Des compatriotes établis en Côte-d’Ivoire ont tenu à tirer la sonnette d’alarme sur une situation née d’un problème entre la communauté sénégalaise représentée par les présidents des amicales et le consul général. Ces présidents dénoncent une ingérence flagrante du consul dans leurs activités, qui a fini de semer la division au sein de la communauté sénégalaise naguère décrite comme un modèle.
Selon ces plaignants la gravité de la situation est plus marquée dans les communes d'Abidjan (Adjamé-Treichville-Marcory-et Koumassi), où au lieu de réconcilier les sénégalais, « on le voit toujours soutenir un groupe contre un autre ».
Autre fait déploré, l'inertie de l'APR en Côte-d'Ivoire, où « les militants ne savent plus à quel saint se vouer, puisque la Coordination n'a pas eu les moyens de rencontrer le président Macky SALL pour lui exprimer la situation désastreuse du parti qui n'a pas de siège, et qui n'a pas de responsables politiques dignes de ce nom » a déclaré Sama Saloum, l’un d’entre eux.
C’est d’ailleurs toutes ces frustrations de la communauté Sénégalaise et de l'APR qui ont poussé leur porte-voix au pays d'Alassane Ouattara, Mr Aliou KA, par ailleurs secrétaire général de l'amicale de la Commune de Treichville, à convoquer un point de presse la semaine prochaine, pour "essayer d'éradiquer le mal qui ronge la communauté sénégalaise".
Malheureusement pour lui, nous dit-on, cela n'a pas été du goût du Consul général qu’il a tenté de rencontrer pour trouver une solution à ce problème, ce dernier l’aurait agressé verbalement, menacé de mort, et promis même de faire quitter la Côte d'Ivoire.
Poussant le bouchon très loin, (trop même disent-ils), le Consul Général l’aurait violemment frappé devant plusieurs personnes. Après des soins médicaux, un médecin lui a prescrit des médicaments et délivré un certificat médical (voir photo).
Aussi, interpellent-ils les autorités pour qu’elles se penchent au plus vite sur ce qu’ils appellent « le cas de la Côte-d’Ivoire, parce que l'heure est grave ».
Selon ces plaignants la gravité de la situation est plus marquée dans les communes d'Abidjan (Adjamé-Treichville-Marcory-et Koumassi), où au lieu de réconcilier les sénégalais, « on le voit toujours soutenir un groupe contre un autre ».
Autre fait déploré, l'inertie de l'APR en Côte-d'Ivoire, où « les militants ne savent plus à quel saint se vouer, puisque la Coordination n'a pas eu les moyens de rencontrer le président Macky SALL pour lui exprimer la situation désastreuse du parti qui n'a pas de siège, et qui n'a pas de responsables politiques dignes de ce nom » a déclaré Sama Saloum, l’un d’entre eux.
C’est d’ailleurs toutes ces frustrations de la communauté Sénégalaise et de l'APR qui ont poussé leur porte-voix au pays d'Alassane Ouattara, Mr Aliou KA, par ailleurs secrétaire général de l'amicale de la Commune de Treichville, à convoquer un point de presse la semaine prochaine, pour "essayer d'éradiquer le mal qui ronge la communauté sénégalaise".
Malheureusement pour lui, nous dit-on, cela n'a pas été du goût du Consul général qu’il a tenté de rencontrer pour trouver une solution à ce problème, ce dernier l’aurait agressé verbalement, menacé de mort, et promis même de faire quitter la Côte d'Ivoire.
Poussant le bouchon très loin, (trop même disent-ils), le Consul Général l’aurait violemment frappé devant plusieurs personnes. Après des soins médicaux, un médecin lui a prescrit des médicaments et délivré un certificat médical (voir photo).
Aussi, interpellent-ils les autorités pour qu’elles se penchent au plus vite sur ce qu’ils appellent « le cas de la Côte-d’Ivoire, parce que l'heure est grave ».
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