Communiqué suite à une rencontre avortée avec le Premier Ministre


Communiqué suite à une rencontre avortée avec le Premier Ministre
Suite à l'audience qu'il a accordé aux syndicats des étudiants de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar, le Président Idrissa Seck, comme promis aux étudiants, a saisi Monsieur le Premier ministre Mohamed Dione pour une rencontre, afin de lui présenter les doléances des étudiants et lui proposer des solutions à la crise universitaire présente. L'audience fixée pour ce mardi 19 Août à midi puis repoussée à 13h a été reportée sine die par le premier ministre.
Le Président Idrissa Seck prend acte du report et rappelle au gouvernement sénégalais l'urgence d'une solution à la crise universitaire qui passe par :
 
-    Le respect définitif des franchises universitaires
 
-    Le paiement systématique des bourses d’étudiants de manière mensuelle, en même temps que les salaires des ministres et des directeurs généraux
 
-    L’amélioration des conditions de vie des étudiants pour leur permettre d’étudier convenablement.
 
-    Le respect de l'intelligence et du patriotisme de la communauté universitaire qui a déjà montré son sens du sacrifice en acceptant les réformes, la hausse des droits d'inscription malgré les difficultés des familles durement éprouvées par la crise, la session unique malgré les risques d'échecs très  élevés.
 
Le président Idrissa Seck invite, enfin, le gouvernement à restaurer un calendrier scolaire et universitaire normal et a cité l'exemple de ces deux frères de même mère et de même père dont l'un  étudie  en France et l'autre au Sénégal. Le frère qui étudie en France est venu en vacance au mois de mai après son année universitaire et a trouvé que son frère resté au Sénégal n'avait pas encore commencé son année universitaire.
 
 
 
Fait à Dakar, le Mardi 19 Août 2014
La cellule de communication de Rewmi

 
 
 
 
Mercredi 20 Août 2014




1.Posté par makowakh le 20/08/2014 12:45
Idrissa Seck : La vraie histoire d’un homme politique longtemps incompris


D’autres comme Thomas Sankara, Patrice Lumumba ou encore Mamadou DIA ont été incompris et combattus. Ils ont été Isolés politiquement ou tués puisqu’ils avaient décidé de servir les masses et non un clan. Ils avaient en commun l’amour de leur patrie basée sur des ressources
africaines et sur un désir de briser les chaînes de la domination coloniale. Leur volonté inébranlable de servir humblement les populaces s’adossait sur l’éthique. A l’image de ces valeureux fils d’Afrique, Idrissa Seck a été aussi traqué et embastillé par un système politique pour avoir simplement commis le pêché de s’adosser sur des valeurs religieuses et morales afin de mener, dans la constance, son action politique.

Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de
l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.

De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.

Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé. Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ». Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.

S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.

« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».

Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

Haby Sirah DIA

2.Posté par Sidiki Diouf le 20/08/2014 12:54
Va te faire foutre

3.Posté par prinece le 20/08/2014 13:06
Le gouvernement est aveugle face a la crise universitaire.
Idy veut seulement vous aidez a sortir de cette crise que vous ne savez comment faire,écoutez le…
Ne tant fais pas idy, le gouvernement vas exécuter tes conseils pour sortir de la crise universitaire.

4.Posté par makowakh le 20/08/2014 13:19
Les senegalais et senegalaises doivent se tenir debout et reparer l'erreure,le mensonge, la trahision,orchestree par l'ancien ministte de l'energie,de l'interieur,Premier ministre,presidente de l'assemblee nationale,ami du journaliste Ndiogou directeur du journal il est midi (canal de mensonge alimant le messager ),ami de Mohamed Saleh theoricien du coup d'Etat rempant et actuel directeur de cabinet politique,ami de Assane Ndoye . Cet homme parain de sales besogne ,president de l'A.P.R ,soutenuent á l'epoque par le p.d.s de la 25h contre un homne debout pour l'intere superieur de la nation ,mes chers compatriotes restons debout, reparons cette injustice et portons M.Idrissa Seck á la magistrature supreme en 2017.

