Alors qu’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur l’affaire de Touba, après l’expédition punitive des talibés de Serigne Abdou Fattah M'backé contre le député et vice-président de l’Assemblée nationale, El Pistolero Lô s’est encore installé au cœur de l’actualité hier.
En fin de matinée, des infos ont circulé faisant état de coups de feu entendus chez lui. Même certains du voisinage confirment les détonations.. Mais deux versions diamétralement opposées se télescopaient. Si des voisins disent avoir entendu des détonations venant de chez le député, les éléments de la police qui veillent à l’entrée de la ruelle qui mène vers son domicile, tout près de l’Ecole normale supérieure, balaient en touche. «Des coups de feu ? Non ! Il n’y a rien ici. C’est tout simplement les élèves de l’école police qui font leur entraînement en technique de tir. Peut-être que c’est ce que les gens ont entendu. Nous ne sommes même pas là pour assurer la sécurité de (El Pistolero Lo), mais surtout pour éviter un quelconque rassemblement», lance un flic à nos capteurs. Sauf que dans le voisinage, des langues se délient et on parle même d’une personne blessée au bras et admise dans une structure hospitalière privée de Dakar. Quelle est la version la plus plausible ? En tout cas, la rumeur a tellement enflé sans possibilité de pouvoir réellement vérifier. Ni El Pistolero Lô, encore moins ses proches n’étaient joignables durant la journée d’hier, alors que les faits sont censés s’être passés vers 11 heures du matin.
« Le Populaire » qui pu entrer en contact avec une de ses filles, indique que cette dernière pleurait à chaudes larmes au bout du fil, à tel point qu’elle n’a pu articuler un seul mot.
En fin de matinée, des infos ont circulé faisant état de coups de feu entendus chez lui. Même certains du voisinage confirment les détonations.. Mais deux versions diamétralement opposées se télescopaient. Si des voisins disent avoir entendu des détonations venant de chez le député, les éléments de la police qui veillent à l’entrée de la ruelle qui mène vers son domicile, tout près de l’Ecole normale supérieure, balaient en touche. «Des coups de feu ? Non ! Il n’y a rien ici. C’est tout simplement les élèves de l’école police qui font leur entraînement en technique de tir. Peut-être que c’est ce que les gens ont entendu. Nous ne sommes même pas là pour assurer la sécurité de (El Pistolero Lo), mais surtout pour éviter un quelconque rassemblement», lance un flic à nos capteurs. Sauf que dans le voisinage, des langues se délient et on parle même d’une personne blessée au bras et admise dans une structure hospitalière privée de Dakar. Quelle est la version la plus plausible ? En tout cas, la rumeur a tellement enflé sans possibilité de pouvoir réellement vérifier. Ni El Pistolero Lô, encore moins ses proches n’étaient joignables durant la journée d’hier, alors que les faits sont censés s’être passés vers 11 heures du matin.
« Le Populaire » qui pu entrer en contact avec une de ses filles, indique que cette dernière pleurait à chaudes larmes au bout du fil, à tel point qu’elle n’a pu articuler un seul mot.
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