Contribution :BASSIROU FAYE, PREMIER MARTYR DE LA DICTATURE MONTANTE DE MACKY


Contribution :BASSIROU FAYE,  PREMIER MARTYR DE LA DICTATURE MONTANTE DE MACKY

Jamais mort ne m’aura autant bouleversé que celle  de Bassirou FAYE. Un meurtre de sang froid, une exécution féroce, préméditée, calculée.
Tout le monde à l’UCAD connaissait Bassirou FAYE. Pour son engagement, son courage, sa témérité propre à l’exalt   ation des jeunes de son âge. C’est donc dire que la décision de l’abattre au moment où il avait deviné (trop tard pour lui, malheureusement)  le traquenard qu’on lui avait tendu, et combien il était en danger en sa cachant dans le coin d’ où on l’a débusqué, après une chasse à l’étudiant rondement menée,  ne relève pas du hasard. Ce n’est pas un accident, ce n’est pas une bavure, c’est une exécution méthodique.
Qui en est le commanditaire ? Qui en est le bénéficiaire ?
J’avais averti  MACKY dans une de mes chroniques,  à l’époque des premiers remous dus à la  mise en œuvre de la réforme imposée,  qu’il devait écourter son voyage d’alors car les étudiants l’attendaient de pied ferme. Il n’en avait cure, en ces temps là. Aujourd’hui, l’Histoire m’a donné raison. Il a été rattrapé par le problème pour lequel il avait si peu de considération.
Les étudiants sont excédés, les professeurs sont excédés, la communauté universitaire est excédée par le comportement de Mary Teuw. Cet homme fait l’unanimité contre lui. Il n’y a que MACKY qui persiste à continuer à voir en lui l’homme de la situation. Il me fait pitié. Plus qu’il ne m’inspire du mépris. Mais il est sûr et certain qu’il répondra très bientôt de ses actes, car nul n’ignore que sa responsabilité est pleinement engagée dans cette tragique histoire.
Les étudiants que l’on accusait d’être des  jusqu’aux boutistes ont été bien plus raisonnables  que lui : quand il a voulu pousser sa folie jusqu’à les menacer  d’une fermeture définitive de l’UCAD avec  une année blanche à la clé, s’ils ne levaient pas leur mot d’ordre de grève contre les réformes iniques qu’il leur avait imposées, avec la bénédiction de MACK, ils ont pris acte.
Cela ne lui a pas suffi que les étudiants reculent sur ce point. Mais il était prévisible qu’ils allaient revendiquer en échange aussi que l’Etat les remettent dans leurs droits, après qu’ils furent restés dix mois sans percevoir leurs bourses.  Les autorités n’auraient même pas dû attendre ces manifestations. Pire encore, mû par la volonté irrépressible et obsessionnelle de pacifier l’espace universitaire par la force en domptant les étudiants, Mary a persisté dans le clash et le rapport de force.
Le visa  de MACKY ajoutée à la soif de revanche du Ministre de l’Intérieur, au devant de l’actualité après sa fuite en avant devant les évènements de TOUBA, ont fait le reste.
Le nœud de cette tragédie est couché ainsi noir sur blanc dans le communiqué du Conseil des ministres durant lequel MACKY les enjoignait de prendre toutes les dispositions pour imposer la paix à l’UCAD  avec notamment le renforcement du dispositif sécuritaire. Mary est en sorti bavant de rage. Les éléments de la police déployés sur place, forts des ordres qu’ils avaient reçus et après  avoir bien identifié les leaders irréductibles de cette revendication légitime des étudiants sont entrés en action.
Bassirou FAYE est mort. Exécuté. Et, bien avant que de parler de justice, MACKY a versé cinq millions à sa famille. Avec un billet de la Mecque.
Le prix du sang ?
Est ce cela que vaut la vie d’un jeune sénégalais ? Si c’était son fils, aurait-il accepté  que le Président  en exercice réagisse de la sorte ?
Cet argent remis à sa famille heurte la morale et sonne comme une atteinte à la dignité, à la dignité de sa famille, à notre dignité. Sa famille aurait elle dû prendre cet argent. ? C’est un signe sournois aussi de la part de nos autorités quant au traitement qui risque d’être fait de cette affaire.
Il faut  diligenter une enquête, que les responsabilités soient situées. Que le droit soit dit en cette affaire, et que  l’Etat soit condamné à la suite d’un procès digne de ce nom à verser les dommages et intérêts à la hauteur de l’acte qui a été commis sous son commandement.
Le silence de nos autorités est le plus sûr signe  que  MACKY et son gouvernement veulent noyer le poisson, en retardant les choses  dans l’attente que l’amnésie des sénégalais fasse le reste. Cela a commencé dès son premier discours, à son retour de sa sinécure : le responsable serait l’opposition tapie dans l’ombre et qui essaie de déstabiliser son régime, lui le  Président légitime fort de 65% de voix à l’élection présidentielle. Il a continué sa fuite en avant en la menaçant de ses foudres, crachant qu’il ne se laissera pas faire. Quid de Bassirou  FAYE ?
Il y des morts qui refusent de mourir, et Bassirou FAYE en fait partie, assurément.
Sous d’autres cieux, les ministres concernés auraient démissionné et auraient été mis en examen aussitôt. Mais chez nous, c’est le contraire : les lâches n’assument jamais leurs actes.
La mort de Bassirou FAYE inaugure une nouvelle ère dans la montée en puissance du régime dictatorial qui se met subrepticement en place : l’Histoire retiendra que la mort de Bassirou FAYE est  le premier assassinat ciblé de l’ère MACKY, version basculement vers la dictature. Et c’est un avertissement pour tout le monde, à commencer par tous les opposants qui se veulent républicains et qui tôt ou tard revendiqueront pour  l’application d’un de leurs droits inaliénables inscrits dans la Constitution : le droit de marche.
C’est aussi un avertissement à tous les citoyens qui manifestent bruyamment aux oreilles de MACKY leur mécontentement.
Les sorties des voix non autorisées n’y changeront rien. Les louanges de M. KA n’y feront rien : MACKY est bien exécré à TOUBA et partout ailleurs, tout comme il n’est plus dans le cœur de la majorité des sénégalais.
Celui qui a décidé de manipuler l’opinion à travers la presse inféodée à son régime et qui a le monopole de la violence vient de marquer clairement son rejet des conclusions de la CNRI.
Il ne fait donc plus l’ombre d’aucun doute qu’il parlait comme un démocrate, mais il agit comme un dictateur, désormais.
L’acte fondateur de ce nouveau régime est le crime de l’UCAD.
Personne ne pourra dire qu’elle n’aura pas été avertie.
 
