Exclusif! La réponse d'Abdoulaye Wade à la lettre assassine du Congrès américain


Exclusif! La réponse d'Abdoulaye Wade à la lettre assassine du Congrès américain
DAKARACTU.COM  Abdoulaye Wade s'est senti blessé par le ton et le contenu de la correspondance que les congressmen américains Donald Payne et Chris Smith et les sénateurs Christopher A Coons et Johny Isakson lui ont adressée pour l'inviter à renoncer à être candidat à la présidentielle de février 2012, par égard pour la Constitution sénégalaise. Le chef de l'Etat n'a pas apprécié cette missive qui contredit tout ce qu'il a toujours défendu à propos de la recevabilité de sa candidature. D'autant qu'elle a parmi ses coauteurs une personnalité qu'il pratique depuis plusieurs années et qu'il a longuement reçue au cours de son dernier séjour aux Etats-Unis. Donald Payne est un fin connaisseur de l'Afrique où il a suivi des dossiers de pays comme la Somalie, le Soudan et Madagascar. Membre éminent du Black Caucus, de la commission des affaires étrangères du Congrès et du parti au pouvoir, Payne est une connexion stratégique pour les chefs d'Etat africains.   
C'est pour toutes ces raisons qu'Abdoulaye Wade a pris la décision de répondre à Payne et de prendre prétexte de cette réponse pour s'adresser à l'administration américaine. Avant d'en être dissuadé par ses proches qui ont estimé qu'une telle démarche pourrait créer un incident diplomatique et braquer davantage les autorités américaines notoirement hostiles à la position de Wade. 
Ce dernier s'est laissé convaincre mais a choisi une autre formule pour répliquer. Abdoulaye Wade n'est pas homme à se laisser faire, ni à encaisser des coups sans les rendre.
Pour respecter l'ordre protocolaire, ce sont des sénateurs qui vont répondre à Donald Payne. Le président du Sénat, Pape Diop, a été chargé de former un groupe de rédaction chargé de répondre point par point au courrier litigieux. Le très politique Abdoulaye Wade comprend mieux que quiconque l'importance de faire entendre ses arguments dans une polémique où ils sont totalement occultés par ceux de ses adversaires. La réponse de "ses" sénateurs s'adresse moins à Donald Payne qu'au président américain, Barack Obama, et à sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton.    
Mercredi 21 Décembre 2011



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

22.Posté par spay contre l''ejaculation precosse le 22/12/2011 09:26
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21.Posté par moussa le 22/12/2011 01:09
egypte il sont toujours en guerre ................... chaque jours il ya des morts apres moubarack...................................................... irak il ya toujours des morts apres .............. sadam.......... libye il ya des morts apres khadafi...................... c une nouvelles formes de destabilisations des americain ............... une nouvelles colonisation europeennes . respectez vous ..... il faut elire vos presidents sans destabiliser votre pays . le pays de serigne touba l..... le pays de mame maodo malick sy . de baye niasss .......de mame limamou laye................................ m.ndoye

20.Posté par Tissaty Kamou le 21/12/2011 22:22
TOUS A LA PLACE DE L'OBELISQUE. CHAQUE ELEMENT EST UN TRESOR POUR LA BONNE CAUSE. REFUSER LE VIOL ET LA FORFAITURE. CHAQUE CITOYEN DEVIENT EN MOMENT DE LA VIE DE NOTRE NATION, UNE PIECE CAPITALE. LA SEULE PRESENCE SUFFIT. LA VERITE, LORSQU'ELLE ACCOMPGNE LES HOMMES VERTUEUX DEVIENT INEXPUGNABLE DEVANT LE CATERPILAR DU CYNIQUE NONAGENAIRE. DIEU SAUVE LE SENEGAL ET MAUDIT SOIT CE JOUR DE MARS OU CE PARANOIAQUE A PRIS LE POUVOIR.

