Abdoulaye Mbodj, directeur de l’Aibd est formel : il lui impossible de dire aux Sénégalais quand est-ce que l’aéroport Blaise Diagne sera achevé par la société Saudi Ben Laden qui réclame, entre autres avenants, la somme de 63 milliards. « Nous ne pouvons pas nous prononcer sur notre date de fin » a-t-il martelé avant de confier que les réclamations financières « ne sont pas justifiables » et par conséquent «rejetables».
La voix teintée de déception, l’invité de Grand Jury d’inviter la société Saoudienne à la raison. « Elle gagnerait à finir ce travail dans les meilleurs délais ». Tout de même, le directeur signifie que le taux d’achèvement de l’édifice est à 85%. Espérant que les négociations aboutiront, Abdoulaye Mbodj estime que le Sénégal s’est suffisamment préparé à toutes les éventualités, notamment à celle de la rupture des contrats. « Si l’arbitrage n’aboutit pas, ils peuvent aller en justice. Nous sommes prêts à aller à la résiliation des contrats ». Le cas échéant, le directeur trouve que les entreprises Sénégalaises sont assez outillées pour achever le travail. « Les entreprises Sénégalaises sont en mesure de continuer. Saudi Ben Laden utilise beaucoup de sous-traitants Sénégalais. Beaucoup d’entreprises Sénégalaises sont donc outillées pour cela » confie-t-il.
A terme l’ouvrage engloutira la rondelette somme de 407 milliards, compte non tenu des sommes additionnelles qui pourraient intervenir in extenso. A ses débuts, le marché ne faisait que 229 milliards. Il y a eu ensuite les avenants de 74 milliards qui l’ont porté à 303 milliards avant que le coût final ne soit de 407 milliards. Afin d’éviter que cette somme soit revue à la hausse, Abdoulaye Mbodj préconise la résistance. « Il faut se bagarrer pour ne pas payer les avenants réclamés » se résoudra-t-il à dire non sans préciser que «depuis que le régime de Macky Sall est en place, aucun franc supplémentaire n’a été payé.»
Pour ce qui concerne le niveau d’intervention du secteur privé Sénégalais dans la construction de l’aéroport, Abdoulaye Mbodj déclare déjà qu’ « au niveau sous-traitance, il y a beaucoup d’entreprises qui vont intervenir dans ce projet. Il y a également que dans la gestion future, il était que les privés nationaux allaient participer ». Il précise en passant, que « l’exploitation était confiée aux entreprises étrangères » par les conclusions de 2006 et que c’est le Président Macky Sall qui a requis une renégociation. Celle-ci a abouti à octroyer au Sénégal 49% des parts pour un capital de 19 milliards de francs.
La voix teintée de déception, l’invité de Grand Jury d’inviter la société Saoudienne à la raison. « Elle gagnerait à finir ce travail dans les meilleurs délais ». Tout de même, le directeur signifie que le taux d’achèvement de l’édifice est à 85%. Espérant que les négociations aboutiront, Abdoulaye Mbodj estime que le Sénégal s’est suffisamment préparé à toutes les éventualités, notamment à celle de la rupture des contrats. « Si l’arbitrage n’aboutit pas, ils peuvent aller en justice. Nous sommes prêts à aller à la résiliation des contrats ». Le cas échéant, le directeur trouve que les entreprises Sénégalaises sont assez outillées pour achever le travail. « Les entreprises Sénégalaises sont en mesure de continuer. Saudi Ben Laden utilise beaucoup de sous-traitants Sénégalais. Beaucoup d’entreprises Sénégalaises sont donc outillées pour cela » confie-t-il.
A terme l’ouvrage engloutira la rondelette somme de 407 milliards, compte non tenu des sommes additionnelles qui pourraient intervenir in extenso. A ses débuts, le marché ne faisait que 229 milliards. Il y a eu ensuite les avenants de 74 milliards qui l’ont porté à 303 milliards avant que le coût final ne soit de 407 milliards. Afin d’éviter que cette somme soit revue à la hausse, Abdoulaye Mbodj préconise la résistance. « Il faut se bagarrer pour ne pas payer les avenants réclamés » se résoudra-t-il à dire non sans préciser que «depuis que le régime de Macky Sall est en place, aucun franc supplémentaire n’a été payé.»
Pour ce qui concerne le niveau d’intervention du secteur privé Sénégalais dans la construction de l’aéroport, Abdoulaye Mbodj déclare déjà qu’ « au niveau sous-traitance, il y a beaucoup d’entreprises qui vont intervenir dans ce projet. Il y a également que dans la gestion future, il était que les privés nationaux allaient participer ». Il précise en passant, que « l’exploitation était confiée aux entreprises étrangères » par les conclusions de 2006 et que c’est le Président Macky Sall qui a requis une renégociation. Celle-ci a abouti à octroyer au Sénégal 49% des parts pour un capital de 19 milliards de francs.
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