Cissé Kane NDAO
Président de l’A.DE.R
 
Vendredi 19 Septembre 2014




1.Posté par nobs le 20/09/2014 15:00
En plus de 1800 du Jola, combien de personnes sont mortes ou assissinees par Wade?
Faites le compte s.v.p.

2.Posté par nobs le 20/09/2014 15:01
Les onze ans de règne des libéraux ont été ponctués par une série de scandales. Les uns plus spectaculaires que les autres.Le 7 août 2010, lors d’un dîner-débat organisé par l’association des jeunes avocats du Sénégal (Ajas) Abdou Latif Coulibaly affirmait que si l’on totalise l’argent de l’ensemble des scandales financiers connus depuis l’avènement de l’alternance en 2000, on atteindra les mille milliards de francs Cfa.Ce qui équivaut à plus de 26 000 kilomètres de route bitumée, selon lui.

Les 13 milliards du Qatar

Le dernier scandale financier, pour l’instant, c’est Saïf Al Islam, le fils du guide libyen, qui nous l’apprend. Selon lui, Me Wade aurait reçu la bagatelle de treize (13) milliards de francs Cfa du Qatar pour son fils. Pourquoi ? Pour réclamer urbi et orbi, depuis Benghazi, le fief des rebelles libyens, le départ de Kadhafi.

Mais d’autres scandales financiers ont précédé celui-ci. Lors d’un meeting le 22 mai à Zinguinchor, le Premier Souleymane Ndéné Ndiaye affirmait : ‘Pendant presque 10 ans, Landing Savané a reçu de mes mains ou des autres collaborateurs du président de la République, 30 millions de francs Cfa tous les mois, et jamais il n’a partagé cet argent avec ses camarades.’