19.Posté par Talles le 21/12/2011 21:34
Wade dégage,on a marre de toi, de tes frasques, de tes conneries, de ta tortuosité, de ton incompétence, de ton incurie, de ton insouciance. Dégage, dégage,dégage ablaye Wade nguiryalla demal, way douleur way

18.Posté par zeus le 21/12/2011 20:55
wakh waxet est un crime aux etats unis, il ya avait la cas BIL Clinton l'affaire monica liwinsky il failli être destitué

17.Posté par citoyen le 21/12/2011 19:20
Sénégal: Mauvais présage pour le pays

Dans le discours sur la première décade de 'Tite-Live' Machiavel, après avoir rappelé que 'toutes les choses de ce monde ont un terme à leur existence', indique que la République échappe à cette règle, parce qu'elle trouve dans ses propres lois de quoi se rénover d'où l'importance d'élections sincères et transparentes organisées périodiquement. A l'époque où le seigneur était l'élément fédérateur dans la république, les Médicis, qui ont régné à Florence de 1434 à 1494, avaient compris cette nécessité et pour cause, le seigneur répétait tous les cinq ans les scènes de terreur et de violences qui lui avaient permis de s'emparer du pouvoir. Mais dans l'Etat républicain et démocratique, c'est la Constitution qui est l'élément fédérateur. C'est le pacte par lequel une nation manifeste sa souveraineté en définissant librement les modalités de dévolution et d'exercice du pouvoir politique.

Dès lors, il est compréhensible qu'une divergence dans l'interprétation de dispositions constitutionnelles aussi substantielles que les articles 27 et 104 de la Constitution de 2001 puisse être constitutive de prodromes de troubles graves. Pour une question de clarté, il convient de rappeler ce que recouvrent les articles dont l'interprétation suscite une controverse nourrie.

Art 27 : 'La durée du mandat du président de la République est de cinq ans. Le mandat est renouvelable une seule fois'.

Art 104 : 'Le président de la République en fonction poursuit son mandat jusqu'à son terme. Toutes les autres dispositions de la présente Constitution lui sont applicables'.

Il faut préciser qu'en 2000, le président Wade a été élu pour sept ans. Interprétant les dispositions que voilà, les uns soutiennent que la réélection en 2007 du président, qui était en fonction depuis 2000 pour un mandat de sept ans, ne peut pas être considérée comme un renouvellement au sens de l'article 27 de la Constitution de 2001. Par contre, les autres estiment que la réélection du président Wade en 2007 tombe sous l'empire de l'article 27 de la Constitution de 2001, parce que le législateur en utilisant à l'alinéa 2 de l'article 104, le déterminant 'Toutes' qui s'adresse à une totalité, n'entendait laisser la Constitution de 2001 souffrir d'aucune exception, si ce ne fut la durée de sept ans du mandat qui était en cours. Donc tous les actes survenus ultérieurement à la promulgation de cette Constitution tombent sous son empire.

Depuis que cette controverse est née, l'on eût dit qu'un vent mu par une fureur iconoclastique souffle sur le Sénégal. Il est devenu incontestable qu'aujourd'hui, il règne dans le pays une atmosphère lourde des stimuli d'une crise aux conséquences imprévisibles. Il peut d'ores et déjà être observé que les passions s'avivent au fur et à mesure que l'année 2012 approche. Or, la passion étant le garrot de la raison, lorsqu'elle se déchaîne dans une société croire que la prison peut produire un effet inhibiteur serait une erreur, puisque même en temps normal, des études (en pénologie et en criminologie) ont conclu que la prison n'a plus l'effet intimidant qu'on lui prêtait. En tout cas, si l'on y prend garde, il est à redouter que la calamité qui s'était abattue sur la Côte d'Ivoire et ailleurs, vienne frapper notre pays. Ceci n'est pas pure affabulation, car même si l'histoire ne se répète pas constamment, il convient de rappeler que selon Aristote, 'il peut exister des proximités repérables' pouvant faire craindre une issue similaire, entre des situations ayant existé à des moments différents.

Toutefois, il est vrai que dans les pays où des drames se sont déroulés récemment, les autorités politiques avaient tardé à comprendre que le temps était passé où d'après Gordon Di Renzo, l'homme politique croyait devoir conquérir le pouvoir par n'importe quel moyen. En effet, il est fort probable que les tenants du pouvoir dans les pays concernés ne s'étaient pas rendus compte, que si dans le monde, les thèmes des critiques dans les années 60 et 70 s'adressaient à la domination coloniale et à l'exploitation des peuples ; à partir des années 80, les thèmes des critiques portent sur la justice, les droits des peuples, la morale, et ceci a fini par réveiller dans l'opinion internationale une forte répulsion pour tout ce qui s'apparente à l'oppression et à la tyrannie. Cette évolution de l'opinion internationale a permis à l'Onu et à la Cour pénale internationale de mettre en oeuvre dans certains pays et sous des formes déguisées le concept 'd'ingérence humanitaire' naguère proposé par Bernard Kouchner (Balkans, Kenya, Côte d'ivoire etc.)

