DAKARACTU.COM La police française utilise certains pouvoirs trop étendus dont elle est investie pour procéder à des contrôles d’identité abusifs et non justifiés visant des garçons et de jeunes hommes noirs et arabes, avait déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié en janvier 2012. Suite aux très décevantes décisions de justice rendues hier dans les treize dossiers de plainte pour contrôle au faciès, voici les premières réactions de Human Rights Watch attribuables à Mme Judith Sunderland, directrice adjointe pour l’Europe. Selon nos confrères, de l'Organisation de la presse africaine, (OPA) cette dernière a déclaré que « C’est de la justice « copier-coller ». La Cour a statué exactement selon les mêmes termes dans treize cas distincts pourtant fondés sur trois formes différentes de contrôles d’identité. Un seul message : l’Etat a toujours raison, et la police a le feu vert pour discriminer ».
Elle a ajouté aussi selon toujours OPA que « La cour a de facto affirmé que la France peut ignorer les normes de l’Union européenne et internationales. La France ne peut pas être une exception dans ce domaine. Sinon, les personnes noires et arabes seront encore plus convaincues que l’Etat ne s’intéresse pas à la protection de leurs droits ».
Elle a ajouté aussi selon toujours OPA que « La cour a de facto affirmé que la France peut ignorer les normes de l’Union européenne et internationales. La France ne peut pas être une exception dans ce domaine. Sinon, les personnes noires et arabes seront encore plus convaincues que l’Etat ne s’intéresse pas à la protection de leurs droits ».
Autres articles
-
Thiès- opération de sécurisation Police- Gendarmerie: 70 individus interpellés, 42 voitures et 50 motos immobilisées
-
Violences sur les campus: L’URV condamne et rejette toute proposition visant à supprimer les bourses universitaires...
-
Abdou Karim Sall alerte sur l’urgence sanitaire à Mbao et dans la zone d’Orkadiéré
-
Dette publique : Le Sénégal s'achemine vers une restructuration
-
Crise universitaire : l’APR dénonce une « répression », exige le paiement des bourses et exprime son soutien aux Étudiants,