Fesman: Plus de 45 milliards de francs Cfa dépensés par la fille et un déficit de 26 milliards pour chanter et danser

Le 3e Fesman aura été un véritable gouffre financier. Cette manifestation, dont Wade a confié l’organisation à sa fille, aura coûté au trésor public plus de 45 milliards de francs Cfa et engendré un déficit de 26 milliards de francs. Le chef de l’Etat soutenait que le Sénégal n’aurait dépensé de son budget que 5 milliards. Le reste du budget étant supporté par les autres pays. On sait ce qu’il en a été.

L’autre scandale qui noircit le tableau du Fesman, le financement de la construction du monument de la Renaissance africaine. En effet, pour le construire, l’Etat du Sénégal a bradé les terres de la zone aéroportuaire. Des terres pourtant estimées à 75 milliards de francs par des spécialistes. Pourtant, dans une brochure remise aux journalistes lors de l’inauguration, l’on pouvait lire que le monument de la renaissance africaine a coûté zéro F Cfa à l’Etat du Sénégal. Qui pour y croire ?

Plus de 205 milliards dépensés par le fils pour l’Oci

Autre gouffre financier, l’Organisation de la conférence islamique (Oci), confiée à l’autre fils Wade, Karim.Dans son livre intitulé Contes et mécomptes de l’Anoci, le journaliste Abdoulatif Coulibaly affirme que contrairement aux affirmations de ses dirigeants, l’Agence nationale pour l’organisation de conférence islamique (Anoci), n’a pas dépensé 72 milliards de FCfa, pour réaliser les travaux nécessaires à l’accueil du sommet qui a eu lieu en mars 2008 dans la capitale sénégalaise. Elle en a dépensé plus du double. ‘Nous sommes à même de dire que l’Anoci a dépensé pour l’organisation de la conférence islamique une somme totale de 205 milliards 211 millions de FCfa’, renseigne-t-il. ‘Les 205 milliards 211 millions de FCfa de dépenses effectives et réelles de l’Anoci comportent un chapitre ou une composante nommée: ‘Aménagement des bureaux du siège de l’Anoci’. Ce poste a englouti la somme de 750 millions de FCfa. Celle-ci a servi à l’aménagement des bureaux du président du Conseil de surveillance, M. Karim Wade, et à l’équipement des bureaux de ses collaborateurs. Ils ont été logés aux 1er, 2e et 3e et 10e étages de l’immeuble Tamaro’, poursuit-il, affirmant que c’est aussi mentir que de tenter de faire croire au peuple que la réalisation des chantiers ouverts à la veille de la Conférence islamique a coûté 101 milliards de FCfa. Selon lui, l’Oci a saigné le Trésor public et a accéléré la crise financière dans laquelle se débat aujourd’hui le Sénégal.

Perturbations sur la ligne : 20 milliards de Sudatel distraits

Si ce n’est pas le fils ou la fille de Wade qui sont impliqués, ce sont les fils de ses amis. Ainsi, lors de la vente de la troisième licence de téléphonie à Sudatel, Abdou Latif Coulibaly affirme que Thierno Ousmane Sy, fils du ministre de la Justice, Cheikh Tidiane Sy, aurait été impliqué dans le scandale d’une commission qui aurait été versée dans le cadre de la vente de la licence de Sudatel. Se fondant sur une enquête du journaliste, l’entrepreneur Bara Tall avait alors initié une pétition pour réclamer la vérité sur les vingt milliards de francs Cfa. Mais le ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, avait déclaré, dans un communiqué, que ‘Sudatel a réglé la totalité du prix de la licence par deux virements sur un compte du Trésorier général du Sénégal à l’Agence nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), pour un montant total de 200 millions de dollars’.