Par ailleurs, l'irréparable a été commis par les autorités de ces pays, à partir du moment où elles avaient préféré la répression brutale à la concertation, alors que pour Spinoza, 'dans l'Etat, les conflits doivent être résolus, il est illusoire d'essayer de les éradiquer', d'autant plus que selon Kant 'les opinions se nourrissent de l'acharnement qu'on déploie à vouloir les combattre'. Mais, l'attitude de ces autorités pourrait s'expliquer par le fait qu'ayant toujours agi 'par droit de nature' à l'égard de leur peuple, c'est-à-dire toujours faire comme si rien n'est injuste, tout est permis, elles ne pouvaient pas s'apercevoir qu'après de longues années d'assujettissement et de servitude, leurs populations en étaient arrivées à constater qu'au lieu d'oeuvrer à leur émancipation, ces autorités s'employaient à river les chaînes qui les avaient maintenues durant des siècles en deçà de la citoyenneté.

Et, puisque ce sont ces populations qui les avaient librement élues, elles pouvaient entrer dans une résistance irréductible, surtout s'il leur venait à l'idée qu'elles avaient été abusées et, que par ruse, elles avaient été amenées à courir avec enthousiasme 'au-devant de leur fers, croyant assurer leur liberté' (Rousseau). En tout état de cause, l'actualité observée ici et là montre que ce que J.P Sartre appelle 'la conscience de soi' est devenue une réalité au niveau de toutes les populations et, que par conséquent, les autorités politiques doivent savoir qu'elles ont désormais des citoyens et non 'des personnes déterminables prêtes à obéir' au sens où l'entend Weber (les catégories de la sociologie).

A tout prendre, ce qui précède commande que nous précisions qu'il ne s'agit ni de susciter ni d'exalter l'anarchie. Après avoir établi un constat, notre démarche a consisté à montrer combien le général De Gaulle avait raison de rappeler que 'du jour où la noblesse française consacra son ardeur à défendre ses privilèges plutôt qu'à conduire l'Etat, la victoire du Tiers Etat était d'avance certaine' (le fil de l'Epée). Pour conclure cette partie de notre exposé, nous aurions pu paraphraser Rousseau et dire qu' 'un peuple libre obéit, mais ne sert pas , il obéit aux lois mais il n'obéit qu'aux lois, et c'est par la force des lois qu'il n'obéit pas aux hommes'.

Cependant, les cas qui sont exposés ci-dessus cachent une énigme que nous ne saurons éclairer avec certitude. En effet, nous ne pouvons pas affirmer que les chefs d'Etat concernés avaient délibérément fait la sourde oreille aux propos de leurs conseillers juridiques, qui auraient porté à leur 'haute attention' que si du temps de Pierre Corneille les crimes perpétrés par ou pour le Roi étaient absous, dans l'Etat moderne, pratiquer ou susciter des violences pour perpétuer un pouvoir est constitutif d'un double crime :

- Un crime politique pouvant être qualifié de 'haute trahison' parce qu'il y a viol du serment solennel fait au peuple lors de l'investiture.

- Un crime de droit commun, parce qu'en invoquant la théorie de la provocation en droit pénal, il peut être victorieusement soutenu qu'à cause de la position occupée sur l'échelle sociale, les propos et les discours ont eu un effet déterminant sur l'esprit des populations.

Dès lors, le crime de 'provocation aux violences collectives' peut être retenu. Or, une telle incrimination peut dans certains cas provoquer l'irruption de la Cour pénale internationale par le biais des articles 17 à 19 du statut de la Cpi. Mais après tout, peut-être que la libido dominendi exacerbée de ces chefs d'Etat n'a jamais été contrariée par des conseils de cette nature, tant l'expérience semble montrer que depuis la survenue des indépendances, beaucoup de chefs d'Etat refusent de se faire à l'idée qu' 'à notre époque, il n'y a pas de salut en dehors de la démocratie légitime, de la délégation du pouvoir par le peuple' (G. Ferrero).

