Dakaractu : Eumeu, aujourd’hui, vous êtes très loin de votre base. Vous êtes à Orkadiéré. Pourquoi ?
Eumeu Sène : Oui, j’ai aussi des amis. C’est vrai que je prépare le combat, très activement, comme je le fais d’habitude. Je reste concentré. Aujourd’hui, je suis venu accompagner Abdou Karim Sall dans sa ville natale. C’est un homme humble, courtois en qui j’ai confiance. Je n’ai pas regretté de répondre à son invitation. J’ai vu qu’il est aimé de ses parents et je me réjouis de l’avoir comme ami.
Vous faites de la politique ?
Non, loin de moi l’idée de faire de la politique. Je ne fais pas de la politique, du tout. Je n’ai pas été à l’école. Je n’ai pas fait des études qui pourraient me permettre cela. C’est comme j’ai dit. C’est un ami et j’ai confiance en lui. Ce voyage m’a permis de découvrir une localité très belle, très joviale. Il m’a aussi permis de me rendre compte que je suis aimé même là où je ne suis jamais allé. Je suis heureux d’être venu ici.
Et certainement, vous en avez profité pour vous refaire une santé mystique ?
(Rires)- Bon, disons que j’ai profité de l’occasion pour, effectivement, aller solliciter des prières. Les gens ont beaucoup prié pour moi. Je suis entré dans les bonnes maisons, des « kilifas » ont formulé des prières pour moi et je suis tranquille pour mon combat.
Les entrainements… ?
Je leur accorde une importance capitale. Je fais de la musculation, des corps à corps. J’insiste sur le physique. Nous travaillons inlassablement. Il faudra être en forme le jour-J et avoir un bon état de forme de physique.
Prêt pour être roi des arènes ?
Je le crois profondément. C’est bien possible que je devienne roi des arènes. Je travaille pour, en tout cas.
Avez-vous peur de Bombardier ?
Non!!! Le moins du monde. Je n’ai rien à craindre de lui.
Vous avez des relations extra-sportives avec Bombardier ?
Non pas spécialement. Je n’ai pas des relations particulières avec lui. Je ne le vois que très rarement. Toutefois, lui comme moi sommes des gentlemen. Nous sommes liés par un combat. Chacun devra donner le meilleur de lui-même. Que le meilleur batte l’autre et puis on passe à autre chose.
Qu’est-ce qu’il y a à regretter dans le monde de la lutte ?
La violence ! C’est la chose qu’il faut bannir dans l’arène. Et on se rend compte de l’erreur qu’on commet à semer la violence lorsque survient un évènement familial. Vous rencontrez des personnes que vous considériez comme des ennemis, alors qu’ils sont des parents. Il faut dire aussi que la violence n’est guère le propre de la lutte. Récemment, on a vu, au terme d’un match de football, des personnes se jeter des chaises. C’est le sport, en général qui n’a pas besoin de la violence. Moi personnellement, je ne verse jamais dans ces travers. La victoire restera celle de la lutte et des Sénégalais au terme de ce combat. Nous ne sommes pas des ennemis mais des adversaires d’un après-midi.
Pour Eumeu Sène, vêtu d’un près du corps laissant apparaître son état de forme, il n’est pas question que son adversaire voie comment il se porte physiquement. Ce serait un avantage sur lui. Par conséquent, pas de photo dans cette tenue. Sur cette image, il prend part à la cérémonie officielle des 72 heures d’Orkadiéré pour lesquelles Abdou Karim Sall a été choisi parrain.
Eumeu Sène : Oui, j’ai aussi des amis. C’est vrai que je prépare le combat, très activement, comme je le fais d’habitude. Je reste concentré. Aujourd’hui, je suis venu accompagner Abdou Karim Sall dans sa ville natale. C’est un homme humble, courtois en qui j’ai confiance. Je n’ai pas regretté de répondre à son invitation. J’ai vu qu’il est aimé de ses parents et je me réjouis de l’avoir comme ami.
Vous faites de la politique ?
Non, loin de moi l’idée de faire de la politique. Je ne fais pas de la politique, du tout. Je n’ai pas été à l’école. Je n’ai pas fait des études qui pourraient me permettre cela. C’est comme j’ai dit. C’est un ami et j’ai confiance en lui. Ce voyage m’a permis de découvrir une localité très belle, très joviale. Il m’a aussi permis de me rendre compte que je suis aimé même là où je ne suis jamais allé. Je suis heureux d’être venu ici.
Et certainement, vous en avez profité pour vous refaire une santé mystique ?
(Rires)- Bon, disons que j’ai profité de l’occasion pour, effectivement, aller solliciter des prières. Les gens ont beaucoup prié pour moi. Je suis entré dans les bonnes maisons, des « kilifas » ont formulé des prières pour moi et je suis tranquille pour mon combat.
Les entrainements… ?
Je leur accorde une importance capitale. Je fais de la musculation, des corps à corps. J’insiste sur le physique. Nous travaillons inlassablement. Il faudra être en forme le jour-J et avoir un bon état de forme de physique.
Prêt pour être roi des arènes ?
Je le crois profondément. C’est bien possible que je devienne roi des arènes. Je travaille pour, en tout cas.
Avez-vous peur de Bombardier ?
Non!!! Le moins du monde. Je n’ai rien à craindre de lui.
Vous avez des relations extra-sportives avec Bombardier ?
Non pas spécialement. Je n’ai pas des relations particulières avec lui. Je ne le vois que très rarement. Toutefois, lui comme moi sommes des gentlemen. Nous sommes liés par un combat. Chacun devra donner le meilleur de lui-même. Que le meilleur batte l’autre et puis on passe à autre chose.
Qu’est-ce qu’il y a à regretter dans le monde de la lutte ?
La violence ! C’est la chose qu’il faut bannir dans l’arène. Et on se rend compte de l’erreur qu’on commet à semer la violence lorsque survient un évènement familial. Vous rencontrez des personnes que vous considériez comme des ennemis, alors qu’ils sont des parents. Il faut dire aussi que la violence n’est guère le propre de la lutte. Récemment, on a vu, au terme d’un match de football, des personnes se jeter des chaises. C’est le sport, en général qui n’a pas besoin de la violence. Moi personnellement, je ne verse jamais dans ces travers. La victoire restera celle de la lutte et des Sénégalais au terme de ce combat. Nous ne sommes pas des ennemis mais des adversaires d’un après-midi.
Pour Eumeu Sène, vêtu d’un près du corps laissant apparaître son état de forme, il n’est pas question que son adversaire voie comment il se porte physiquement. Ce serait un avantage sur lui. Par conséquent, pas de photo dans cette tenue. Sur cette image, il prend part à la cérémonie officielle des 72 heures d’Orkadiéré pour lesquelles Abdou Karim Sall a été choisi parrain.
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