DAKARACTU.COM Dans sa livraison du jour, le journal le Quotidien revient sur la non-candidature de Malick Gackou sur les locales du 29 Juin dernier. Selon nos confrères, le numéro 2 de l’Alliance des forces de progrès (Afp), Malick Gackou, lève le voile sur sa non-candidature à Guédiawaye. Emmuré dans un mutisme total, le responsable progressiste de la banlieue rompt enfin son silence assourdissant.
Invité de l’émission Sen Jotay de la Sen Tv ce dimanche 20 juin, l’ancien ministre du Commerce de la deuxième alternance invoque l’élégance politique pour justifier sa non-candidature aux dernières élections locales qui avait surpris plus d’un : «En 2009, quand on a gagné les élections locales avec Benno Siggil Sénégal (Bss), j’avais décidé de laisser la mairie de ville à mon grand frère Chérif Macky Sall - que Dieu l’accueille à son Paradis - pour aller diriger le Conseil régional de Dakar. Mon combat, c’était pour que la banlieue ait une identité dans la région de Dakar». Avant d'ajouter : «Quand il s’est agi de choisir un autre maire, suite au décès de Chérif Macky Sall, j’ai dirigé la réunion de la coalition et on a choisi Cheikh Sarr, qui a finalement gagné malgré les difficultés. Quand il a voulu défendre son bilan, lui et son équipe sont venus me voir et je me suis engagé à leur donner mon soutien. J’avais déjà donné ma parole à Cheikh Sarr et son équipe.»
S’agissant par contre de son éventuel retour dans le gouvernement, Gackou souligne qu’il «n’a jamais été reçu par le chef de l’Etat et n’a jamais demandé une audience avec le chef de l’Etat». Mieux, il n’envisage pas de «retourner dans le gouvernement», après avoir décidé de son propre chef de rendre le tablier au moment où rien ne l’y obligeait. «Il n’est pas dit qu’il faut nécessairement être dans le gouvernement pour participer au développement du pays», argue-t-il. Il souhaite cependant bon vent au nouveau Premier ministre Mahammed Dionne et à son équipe à qui il témoigne tout son soutien.
Interpellé sur la razzia de Khalifa Sall à Dakar, El hadj Malick Gackou s’incline devant le bilan «élogieux» du maire sortant de Dakar et prévient toute personne qui serait tentée de lui mettre des bâtons dans les roues, tel que s’y emploient certains Apéristes qui menacent de le contrecarrer : «Combattre Khalifa Sall, c’est combattre Dakar.»
Invité de l’émission Sen Jotay de la Sen Tv ce dimanche 20 juin, l’ancien ministre du Commerce de la deuxième alternance invoque l’élégance politique pour justifier sa non-candidature aux dernières élections locales qui avait surpris plus d’un : «En 2009, quand on a gagné les élections locales avec Benno Siggil Sénégal (Bss), j’avais décidé de laisser la mairie de ville à mon grand frère Chérif Macky Sall - que Dieu l’accueille à son Paradis - pour aller diriger le Conseil régional de Dakar. Mon combat, c’était pour que la banlieue ait une identité dans la région de Dakar». Avant d'ajouter : «Quand il s’est agi de choisir un autre maire, suite au décès de Chérif Macky Sall, j’ai dirigé la réunion de la coalition et on a choisi Cheikh Sarr, qui a finalement gagné malgré les difficultés. Quand il a voulu défendre son bilan, lui et son équipe sont venus me voir et je me suis engagé à leur donner mon soutien. J’avais déjà donné ma parole à Cheikh Sarr et son équipe.»
S’agissant par contre de son éventuel retour dans le gouvernement, Gackou souligne qu’il «n’a jamais été reçu par le chef de l’Etat et n’a jamais demandé une audience avec le chef de l’Etat». Mieux, il n’envisage pas de «retourner dans le gouvernement», après avoir décidé de son propre chef de rendre le tablier au moment où rien ne l’y obligeait. «Il n’est pas dit qu’il faut nécessairement être dans le gouvernement pour participer au développement du pays», argue-t-il. Il souhaite cependant bon vent au nouveau Premier ministre Mahammed Dionne et à son équipe à qui il témoigne tout son soutien.
Interpellé sur la razzia de Khalifa Sall à Dakar, El hadj Malick Gackou s’incline devant le bilan «élogieux» du maire sortant de Dakar et prévient toute personne qui serait tentée de lui mettre des bâtons dans les roues, tel que s’y emploient certains Apéristes qui menacent de le contrecarrer : «Combattre Khalifa Sall, c’est combattre Dakar.»
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