S'agissant des tendances réactionnelles notées çà et là dans notre pays, à l'approche de l'élection présidentielle de 2012, il est rassurant de savoir que le peuple sénégalais n'est pas facilement inflammable, et qu'il ne sort pas des bornes à la moindre impulsion. Mais, il faut reconnaître que des nuages ne cessent de s'accumuler dans le ciel sénégalais, justifiant le fait qu'aujourd'hui il n'y a de certitude nulle part. Partout, 'l'attente inquiète', qui avait gagné les populations se transforme peu à peu en une peur instinctive au fur et à mesure que l'année 2012 approche. Cet état psychosocial dans lequel se trouvent les populations s'explique par la tendance effrénée à constituer des milices, à proférer des menaces, à organiser des opérations d'intimidation par des groupes appuyés par des chiens. Il y a aussi, la manifestation excessive d'un intentionnaliste malveillant se traduisant par un discours qui :

- soit avive la suspicion tant il rappelle les propos de Cicéron s'adressant au sénat pour susciter l'opposition contre Lucius Catilina : 'Il ne s'agit pas de savoir si notre vie est morale ou immorale, ni où est la grandeur de l'empire romain ! Il s'agit de savoir si tous ces biens, quelque opinion qu'on en ait, resteront à nous ou tomberont au pouvoir de nos adversaires'.

- soit par une entreprise de destruction menée avec une pugnacité et une hargne qui rappellent l'insecte perçant une poutre. Tout cela fait croire que le pays s'apprête à devenir un champ de bataille de rats, laquelle ne cesse que faute de combattants.

Il y a aussi la constitution de milices qui est loin d'être un danger moindre. Il s'agit de groupes dont l'organisation et la formation présentent le caractère du groupe de combat. Les milices privées se définissent comme des groupes fortement entraînés, pouvant se rassembler rapidement et intervenir avec force dans des manifestations ou à l'occasion de troubles politiques ou sociaux. La doctrine estime que ces groupes peuvent être le prélude de mouvements insurrectionnels, d'où leur dangerosité dans l'Etat.

Au vu de la situation ainsi décrite, il pourrait être considéré comme superflu le fait de dire qu'il y a bien lieu pour tous les Sénégalais de s'inquiéter au plus haut point. Car, nonobstant le caractère pacifique de notre peuple, il faut tenir compte des travaux du savant belge De Greeff, dont les conclusions nous apprennent qu' 'il existe chez l'homme des mécanismes aveugles, qui tendent à le diriger d'une manière réflexe sous l'influence des instincts de défense'. Dès lors, nous pouvons dire qu'en cas d'agression physique ou morale, tout être humain peut tomber sous l'influence de ces mécanismes obscurs, et faire ce qu'il répugne le plus en temps ordinaire : tuer, dévaster etc. Cette thèse a été confortée par Monseigneur Emmanuel Lafond qui a pu dire, sur les ondes de Rfi, à la suite des observations faites à Soweto où il fut évêque qu' : 'A un certain niveau, tous les êtres humains ont le même courage, la même haine, la même lâcheté'.

Au total, la situation décrite supra montre que l'intérêt supérieur de la Nation nécessite qu'un glissement vers l'irréparable soit évité. Et puisque, selon Alain, 'la capacité d'ouverture et d'action du chef de l'Etat, constitue dans la République le ferment d'une évolution positive', la nature de la tournure que prendra ladite situation dépendra essentiellement du président Wade. En tout cas, nous pensons que ceux qui ont lutté pendant de longues années aux côtés du secrétaire général du Pds souhaiteraient voir le président Wade agir à l'image du soleil de Balthazar Gracian, en se disant comme lui qu' 'il faut laisser les choses avant qu'elles ne vous laissent. Il est d'un homme sage de savoir se faire un triomphe ( de sa propre fin) à l'imitation du soleil qui, pendant qu'il est encore tout lumineux, a coutume de se retirer, pour n'être point vu baisser et, par ce moyen, laisser en doute s'il est couché ou non'. En termes clairs, laisser à l'Histoire et à la postérité le doute de savoir s'il allait sortir vainqueur ou non des élections de février 2012, s'il y avait pris part.

16.Posté par Tissaty Kamou le 21/12/2011 19:20
De quelle légitimité jouissent les sénateurs incultes choisis par Wade pour répondre aux élus d'une grande démocratie "LIBERALE" et qui sert de référence au PDS.? Où sont les experts Américains, payés à grands frais, venus valider la candidature de Wade? Ne sont ils pas mieux indiqués que ces applaudisseurs accidentels pour décliner leur science à leurs compatriotes qui ont des arguments aussi rationnels qu'eux? Je crois qu'il ne suffit plus d'avoir la kyrielle de diplômes à la Wade pour décoder le MESSAGE que les GRANDES PUISSANCES nous envoient POUR NOUS METTRE TOUS DEBOUT AFIN D'ARRETER LES DERIVES D'UN MONARQUE NONAGENAIRE. Les grandes puissances ne font que nous envoyer des signaux. Il nous appartient à NOUS de nous mettre DEBOUT pour empêcher que le rêve infernal de ce cynique vieillard ne nous mène au fond du gouffre.
Elles ont fait ce qu'elles DEVAIENT faire. A NOUS MAINTENANT DE REVENDIQUER ET D'EXERCER NOTRE
DROIT DIGNEMENT CONTRE LE VIOL DE LA CONSTITUTION. QUANT LA VERITE EST AVEC NOUS AUCUNE FORCE,AUSSI DIADOLIQUE SOIT ELLE, NE LUI EST SUPERIEURE.

