Suite et pas fin du différend opposant Me Abdoulaye Wade à Cheikh Amar. L’affaire a été évoquée ce mercredi devant la première chambre du Tribunal de commerce. Dans son délibéré, le juge a donné acte à l’ancien président de la République de son désistement d'instance.
Delà, Me Wade se réserve le droit d’élaborer avec Cheikh Amar un compromis pour un règlement à l’amiable. Cela ne l’empêche pas de réintroduire ultérieurement une autre instance, si les deux parties ne trouvent pas un accord. Il n’a pas voulu renoncer à son action, pour le paiement d’une dette de 5 milliards de Fcfa.
Face à la demande de Cheikh Amar, qui voulait que le droit d'agir s'éteigne par un désistement d'action, c’est-à-dire une renonciation définitive aux demandes, l’ex-chef d’État a dit niet.
Par ailleurs, le juge de la première chambre du Tribunal du commerce a débouté le patron de Tse de sa demande reconventionnelle. En effet, devant le juge, l’avocat de Cheikh Amar avait produit, pour démontrer le grief relatif à l’intention de l’ancien président de la République de porter atteinte à l’honneur et à la considération du célèbre homme d'affaires, des pièces justificatives.
La teneur de sa requête était rapportée dans un PV. Le patron de Tse avait sollicité, reconventionnellement, la réparation d’un préjudice pour action abusive, en réclamant des dommages et intérêts. Mais, le juge a retenu qu’une demande de paiement d’une dette ne constitue pas une atteinte à l’honneur et à la dignité de la personne de Cheikh Amar.
Pour rappel, Me Abdoulaye Wade avait initié une procédure judiciaire contre Cheikh Amar, à qui il réclame le paiement d'une dette de cinq (5) milliards de Fcfa. Mieux, l’ex-chef d’État avait saisi le juge civil pour demander une hypothèque sur la Cité Tre du patron de Tse. Une requête devant le Tribunal du Commerce, en référé, que Cheikh Amar conteste.
Delà, Me Wade se réserve le droit d’élaborer avec Cheikh Amar un compromis pour un règlement à l’amiable. Cela ne l’empêche pas de réintroduire ultérieurement une autre instance, si les deux parties ne trouvent pas un accord. Il n’a pas voulu renoncer à son action, pour le paiement d’une dette de 5 milliards de Fcfa.
Face à la demande de Cheikh Amar, qui voulait que le droit d'agir s'éteigne par un désistement d'action, c’est-à-dire une renonciation définitive aux demandes, l’ex-chef d’État a dit niet.
Par ailleurs, le juge de la première chambre du Tribunal du commerce a débouté le patron de Tse de sa demande reconventionnelle. En effet, devant le juge, l’avocat de Cheikh Amar avait produit, pour démontrer le grief relatif à l’intention de l’ancien président de la République de porter atteinte à l’honneur et à la considération du célèbre homme d'affaires, des pièces justificatives.
La teneur de sa requête était rapportée dans un PV. Le patron de Tse avait sollicité, reconventionnellement, la réparation d’un préjudice pour action abusive, en réclamant des dommages et intérêts. Mais, le juge a retenu qu’une demande de paiement d’une dette ne constitue pas une atteinte à l’honneur et à la dignité de la personne de Cheikh Amar.
Pour rappel, Me Abdoulaye Wade avait initié une procédure judiciaire contre Cheikh Amar, à qui il réclame le paiement d'une dette de cinq (5) milliards de Fcfa. Mieux, l’ex-chef d’État avait saisi le juge civil pour demander une hypothèque sur la Cité Tre du patron de Tse. Une requête devant le Tribunal du Commerce, en référé, que Cheikh Amar conteste.
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