Cela ne débutait pas sous les meilleurs augures. Dimanche, un vol New York-Paris était parti avec six heures de retard de l’aéroport JFK, en raison notamment de la neige sur les pistes. Mais les passagers de ce vol, dont Bruno Le Maire, député de l'Eure, n’étaient pas au bout de leur surprise.
Dans la soirée, le pilote de l’A380 d’Air France s’est posé à Manchester, au Royaume-Uni. Cette escale n’était absolument pas prévue. Alors pourquoi l’homme aux commandes de l’appareil a-t-il décidé de s’arrêter en Angleterre ? Pour respecter son quota d’heures.
Incompréhension des voyageurs
Les personnes à bord de l’appareil n’ont pas été prévenues de cette escale forcée, comme l’explique Didier Bodel, un témoin. "Le pilote ayant atteint son quota d'heures a donc décidé de poser l'appareil, un A380, à Manchester, en nous disant qu'il allait y avoir la relève d'un autre pilote qui devait arriver. Nous sommes là depuis midi, nous sommes accompagnés de trois enfants, trois mineurs non-accompagnés qui sont livrés à eux-mêmes sans aucun encadrement. Ces enfants sont en pleurs, les gens sont fous-furieux".
De son côté la compagnie aérienne a affirmé que l'incident s'était produit à quelques minutes près, une explication qui laisse les passagers du vol dubitatifs. Selon Paul Thevenon-Rousseau, porte-parole Air France pour les opérations de vol, "tout s'est joué à quelques minutes près". Ainsi, "les capacités d'accélération d'un avion sur un vol transatlantique laissaient la possibilité d'arriver de façon très juste à Paris. Ça ne s'est pas produit", a-t-il regretté.
Air France a fini par affréter trois avions pour ramener les passagers en France. Certains ont toutefois dû attendre près de 12 heures à Manchester avant de décoller pour l'Hexagone.
M6
Dans la soirée, le pilote de l’A380 d’Air France s’est posé à Manchester, au Royaume-Uni. Cette escale n’était absolument pas prévue. Alors pourquoi l’homme aux commandes de l’appareil a-t-il décidé de s’arrêter en Angleterre ? Pour respecter son quota d’heures.
Incompréhension des voyageurs
Les personnes à bord de l’appareil n’ont pas été prévenues de cette escale forcée, comme l’explique Didier Bodel, un témoin. "Le pilote ayant atteint son quota d'heures a donc décidé de poser l'appareil, un A380, à Manchester, en nous disant qu'il allait y avoir la relève d'un autre pilote qui devait arriver. Nous sommes là depuis midi, nous sommes accompagnés de trois enfants, trois mineurs non-accompagnés qui sont livrés à eux-mêmes sans aucun encadrement. Ces enfants sont en pleurs, les gens sont fous-furieux".
De son côté la compagnie aérienne a affirmé que l'incident s'était produit à quelques minutes près, une explication qui laisse les passagers du vol dubitatifs. Selon Paul Thevenon-Rousseau, porte-parole Air France pour les opérations de vol, "tout s'est joué à quelques minutes près". Ainsi, "les capacités d'accélération d'un avion sur un vol transatlantique laissaient la possibilité d'arriver de façon très juste à Paris. Ça ne s'est pas produit", a-t-il regretté.
Air France a fini par affréter trois avions pour ramener les passagers en France. Certains ont toutefois dû attendre près de 12 heures à Manchester avant de décoller pour l'Hexagone.
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