15.Posté par foul le 21/12/2011 18:00
Merci @jallo , tu m'as marché sur la langue , j'ai lu toutes les interventions , mais ce qui me fait mal c'est le comportement de certains de nos amis qui participent à ces forums . Moi je pense et je le crois trés sincérement :
une personne qui se dit intellectuel avant de réagir sur un sujet quelconque doit avant tout le visualisé , le parcourir entre les lignes ...... Mais non , ils mettent leurs passions en avant au détriment de leurs raisons . Mais ici y'a ni à critiquer Maitre Wade , ni à le soutenir consernant sa position sur la lettre que des sénétateurs Américains lui ont adressé ..... Mr CYS , ne nous a pas livrés de réponse venant de Maitre Wade comme il l'avait annoncé dans le titre de cet article ...... Par là je veus inviter Mr CYS a etre plus responsable , plus respectueux , plus courtoi à l'égard de nous lecteurs en nous livrant des infos dignes , pouvant nous servir à quelque chose .... Le titre de cet article n'a rien a voir avec le contenu ............ Mes chers excusez moi ........
Un SENEGALAIS lambda Indépendantttttttttttttttttttttttttttttttttttt

14.Posté par jallo le 21/12/2011 16:55
mais vraiment Yérim tu es nul, soit plus responsable. c'est pas du tout sérieux ce que tu fais.c'est de l'hypocrisie intellectuelle. Non tu dois jouer un rôle dans l'avenir du pays mais pas de cette manière. Respecte nous et fourni nous des articles digne de nom. arrête tes soi-disant et offre nous de vrais infos.

13.Posté par mbauth le 21/12/2011 12:00
Ca me rappelle les lettres que le leader libyen envoyait au president Obama pour plaider sa cause.....on a vu comment ca s est termine.

12.Posté par ziz le 21/12/2011 11:59
A la seule différence que les sénateurs américains sont élus et ceux sénégalais sont nommés

11.Posté par malcom le 21/12/2011 10:18
li lép ndakh ngour

10.Posté par toutsaufwade-encore le 21/12/2011 09:03 (depuis mobile)
wade!continu d'écouter ces suces-sangs qui se la joue au conseillé,tu finira comme laurent..mé le sénégal c pa la c.i?

9.Posté par baol le 21/12/2011 09:00
TOUTES LES PERSONNALITES POLITIQUES RAISONNABLES AURAIENT FAIT LA MEME REQUETE !
ABLAAY WAGNIL SA GALAC GNU DIAM LA !

8.Posté par PAPA CEDRIC NDIAYE le 21/12/2011 08:52
WADE A COMME ULTIME ARGUMENT QUE SA NON CANDIDATURE VA PRIVER LA MAJORITE DES SENEGALAIS DE LEUR CANDIDAT. JE LUI RAPPELLE LES YEUX DANS LES YEUX COMME IL A AVAIT A DIT A KHADDAFI LORS DE SON CIRQUE A BENGHAZI ENCADRE PAR LES AVIONS FRANCAIS JE LUI DIT DONC AU PERE WADE QUE LES 23 ET 27 JUIN LA MAJORITE DES SENEGALAIS LUI AVAIT DIT A LUI A SON FILS SA FEMME SA FILLE SES PARENTS ET ALLIES POLITIQUES Y EN A MARRE DEGAGE WADE DONC SE RAPPELLER TOUS LES JOURS QUE LES 23 ET 27 JUIN LA MAJORITE DU PEUPLE LUI AVAIT DIT ARRETE C EST FINI DONC WADE DOIT RESPECTER CETTE MAJORITE CONSTANTE S IL SE DIT DEMOCRATE PATRIOTE ET SAIS JE ENORE EN REALITE WADE BLUFFE IL NE VA JAMAIS SE PRESENTER SI LE PEUPLE REDESCEND DANS LEA RUE LE 23 DECEMBRE COMME IL L AVAIT FAIT LES 23 ET 27 JUIN DONC TOUS ENSEMBLE LE 23 DECEMBRE AU CONGRES DU PEUPLE DES ASSISES DES VILLES ET DES CAMPAGNES POUR DIRE NON A WADE NON A LA VIOLATION DE LA CONSTITUTION EN SES ARTCILES 27 ET 104 QUI LIMITENT LE MANDAT A 2 NON A LA CORRUPTION A L EMPRISSONNEMENT DE MALICK NOEL SECK A LA DEVOLUTION MONARCHIQUE DU POUVOIR A LA MISERE