Réparation de l’avion présidentiel : 28 millions de dollars en l’air

En avril 2007, la Pointe de Sangomar, l'avion de commandement du président de la République est en panne. L'avion présidentiel a été obligé de faire un atterrissage à Palma de Majorque dans les Iles Canaries en Espagne. L'incident s'est passé un samedi dans les airs vers 5 heures du matin. C'est le cockpit de l'appareil qui a eu des problèmes techniques. Il se trouvait dans l'espace aérien espagnol alors que le Président Wade se rendait dans les pays du Golfe. Déjà au lendemain de l'alternance, les moteurs de Sangomar ont été à Perpignan, car disait-on à l'époque qu'ils n'étaient pas dans un meilleur état. D'ailleurs, le président avait affirmé qu'aucun sou du contribuable sénégalais n'a été dépensé pour la réfection de la Pointe de Sangomar.

Mais le journaliste Abdou Latif Coulibaly avait affirmé tout à fait le contraire. Dans son retentissant brûlot ‘Wade, un opposant au pouvoir, l'Alternance piégée? ’, il affirmait que le ‘montant global et final’ de l'ensemble des opérations de la révision de l'avion s’élève à 28 millions de dollars. Prenant le contre-pied de Wade, le journaliste écrivain a révélé que la ‘facture salée’ a été payée à partir du fonds routier sénégalais. Un montant de 10 milliards de Fcfa aurait été transféré par l'État, explique Latif. Selon lui, cette somme n'a pas fait l'objet d'enregistrement au Secrétariat général du gouvernement, ni publié au journal officiel. Ce qui est considéré comme une violation flagrante des règles de la bonne gouvernance et de la transparence.

Mais quelques années après cet incident voilà Wade qui paie un ancien avion, celui du président français Nicolas Sarkoky vieux de 8 ans à 20,9 milliards de francs Cfa. Il s’agit d’un moyen-courrier A319 CJ entré en service en 2002, d’une capacité d’une trentaine de places.

La planque chypriote de 7,5 milliards de francs Cfa du fonds taiwanais

En 2006, 15 millions de dollars, soit 7,5 milliards de francs Cfa alloués par la Chine Taiwan à l’Etat du Sénégal ont été détournés et planqués à Chypre. Selon le journal Le Témoin, ce sont 15 millions de dollars Us, soit 7,5 milliards de nos francs ‘destinés à la construction de projets à caractère social dans notre pays’ que Taïwan a décaissés. Une somme qui n’avait pas atterri dans les comptes de l’Etat, jusqu’à la rupture des relations diplomatiques entre le Sénégal et Chine Taïwan.Selon l’hebdomadiare Le Témoin, ‘cet argent s’est retrouvé dans le compte bancaire d’une société créée par Emmanuel Aïm, la Fitem Entreprises Limited’ précisément, ‘ouvert dans les livres de la Société générale de Nicosie, à Chypre’.Ce dernier étant le fils de Pierre Aïm, conseiller spécial du président de la République et propriétaire de la Nouvelle Brasserie devenue ‘Africa investissement Sénégal Brasserie’ gérée par le même Emmanuel Aïm.

Des milliards de francs en surfacturation et en marchés de gré à gré

Mais c’est sans conteste l’affaire dite des Chantiers de Thiès qui fut le premier scandale financier du régime de l’alternance. Dans un discours sur les chantiers de Thiés, le mardi 26 juillet 2005 au Méridien Président, suite à la déclassification du rapport de (Ige) sur les chantiers. Macky Sall, qui a succédé à Idrissa Seck à la primature, se demande comment a-t-on pu passer, sans en informer le président de la République, de l’enveloppe des 20 milliards F Cfa fixée par lui-même, au montant global de 46 217 166 908 francs Fca. Il en conclut alors à des surfacturations. Se fondant sur ce rapport, il débusque aussi des marchés contractés dans le cadre de cette enveloppe de 46 217 166 908 francs Cfa, par entente directe. ‘Dans leur rapport, les experts ont relevé des surfacturations sur la presque totalité des marchés, c’est-à-dire, des écarts significatifs entre les coûts réels des travaux et les montants facturés à l’Etat. Sur la première phase correspondant aux travaux devant intervenir avant le 4 avril 2004, pour des engagements d’un montant global de 40 618 568 848 FCFA, le coût réel des travaux a été évalué par les experts à 22 633 730 608 FCFA, soit une surfacturation de 17.984.838.241 F Cfa’, disait-il devant les diplomates accrédités au Sénégal.‘Selon les vérificateurs de l’Ige, ce marché, d’un montant de 14 847 280 358 FCFA, a été conclu de gré à gré et approuvé irrégulièrement, le 3 octobre 2003, par l’ancien Premier ministre, en violation des dispositions du Code des marchés publics et du Règlement général sur la comptabilité publique. (…)

