Nous nous éloignons petit à petit de l’enseignement pur et simple et nous allons vers le développement pluriel et diversifié des compétences. Il s’agit de donner la satisfaction au secteur public. Ce, en s’appuyant sur une organisation tripartite entre l’Etat, Secteur privé, et partenaire. C’est d’ailleurs dans ce cadre que le fonds de financement de la formation professionnelle et technique sera lancé, aujourd’hui, par le ministre de tutelle.
Il sera une occasion pour Mamadou Talla d’effectuer une visite au niveau des locaux qui abritent ledit fonds.
Selon lui, c’est un cadre idéal et une banque pour le financement de la formation professionnelle, c’est un fonds bien entretenu par le directeur général et le président du conseil d’administration. Ce fonds se veut un vecteur de contrôle de l’utilisation des financements des attribués, veiller à l’efficacité des actions mises en œuvre. Il s’agit aussi de conduire les études prospectives à l’environnement du développement économique de l’emploi et de la formation professionnelle. Mais aussi d’accompagner les entreprises et les établissements de formation professionnelle et technique dans l’identification et la formulation des programmes de formation.
Ce, en mobilisant les ressources nécessaires au financement de la formation professionnelle et technique. En effet, le financement se fait sur la base d’un projet d’établissement assorti d’un contrat de performance entre les établissements. « Il s’agit d’orienter les formations vers les secteurs prioritaires, les secteurs pour lesquels nous n’avions pas de compétences » a signifié Mamadou Talla.
Et de citer, le tourisme, le bâtiment, l’énergie et l’agriculture qui sont, dit-il, autant de secteurs de l’artisanat et de la formation professionnelle. « Dans ces secteurs, on peut amener les jeunes à devenir de petits patron d’entreprises. Il suffit juste que l’appuie soit suivi à la rigueur », a expliqué M. Talla.
Et d’ajouter : « Nous avons des certificats de spécialités où dans l’énergie solaire c’est de courte durée. Ces formations de courtes durée ne demandent pas beaucoup de moyens, 10 000 jeunes seront formés et employables. Le fonds fait partie d’un vaste programme de 37,5 milliards de francs CFA. Nous avons l’apprentissage et nous avons l’artisanat et c’est un secteur qui sera indépendant d’ici peu ».
Selon lui, en termes de financement la recherche de bailleurs ne doit pas être difficile. Car, le secteur privé et l’Etat pourront donc trouver les moyens de faire les choses. Il est aussi question d’appuyer ceux qui sont déjà en activité mais qui veulent avoir des activités et s’améliorer. Pour Mansour Kama, président du conseil d’administration du Fonds, il s’agit de miser sur la qua- lité des ressources humaines et de l’emploi des jeunes en posant des actes concrets. A l’en croire, il n y a que de cette manière que l’on peut aspirer à l’émergence de l’entreprise.
Il sera une occasion pour Mamadou Talla d’effectuer une visite au niveau des locaux qui abritent ledit fonds.
Selon lui, c’est un cadre idéal et une banque pour le financement de la formation professionnelle, c’est un fonds bien entretenu par le directeur général et le président du conseil d’administration. Ce fonds se veut un vecteur de contrôle de l’utilisation des financements des attribués, veiller à l’efficacité des actions mises en œuvre. Il s’agit aussi de conduire les études prospectives à l’environnement du développement économique de l’emploi et de la formation professionnelle. Mais aussi d’accompagner les entreprises et les établissements de formation professionnelle et technique dans l’identification et la formulation des programmes de formation.
Ce, en mobilisant les ressources nécessaires au financement de la formation professionnelle et technique. En effet, le financement se fait sur la base d’un projet d’établissement assorti d’un contrat de performance entre les établissements. « Il s’agit d’orienter les formations vers les secteurs prioritaires, les secteurs pour lesquels nous n’avions pas de compétences » a signifié Mamadou Talla.
Et de citer, le tourisme, le bâtiment, l’énergie et l’agriculture qui sont, dit-il, autant de secteurs de l’artisanat et de la formation professionnelle. « Dans ces secteurs, on peut amener les jeunes à devenir de petits patron d’entreprises. Il suffit juste que l’appuie soit suivi à la rigueur », a expliqué M. Talla.
Et d’ajouter : « Nous avons des certificats de spécialités où dans l’énergie solaire c’est de courte durée. Ces formations de courtes durée ne demandent pas beaucoup de moyens, 10 000 jeunes seront formés et employables. Le fonds fait partie d’un vaste programme de 37,5 milliards de francs CFA. Nous avons l’apprentissage et nous avons l’artisanat et c’est un secteur qui sera indépendant d’ici peu ».
Selon lui, en termes de financement la recherche de bailleurs ne doit pas être difficile. Car, le secteur privé et l’Etat pourront donc trouver les moyens de faire les choses. Il est aussi question d’appuyer ceux qui sont déjà en activité mais qui veulent avoir des activités et s’améliorer. Pour Mansour Kama, président du conseil d’administration du Fonds, il s’agit de miser sur la qua- lité des ressources humaines et de l’emploi des jeunes en posant des actes concrets. A l’en croire, il n y a que de cette manière que l’on peut aspirer à l’émergence de l’entreprise.
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