7.Posté par BK le 21/12/2011 08:46
QU'A DIT M WILANE DU PS. LA CANDIDATURE DE WADE EST RECEVABLE ... CETTE PHRASE SUFFIT A CAUTIONNER LA PARTICIPATION DE WADE AUX ELECTIONS

EN PLUS CE SONT QUI CES AMERICAINS,


N'EST-CE PAS CE OBAMA QUI AVAIT DIT QUE LA PALESTINE DEVRAIT AVOIR SON PROPRE ETAT


CE N'EST PAS LUI QUI EST REVENU POUR DIRE QU'IL ETAIT PAS ENVISAGEABLE QUE CE PAYS PUISSE ETRE INDEPENDANT.; N'HESITANT PAS A COUPER LES VIVRES A L'UNESCO PARCE QU'ELLE A COMMIS LA BETISE D'ACCEPTER CE PAYS COMME MEMBRE?

CHARITE BIEN ORDONNE COMMENCE PAR SOI MEME


QUI A REELLEMENT DESTABILISE L'IRAK


EN TANT QUE CHEF D'ETAT RESPONSABLE JE TROUVE NORMAL QUE LE CHEF DE L'ETAT REPONCE A CETTE CORRESPONDANCE QUI N'A AUCUNE PORTEE JURIDIQUE; PUISQUE CE SONT DES CITOYENS AMERICAINS QUI DONNENT LEURS POINT DE VUE SUR LA SITUATION POLITIQUE SENEGALAISE (nous les considérons en tout cas comme tel)

SUR LE SAINT CORAN JE NE SUIS PAS WADISTE. JE DEFEND MON PAYS. JE RECUSE LA COMPORTEMENT DE NOS OPPOSANT ET DE CE SUPER ETAT QUI SE PREND POUR LA GARDIENNE DU MONDE

6.Posté par Tinos le 21/12/2011 08:45
jusque là je ne crois pas que wade va se présenter

5.Posté par pa sine le 21/12/2011 08:23
SENEGALAIS POUR UN RENOUVEAU DU SENEGAL,UN RETOUR DE LA DEMOCRATION,UNE DIMINUTION DE LA PAUVRETE,POUR L'ARRET DE LA CORRUPTION ,POUR LA RELANCEDE L'ECONOMIEET LE RETOUR D'UN ENSEIGNEMENT DE QUALITE SOUTENONS TANOR DIENG,L'HOMME DU PEUPLE.

4.Posté par professeur le 21/12/2011 08:20
Les américains ont entendu wade lui même dire qu'il ne peut pas se présenter, car la constitution le lui interdit.
Aus USA le wakh waxeet n'existe pas, c'est même un crime fédéral.
Il est beaucoup plus grave de mentir que de commetre un crime, donc, wade ne peut avoir aucun argument pour convaincre les américains.
Le simple mensonge lorsqu'il est public pour quelqu'un qui a des responsabilutés est assimilé à un crime fédéral et la peine prévue est de 20ans de prison.
C'est vous dire que la meilleure defense de wade aujourd'hui dans cette affaire d'élection est: GARDER LE SILENCE.

3.Posté par pastore senegal le 21/12/2011 08:19
ABLAYE WADE SAIT AU FOND DE LUI QUE SA CANDIDATURE NE SERA ACCEPTEE PAR AUCUNE PUISSANCE ETRANGERE PARCEQU'ETANT ANTICONSTITUTINNELLE .EN PLUS DE CELA IL DOIT SAVOIR QUE LES SENEGALAIS NE VEULENT PLUS DE LUI AU POUVOIR .IL N' A FAIT QU'INSTALLE LA CORRUPTION,LA PAUVRETE.DONC POUR UNE REPRISE EN MAIN DU SENEGAL VOTEZ TANOR DIENG.

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