5.Posté par djiby le 20/08/2014 16:02
bonne proposition il est incontournable ce monsieur c est le profil pour le senegal

6.Posté par maria le 20/08/2014 14:08
j'étais membre du parti rewmi. mais je ne le suis plus du fait de la mal honnêteté dîdrissa sek. il cherche toujours a mélanger les citoyens avec l'état , idem quand il venait de quitter abdoulaye wade. la question que je me pose, c'est où était idrissa au moment ou il gérait le pays avec le pds et que cette crise universitaire existait? le seul problème de idrissa, c'est le fauteuil présidentiel, rien d'autres. il se croit intelligent mais dommage pas plus que les sénégalais. nous n'avons pas eu le temps d'oublier tout les maux qu'il a causés aux sénégalais. ils sont tous pareilles pds et apr. tous des caïmans. prenons nos responsabilités nous sénégalais.

7.Posté par cys le 20/08/2014 15:45
Pauvre de nous. Les étudiants ont un syndicat. Vous pensez vraiment qu'il y aura quelque chose dans la tête de ces gens là ? Depuis quand des étudiants se preoccupent de syndicats ?
Etudiez reussissez et foutez le camp au lieu d'ecouter ces abrutis de politiciens qui non seulement ont déjà eu ce qu'il avaient à avoir, mais même leurs enfants ne sont pas inscrits dans nos universités et vous vous faites manipuler comme des jetons comme ça.
A quoi vous sert vos cervelles ?

8.Posté par fatoufatou le 20/08/2014 16:48
mele toi de ce qui te regarde c'est quoi ton probleme tu nous ammerde calme toi

9.Posté par Atpico le 20/08/2014 17:54
Idy est donc devenu le représentant des étudiants auprés du gouvernement , sans doute s'est - il inscrit à l'UCAD pour tenter d'obtenir les diplômes qu'il n'a pas ! Ne le décourageons pas ! Allez Idy travaille bien à l'école....un jour tu seras grand et président...de l'association des étudiants de pus de 50 ans, les plus méritants à mes yeux !

10.Posté par SENEGAL5 le 20/08/2014 19:14
LES ORIGINES DE LA FORTUNES ILLICITES DE IDY SECK

SAISINE DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE,
Du 23/02/2012 sous le numéro 2964
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Monsieur le Procureur de la République du Sénégal
Tribunal de Grande Instance de Dakar

Dakar, le 08 février 2012

Objet : Demande d’ouverture d’une information judiciaire sur des faits de nature à constituer des crimes et délits

Monsieur le Procureur

En ma qualité de conseil d’un citoyen sénégalais qui a découvert un remède naturel contre le sida et son virus le VIH en 2000, j’ai effectué des investigations afin de mieux cerner ce dossier.
Les premières informations reçues de 2002 à 2003, m’ont permis d’appréhender les enjeux autour de découverte. L’option de la publication d’un livre a été retenue.
Durant le mois de mars 2004, j’ai publié à Dakar : «Le sida vaincu. La face cachée de la grande découverte sénégalaise».
La seconde édition de ce livre, qui est une mise à jour de la première, a été publiée à Abidjan durant le mois d’octobre 2009 : «Le sida vaincu. La vérité en marche ».
Il est classiquement admis, dans les législations de quasiment tous les pays du monde, que si, dans l’exercice d’une quelconque activité, une personne est amenée à détenir des informations sur des faits susceptibles de constituer des infractions aux lois, celle-ci doit en informer les autorités compétentes.
En ce qui me concerne, je ne compte pas déroger à cette règle universelle, surtout, vu les enjeux des informations qui ont été portées en ma connaissance.
L’exploitation et la synthèse des informations reçues, dans le dossier du remède sénégalais, me permettent de soutenir la thèse suivante :

