DECLARATION DE PRESSE DE L’UCS
Suite à l’interdiction illégale de sortie du territoire du Député Maire de Ziguinchor Abdoulaye BALDE, par ailleurs Président de l’Association des Maires du Sénégal et Président de l’Union Centriste du Sénégal (UCS), les adhérents et sympathisants de cette formation Centriste condamnent fermement les violations répétées des droits de l’homme par le pouvoir en place. Ce régime nage à contre courant de la démocratie et vient encore de perpétrer un coup contre la liberté de circuler.
Nous rappelons que le Président BALDE est interdit de façon arbitraire, et ce depuis bientôt un an de se rendre dans la ville ou il est Maire par la voie terrestre car interdit de passer par le territoire étranger de la Gambie. Ce qui constitue une entrave grave à l’exercice de son mandat de Maire.
En utilisant son bras armé que constitue le procureur « très spécial » de la CREI, le régime a encore interdit illégalement en violation de la constitution des lois et règlements de notre pays, des engagements internationaux du Sénégal, Abdoulaye Baldé, Président de l’Association des Maires du Sénégal, de sortir du territoire pour représenter notre Nation à la rencontre des maires du monde qui se tient à Bogota en Colombie, en violation de la décision de la Cour de Justice de la CEDEAO que le pouvoir en place refuse obstinément d’appliquer.
Face à ces dérives, l’UCS interpelle l’opinion nationale et internationale. Nous rappelons que M. Abdoulaye Baldé ne fait l’objet d’aucune inculpation ni de condamnation de quelque juridiction que ce soit. Dès lors, cet acharnement se justifie que par la peur d’un adversaire politique dont le parti, se massifie et se développe au point de constituer une menace pour la coalition présidentielle rattrapée par des promesses non tenues faites au peuple sénégalais.
Nous constatons que de tels actes de restriction peuvent entraver à la bonne marche de l’AMS qui demeure pourtant une des institutions phares de la décentralisation dans notre pays.
Les jeunes de l’UCS saluent le courage et la discipline du Président Abdoulaye BALDE qui ne cesse de prouver à la face du monde sa grandeur républicaine.
Pour sa part, l’UCS ne se laissera pas divertir et refusera la servilité, l’avilissement et la soumission et sera debout comme un seul homme pour faire face à de tels actes indignes d’une république. Il n’est plus question de laisser qui que ce soit fouler aux pieds les droits et les libertés individuelles garanties par notre loi fondamentale.
Face aux violations répétitives, l’UCS interpelle les organismes de défense des Droits et libertés, la classe politique sénégalaise, les syndicats ainsi que la société civile et les citoyennes et citoyens épris de Paix et de démocratie à faire face à de telles décisions d’intimidation ou d’acharnement contre des adversaires politiques.
Nous demandons au gouvernement de s’occuper de nos compatriotes qui sont actuellement confrontés au douloureux phénomène des inondations, à s’atteler au respect des promesses mirobolantes et mensongères contenues dans le fameux programme « Yonnu Yokuté » d’emploi de 750 000 jeunes, à résoudre la question de l’énergie et de l’éducation, ainsi que les nombreux problèmes auxquels sont confrontés nos Universités, le monde rural et exhorte le gouvernement à développer une véritable politique industrielle .
Pour que vive le Sénégal
FAIT A DAKAR LE 12 SEPTEMBRE 2013
Suite à l’interdiction illégale de sortie du territoire du Député Maire de Ziguinchor Abdoulaye BALDE, par ailleurs Président de l’Association des Maires du Sénégal et Président de l’Union Centriste du Sénégal (UCS), les adhérents et sympathisants de cette formation Centriste condamnent fermement les violations répétées des droits de l’homme par le pouvoir en place. Ce régime nage à contre courant de la démocratie et vient encore de perpétrer un coup contre la liberté de circuler.
Nous rappelons que le Président BALDE est interdit de façon arbitraire, et ce depuis bientôt un an de se rendre dans la ville ou il est Maire par la voie terrestre car interdit de passer par le territoire étranger de la Gambie. Ce qui constitue une entrave grave à l’exercice de son mandat de Maire.
En utilisant son bras armé que constitue le procureur « très spécial » de la CREI, le régime a encore interdit illégalement en violation de la constitution des lois et règlements de notre pays, des engagements internationaux du Sénégal, Abdoulaye Baldé, Président de l’Association des Maires du Sénégal, de sortir du territoire pour représenter notre Nation à la rencontre des maires du monde qui se tient à Bogota en Colombie, en violation de la décision de la Cour de Justice de la CEDEAO que le pouvoir en place refuse obstinément d’appliquer.
Face à ces dérives, l’UCS interpelle l’opinion nationale et internationale. Nous rappelons que M. Abdoulaye Baldé ne fait l’objet d’aucune inculpation ni de condamnation de quelque juridiction que ce soit. Dès lors, cet acharnement se justifie que par la peur d’un adversaire politique dont le parti, se massifie et se développe au point de constituer une menace pour la coalition présidentielle rattrapée par des promesses non tenues faites au peuple sénégalais.
Nous constatons que de tels actes de restriction peuvent entraver à la bonne marche de l’AMS qui demeure pourtant une des institutions phares de la décentralisation dans notre pays.
Les jeunes de l’UCS saluent le courage et la discipline du Président Abdoulaye BALDE qui ne cesse de prouver à la face du monde sa grandeur républicaine.
Pour sa part, l’UCS ne se laissera pas divertir et refusera la servilité, l’avilissement et la soumission et sera debout comme un seul homme pour faire face à de tels actes indignes d’une république. Il n’est plus question de laisser qui que ce soit fouler aux pieds les droits et les libertés individuelles garanties par notre loi fondamentale.
Face aux violations répétitives, l’UCS interpelle les organismes de défense des Droits et libertés, la classe politique sénégalaise, les syndicats ainsi que la société civile et les citoyennes et citoyens épris de Paix et de démocratie à faire face à de telles décisions d’intimidation ou d’acharnement contre des adversaires politiques.
Nous demandons au gouvernement de s’occuper de nos compatriotes qui sont actuellement confrontés au douloureux phénomène des inondations, à s’atteler au respect des promesses mirobolantes et mensongères contenues dans le fameux programme « Yonnu Yokuté » d’emploi de 750 000 jeunes, à résoudre la question de l’énergie et de l’éducation, ainsi que les nombreux problèmes auxquels sont confrontés nos Universités, le monde rural et exhorte le gouvernement à développer une véritable politique industrielle .
Pour que vive le Sénégal
FAIT A DAKAR LE 12 SEPTEMBRE 2013
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