6 mois de prison ferme, telle est la peine infligée à Mor Sylla. Ce qui est loin d’être étonnant car les malfaiteurs finissent toujours par payer. Ce dernier orchestre en effet des scènes à des fins frauduleuses. Dans ce cas d’espèce, le prévenu des chefs d’inculpations d’escroquerie et d’abus de confiance a été appréhendé par la police suite à une plainte de Mathieu Mbengue.
Selon le déroulement des faits, le plaignant lui avait prêté la somme de deux millions FCfa. Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et Mor Sylla n’a fait aucun effort pour payer sa dette.
Devant la barre du tribunal des flagrants délits où il a comparu, hier, il a au moins reconnu les faits, même s’il a essayé de se justifier.
Ainsi explique-t-il : «En effet, j’ai pris son argent mais je comptais le lui restituer dès que possible. J’avais un projet avec un blanc qui devait m’envoyer des conteneurs. Malheureusement, après réception, j’ai trouvé les bagages en mauvais état. Ceci a fait que je n’ai pas pu vendre la marchandise pour enfin payer à Mathieu Mbengue son argent. Mais il n’a jamais été question de refus de paiement.»
Au cours des débats d’audience, la situation du sieur Sylla s’aggrave avec les révélations d’un autre forfait faisant encore objet de son arrestation. Il s’agit d’un terrain qu’il avait vendu au sieur Mbengue contre un million de FCFA. Seulement, M. Mbengue déclare qu’il ne lui a toujours pas remis les papiers. L’inculpé a encore reconnu les faits.
«Je possédais un terrain que j’avais acheté depuis longtemps. Je le lui ai finalement vendu. Mais à cause des élections passées, je n’ai pas eu le temps de le muter en son nom», a-t-il rétorqué.
Aux yeux de la partie civile, les faits sont incontestables. Selon l’avocat, «le prévenu est un coutumier des faits vu sa tactique de convaincre les gens».
Par conséquent, il a demandé la somme de 3 500 000 FCfa à titre de dommages et intérêts. Le ministère public, quant à lui, s’est contenté de solliciter une application de la loi pénale. Et pour ce qui est de la défense, elle a plaidé pour une application bienveillante de la loi. En fin de compte, le tribunal a déclaré le prévenu coupable et l’a condamné à 6 mois d’emprisonnement ferme.
Selon le déroulement des faits, le plaignant lui avait prêté la somme de deux millions FCfa. Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et Mor Sylla n’a fait aucun effort pour payer sa dette.
Devant la barre du tribunal des flagrants délits où il a comparu, hier, il a au moins reconnu les faits, même s’il a essayé de se justifier.
Ainsi explique-t-il : «En effet, j’ai pris son argent mais je comptais le lui restituer dès que possible. J’avais un projet avec un blanc qui devait m’envoyer des conteneurs. Malheureusement, après réception, j’ai trouvé les bagages en mauvais état. Ceci a fait que je n’ai pas pu vendre la marchandise pour enfin payer à Mathieu Mbengue son argent. Mais il n’a jamais été question de refus de paiement.»
Au cours des débats d’audience, la situation du sieur Sylla s’aggrave avec les révélations d’un autre forfait faisant encore objet de son arrestation. Il s’agit d’un terrain qu’il avait vendu au sieur Mbengue contre un million de FCFA. Seulement, M. Mbengue déclare qu’il ne lui a toujours pas remis les papiers. L’inculpé a encore reconnu les faits.
«Je possédais un terrain que j’avais acheté depuis longtemps. Je le lui ai finalement vendu. Mais à cause des élections passées, je n’ai pas eu le temps de le muter en son nom», a-t-il rétorqué.
Aux yeux de la partie civile, les faits sont incontestables. Selon l’avocat, «le prévenu est un coutumier des faits vu sa tactique de convaincre les gens».
Par conséquent, il a demandé la somme de 3 500 000 FCfa à titre de dommages et intérêts. Le ministère public, quant à lui, s’est contenté de solliciter une application de la loi pénale. Et pour ce qui est de la défense, elle a plaidé pour une application bienveillante de la loi. En fin de compte, le tribunal a déclaré le prévenu coupable et l’a condamné à 6 mois d’emprisonnement ferme.
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