1. Un citoyen sénégalais a fait une découverte à gros enjeux : un remède contre le Sida et son
virus, qui pèsent des milliards d’euros par an.
2. En juillet et Août 2002, Madame le ministre Eva Marie COLL SECK, qui a été saisie en janvier 2002, avait organisé des essais précliniques et cliniques au CHU de Fann, sous la Direction des Professeurs BASSENE et SOW.
3. Le 04 Novembre 2002, Monsieur Idrissa SECK remplace Madame Mame Madior BOYE à
la Primature.
4. Le 20 Novembre 2002, les résultats scientifiques, cliniques, biologiques et toxiques, ont été
publiés.
5. Madame Eva Marie COLL SECK qui n’était pas ministre d’Etat a saisi son supérieur hiérarchique, donc, le chef du gouvernement.
6. Monsieur Idrissa SECK, voulant profiter personnellement de ce remède a « fabriqué » son propre inventeur. Et il a ainsi contrôlé ce dossier en haut lieu.
7. Avec ce faux inventeur et les résultats obtenus en phase préclinique au département de la pharmacognosie et en phase clinique à la Clinique Iba Mar DIOP du CHU Fann, il a utilisé ce dossier en destination de plusieurs cibles, notamment pour collecter des fonds.
8. Il faut savoir que le Sénégal est réputé pour la qualité de ses chercheurs et praticiens médicaux et surtout de sa Faculté de Médecine. Madame le ministre COLL SECK, infectiologue et virologue, spécialiste du sida, venait de diriger l’ONUSIDA de 1991 à 2001, (Afrique Caraïbe, Asie, Amérique Latine, Europe centrale et orientale), elle a plus de 150 publications à son actif. Le premier scientifique au monde qui a décrit le HIV2 est un sénégalais qui dirige le laboratoire de virologie de l’HALD et notre Faculté de médecine fait
partie des meilleures au monde.
9. Ce dossier a donc permis à Monsieur SECK de collecter des milliards en provenance de deux cibles :
•Ceux qui voient leurs produits et marchés, menacés par ce remède
•Ceux qui souhaitent profiter de ce remède pour en acquérir des avantages stratégiques et financiers
Ces deux cibles sont concentrées dans les pays développés et utilisent ce qu’on appelle l’intelligence économique, elles fonctionnent aussi par le canal de l’espionnage économique et industriel. Ces cibles sont financées en grande partie par ce que les occidentaux appellent les fonds secrets. Maintenant ce sont ces fonds secrets qui ont financé une grande partie des « fonds politiques » d’Idrissa SECK et de ses complices. Ce sont des fonds collectés pour le compte d’un parti politique qui, elle, est une association privée de personnes.

L’intelligence économique est l'ensemble des activités coordonnées de collecte, de traitement (d'analyse), de diffusion et de protection de l'information utile aux acteurs économiques d’une puissance industrielle et économique. On peut y ajouter les actions d'influence et de notoriété : c’est cette dernière action qui a bloqué l’Afrique du Sud qui avait répondu positivement à la construction d’une unité africaine de production de médicament basée sur ce remède. Après la visite historique de deux Présidents de la République Sud Africaine (R.S.A) en 2004, suivie de celle de la puissante ministre des affaires étrangères Nkossazana Dlamini ZUMA, la France a envoyé son ministre de la santé Philippe Douste BLAZZY pour proposer au Sénégal la construction d’un laboratoire pharmaceutique qui allait produire des ARV génériques sous licence offerte gratuitement par le pays de CHIRAC.

Les spécialistes du domaine résument l'intelligence économique en un triptyque : veille (acquérir l'information stratégique pertinente), protection des informations (ne pas laisser connaître ses informations sensibles) et influence (propager une information ou des normes de comportement et d'interprétation qui favorisent sa stratégie).

Dans le principal pays qui est au centre de ces cibles, il y a la France. Dans ce pays, l’intelligence économique est entre les mains de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (D.C.R.I). L’IRD est un organe central de collecte d’informations stratégiques pour
le compte de la DCRI.

La Direction de la Surveillance du Territoire (D.S.T) était un service de renseignements du
ministère de l'Intérieur français, au sein de la Direction Générale de la Police Nationale, chargé historiquement du contre-espionnage, qui a certes diminué, depuis la disparition du Bloc Soviétique. Il faut y ajouter la protection du patrimoine économique et scientifique français.
Le 1er juillet 2008, la DST a fusionné avec la Direction centrale des Renseignements généraux (RG) au sein d'une nouvelle direction qui a pris le nom de : Direction centrale du renseignement intérieur (D.C.R.I).