Sur la première phase correspondant aux travaux devant intervenir avant le 4 avril 2004, pour des engagements d’un montant global de 40 618 568 848 F Cfa, le coût réel des travaux a été évalué par les experts à 22 633 730 608 FCFA, soit une surfacturation de 17 984 838 241 F Cfa’, poursuivait-il, expliquant que sur le marché spécifique de 14 847 280 358 FCFA, les experts ont évalué la surfacturation à 8 099 337 207 F Cfa.

La malette de Segura : 90 millions en cash

En fin de mission au Sénégal, le représentant du Fmi au Sénégal, pour son départ du pays, s’est fait remettre une mallette contenant 100 000 euros et 50 000 dollars en cash et a voyagé avec jusqu’à Barcelone… Après découverte du contenu du ‘cadeau’, l’ancienne bête noire des autorités avertit sa hiérarchie à Washington. Ordre lui fut intimé de retourner le paquet à l’envoyeur. Ce qui fut fait, via l’ambassadeur du Sénégal à Barcelone.

Dans cette énumération des scandales et gouffres financiers qui est très loin d’être exhaustive, nous n’avons pas pris en compte les fameux fonds politiques. Des fonds, dont l’utilisation et la gestion, paraît-il, sont laissés à l’appréciation exclusive du président de la République et peut-être de ses proches, dont un a avoué s’être servi et avoir donné à qui il veut. Récemment, d’ailleurs, le porte-parole du président de la République a cru bon de déclarer que ces fonds ont pu servir à Me Wade pour l’acquisition d’un terrain acheté à plus d’un milliard aux Almadies.

3.Posté par nobs le 20/09/2014 15:04
Wade minimise les morts contre sa candidature sous les applaudissements d’Aïda Mbodji
Le président Wade a minimisé ce mercredi en fin de journée à Dakar l’ampleur…
de la dégradation de la situation politique au Sénégal après les cinq morts enregistrés en moins de dix jours suite à des manifestations contre sa candidature à l’élection présidentielle et les appels de la France et des Usa lui demandant de se retirer du pouvoir.
En présidant ce mercredi 1er janvier au Grand Théâtre national la cérémonie de remise du « grand prix du chef de l’Etat pour la promotion de la femme », Me Wade ne pouvait manquer de réagir à la crise politique qui s’exacerbe, avec les violences et des pressions occidentales, à deux jours de l’ouverture de la campagne électorale.
« Ces turbulences n’ont pas agité les Sénégalais (sic) ! », a déclaré Me Wade. Selon le président sortant, « c’est une brise », évoquant les troubles qui ont éclaté à Dakar et dans plusieurs villes du Sénégal depuis la validation de sa candidature à la présidentielle par le M 23, avec des morts et des dizaines de blessés graves.
« Une brise est un vent leger qui secoue les feuilles des arbres, mais elle ne devient jamais un ouragan », a insisté Me Wade sous les vivats de ses partisans, réunis par la ministre d’Etat Aïda Mbodj.
« Un ouragan ne secouera jamais le Sénégal », a martelé le candidat des Fal 2012. Le même jour, le ministre français des Affaires Etrangères, Alain Juppé, en séance de questions orales à l’Assemblée nationale, a demandé à Me Wade de céder la place à « la nouvelle génération ».

4.Posté par deum le 20/09/2014 18:38
Des foutaises, cet article de ce zouave de Ndao? Se drogue t-il? Est-il un deficient mental?

5.Posté par deum le 20/09/2014 18:49
L'article de "nobs" doit certainement clouer le bec. A quiconque qui se ferait l'avocat du diable pour Wade-chien et son equipe; I'll aime l'argent' I'll sait comment en trouver et comment le depenser. Ce commentaire est une invitation afin qu'ils la ferment. I'll fut un putain de voleur, de raccoleur et d'assasin ce tordu de Wade.I'll va payer ainsi que tout autre vautour.



Dans la même rubrique :