans les prochaines heures, et ouvrir la voie à Manuel Valls. En effet, le premier ministre interviendra samedi en clôture de la «Grande convention nationale» de la «Belle Alliance populaire», et pourrait profiter de cette occasion pour annoncer sa propre candidature à la primaire à gauche.
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