10. Pour arriver à ses fins, et fournir des informations à ces cibles, Idrissa SECK avait mis en place un réseau d’espionnage qui avait son QG sur l’avenue Georges Pompidou et qui a d’ailleurs été démantelé au lendemain de son limogeage à la Primature. En plus d’Idrissa SECK, le cerveau de ce réseau, les personnes mises en cause pour espionnage en complicité avec des américains et arrêtées à l’époque s’appellent, Demba Lahat LÔ et Eric GBODOSSOU. L’avocat de ces derniers Maître Clédor Ciré LY dira d’ailleurs lors de ses plaidoiries avant le délibéré du 16 novembre 2011 : « L’affaire Idrissa SECK s’est éteinte. C’est pourquoi, les véritables responsables de ce réseau d’espionnage ne seront jamais poursuivis. »

11. Le commanditaire principal de ce réseau d’espionnage était Idrissa SECK en personne et l’objectif était de percer le secret du nom des plantes utilisées en vue de s’enrichir illicitement en intelligence avec ses cibles. Il avait déjà fabriqué son faux inventeur, il ne restait que les noms exacts des plantes.

12. Il est judicieux d’imaginer ce qu’il serait advenu de l’inventeur et de moi-même s’il avait réussi à connaître le nom des plantes.

ELEMENTS D’INFORMATIONS A AJOUTER A CETTE SAISINE

En Septembre 2005, alors qu’il était en prison, Idrissa SECK s’est ouvert à Monsieur Amath DANSOKHO en faisant des aveux sur les vraies raisons de sa brouille avec WADE. Ces aveux ont fait la une de la presse, le mardi 6 septembre 2005, dans les principales éditions, dont « l’Observateur et Walf ».

« Idrissa SECK avoue les véritables raisons de sa brouille avec WADE ».
Dixit, Idrissa SECK : « Je n’ai pris aucun sou du Sénégal, ce sont des chèques qui ont un propriétaire connu et qui sera connu de tous le moment venu. »

En janvier 2006, Idrissa SECK, qui répondait devant les juges de la Haute Cour de Justice, a évoqué des comptes abritant une partie de cet argent localisé à la CBAO, SGBS et en France. Il rajoute que Monsieur Victor KANTOUSSAN, garde rapproché de Karim WADE a retiré des chèques d’un montant total de cinq milliards et demie (5.500.000.000) de FCFA en une semaine.

En novembre 2006, Monsieur SECK répondait encore aux juges de la Haute Cour de Justice. Il révéla qu’il détient de l’argent, mais que ce sont des fonds politiques dont il a la garde et qui proviennent d’une collecte internationale.

En mars 2004, après avoir reçu le livre : « le sida vaincu », Monsieur Bassirou MBACKE Conseiller scientifique du Président de la République, qui était chargé du dossier me reçut. Monsieur MBACKE à moi : Etes vous sûr Monsieur DIOP que le Président n’a jamais reçu l’inventeur ?

Moi : Le président ne l’a jamais reçu, j’en suis sûr.
Lui : Alors il va falloir protéger le président.
Lui : Monsieur DIOP, attendez-vous à une autre version servie par une haute autorité.
Monsieur le Procureur, le reste des informations se trouve dans le livre que j’ai publié dont un exemplaire est joint à cette saisine.

Personnellement, je suis convaincu que les milliards qui sont entre les mains d’Idrissa SECK sont le fruit d’une collecte effectuée par une organisation criminelle, qui a utilisé un remède qui menace un marché de quatre cent (400) Milliards d’euros, mais qui doit sauver des millions de personnes et surtout l’Afrique.
Ce sont ces milliards qui lui ont aussi permis de se placer deuxième en 2007, en finançant une
campagne de communication basée sur une stratégie de victimisation utilisant un slogan à la mode « dévolution monarchique du pouvoir ».

On se dirige vers les élections de 2012 et il faut que les prétendants à la magistrature suprême soient des personnes qui ont un sens profond de l’Etat, de la Justice, de l’Ethique, de l’Honneur et de la Morale. Cette saisine n’a rien à voir avec les chantiers de Thiès, et heureusement que cela a aboutit à un non lieu ; mais il est question de la vraie origine des fonds que détiennent Idrissa SECK et pour lesquels il a fait des aveux clairs en 2005 et relayés par la presse. Nous sommes en 2012, Idrissa SECK n’est jamais revenu sur ces aveux qu’il a réitérés durant le mois de novembre 2006 : « Si les juges ou l’Assemblée Nationale me demandaient clairement, d’où viennent ces milliards, je vais le dire ».

