La patronne du FMI face aux députés en séance plénière cet après midi, indique que notre pays devrait s’appuyer sur la valeur de l’apprentissage entre pairs pour être un pays à revenu intermédiaire. « Pour devenir un pays à revenu intermédiaire comme il y aspire, le Sénégal devra s’employer à dynamiser son économie, à offrir plus d’opportunités aux petites et moyennes entreprises et à attirer l’investissement étranger. Cet objectif demandera plus d’efforts dans un environnement mondial incertain », dira Mme Lagarde.
Le moment est venu pour le Sénégal d’accélérer sa croissance — d’atteindre les 7 ou 8 % envisagés dans le Plan Sénégal Émergent et enregistrés par les tigres asiatiques et les pays africains à croissance rapide, révélera-t-elle.
Selon Mme Lagarde, le programme de développement annoncé par le gouvernement inclut bien tous les éléments majeurs qui ont permis aux autres pays de réussir. « Aujourd’hui, le Sénégal peut tirer les enseignements de l’expérience d’autres pays qui ont traduit leurs intentions en actions concrètes avec succès ».
Pour ce faire trois enseignements essentiels devront être pris en considération selon elle, et le premier est de mettre l’accent sur une gestion budgétaire prudente et la stabilité macroéconomique. Deuxièmement, accroître les exportations en s’ouvrant à l’investissement direct étranger. Et troisièmement, renforcer les institutions et développer le capital humain.
Madame Lagarde a assuré qu’au Sénégal, tous les ingrédients essentiels au succès sont en place, mais qu’il faudrait avant tout opérer une masse critique de réformes pour rompre résolument avec le passé et accélérer la croissance.
Le moment est venu pour le Sénégal d’accélérer sa croissance — d’atteindre les 7 ou 8 % envisagés dans le Plan Sénégal Émergent et enregistrés par les tigres asiatiques et les pays africains à croissance rapide, révélera-t-elle.
Selon Mme Lagarde, le programme de développement annoncé par le gouvernement inclut bien tous les éléments majeurs qui ont permis aux autres pays de réussir. « Aujourd’hui, le Sénégal peut tirer les enseignements de l’expérience d’autres pays qui ont traduit leurs intentions en actions concrètes avec succès ».
Pour ce faire trois enseignements essentiels devront être pris en considération selon elle, et le premier est de mettre l’accent sur une gestion budgétaire prudente et la stabilité macroéconomique. Deuxièmement, accroître les exportations en s’ouvrant à l’investissement direct étranger. Et troisièmement, renforcer les institutions et développer le capital humain.
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