Les trois personnes qui avaient été arrêtées dans l'affaire d'émigration clandestine vers les Etats Unis, à bord d'appareils de la South Africa Airlines (SAA), ont été libérées. Le superviseur de la compagnie sud-africaine et les deux agents de Sénégal Handling Service (SHS) ont bénéficié de la grâce présidentielle, à l'occasion de la célébration de la fête de l'indépendance, le 4 avril dernier. C'est passé presque inaperçu, mais il faut dire, selon « Enquête », que les Américains n'étaient pas très contents du fait que l'enquête n'ait abouti jusque-là qu'à l'arrestation de seconds couteaux, alors que les principaux responsables de ce trafic couraient toujours.
Aujourd'hui, que ces trois personnes hument l'air de la liberté, le journal assure que l'enquête suivait toujours son cours et qu'aux dernières nouvelles, le cerveau présumé de ce trafic a lui aussi été épinglé à Londres. En effet tout a commencé à Washington, où deux passagers à bord d’un vol de SAA, en provenance de Dakar, débarquent dans la capitale fédérale américaine. Les préposés américains à la sécurité vont tiquer face à ces voyageurs d'un genre nouveau, puisque ne disposant d’aucun document de voyage. Interrogés, ils arguent être des demandeurs d’asile.
Automatiquement et parallèlement au placement en garde-à-vue des deux passagers, les autorités américaines interpellent South Africa Airlines qui, à son tour, saisit le Commissariat de l’aéroport de Dakar. Et, grâce à un travail de minutieux, les limiers de l’aéroport vont vite démanteler le réseau qui a été à la base de l’affaire des deux passagers coincés à Washington, ce qui aboutira à l'arrestation de ces trois personnes récemment graciées par le chef de l'Etat.
Aujourd'hui, que ces trois personnes hument l'air de la liberté, le journal assure que l'enquête suivait toujours son cours et qu'aux dernières nouvelles, le cerveau présumé de ce trafic a lui aussi été épinglé à Londres. En effet tout a commencé à Washington, où deux passagers à bord d’un vol de SAA, en provenance de Dakar, débarquent dans la capitale fédérale américaine. Les préposés américains à la sécurité vont tiquer face à ces voyageurs d'un genre nouveau, puisque ne disposant d’aucun document de voyage. Interrogés, ils arguent être des demandeurs d’asile.
Automatiquement et parallèlement au placement en garde-à-vue des deux passagers, les autorités américaines interpellent South Africa Airlines qui, à son tour, saisit le Commissariat de l’aéroport de Dakar. Et, grâce à un travail de minutieux, les limiers de l’aéroport vont vite démanteler le réseau qui a été à la base de l’affaire des deux passagers coincés à Washington, ce qui aboutira à l'arrestation de ces trois personnes récemment graciées par le chef de l'Etat.
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