Pour les poursuites éventuelles, il faudra faire la distinction entre Idrissa SECK personne privée (TGI) et le chef du gouvernement (HCJ).

Idrissa SECK personne privée et ses complices

Pour disqualifier les juges de la HCJ, il a dit qu’il détient des fonds politiques qu’il a collectés : cela veut dire que c’est une affaire privée. Un parti politique est une association privée de personnes.
Les fonds ont donc été collectés en sa qualité de membre privé de ladite association pour alimenter le trésor de guerre de celle-ci, qui facilitera la conservation et/ou la transmission interne du pouvoir. C’est d’ailleurs pourquoi il dira qu’il est actionnaire majoritaire du PDS, pour légitimer le refus de rendre cet argent à Monsieur WADE.

Eventuelles poursuites pour : escroquerie, association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux

Idrissa SECK chef du Gouvernement et complices

La santé publique appartient à l’Etat, le sida est un problème de santé publique et des droits fondamentaux de l’homme. Un chef du gouvernement a été saisi d’un remède contre le sida avec tous ses enjeux économiques, humains et sociaux. Il a étouffé et détourné l’affaire à son profit personnel, au profit de ses complices mais aussi au profit de l’étranger.

Poursuites éventuelles : Haute trahison, violation grave des droits de l’homme, espionnage et enrichissement illicite.

PIECES JOINTES :
1. Livre : « Le Sida vaincu. La vérité en marche »
Edition : Abidjan octobre 2009
Auteur : Jack DIOP
2. Version texte : « Le Pactole de Rebeuss. La Face cachée de l’AIDSBERG » tirée du film du même nom, qui est une adaptation du livre : « Le sida vaincu ».
Auteur et réalisateur : Jack DIOP

LES TEMOINS :
Maître Ousmane NGOM
Monsieur Victor KANTOUSSAN
Maître Bassirou MBACKE
Maître Cheikh Tidiane SY
Maître Abdoulaye WADE
Docteur Maodo SECK
Monsieur Latif COULIBALY
Monsieur Sidy KOUNTA
Monsieur Mbaye KOULIBALY
Monsieur Amath DANSOKHO
Maître El Hadji DIOUF
Monsieur Cheikh Tidiane GADIO
Monsieur et Madame Abdoulaye BALDE
Monsieur Soro DIOP
Professeur Eva Coll SECK
Monsieur Pape DIOP
Monsieur Kader SOW
Le Colonel DRAME et son équipe de la Direction de la Recherche Scientifique
Autres…..
Recevez Monsieur le Procureur, mes sincères considérations, en espérant que ce dossier des « fonds politiques » détenus par Idrissa SECK sera vidé une fois pour toutes et que la justice ira jusqu’au bout afin que le Sénégal puisse repartir sur de nouvelles bases très solides.

Jack DIOP. « Le pactole de rebeusse la face cachée de l’AIDSberg »

11.Posté par pert le 20/08/2014 20:02
Ticket présidentiel
--Mallettes d'argent distribuées pour corrompre
-- Spoliation des terres ( Zone de captage, Foire de Dakar , ….etc….)
--Hausse vertigineuse des prix (gaz de 1300 à 4500)
--Supers ministères à son fils (4 ministères)
--Sans oublier ANOCI et FESMAN
--Notre Constitution 100 fois saucissonnée
--Jet privé et voyages interminables vers les paradis fiscaux
--Amnistie pour tous ceux ont liquidé maitre Sèye
-- Interdiction à quiconque de fourrer son nez dans la gestion de l'ANOCI (demandez au courageux Macky )
-- Armement de Cheikh Béthio avec des gourdins pour mater le peuple
- -Des 4 x 4 plein de lutteurs encagoulés pour mater le peuple

Les sénégalais ont la mémoire courte ……ou bien…. Karim leur a promis une part du butin dès sa sortie…………



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